La couverture plante le décors : Lefranc et son fusil, un coéquipier en embuscade, des ruines qui semblent sorties d'une ville saharienne ou de la péninsule arabique, des palmiers et 3 avions qui passent loin dans le ciel … . Voilà donc les ingrédients de ce 7e volet des aventures de notre journaliste et de son protégé Jeanjean.
Les premières pages rappelleront à certains les décors du Secret de l'Espadon où galopaient Blake et Mortimer : du jaune, de l'ocre, des pics, des falaises, de la poussière. Bon, là s'arrête la comparaison !
Autant le dire tout de suite, cet épisode m'a déçu. En plus d'être désuet dans certains de ses dialogues, il est d'une linéaire banalité ennuyeuse. Il n'y a aucun effet de bord, aucune digression, aucune surprise.
Un avion est détourné, les passagers sont pris en otage et puis … . Allez, on va l'écrire : à la fin, Lefranc s'en sort et sauve Jeanjean. On l'écrit, parce que, d'abord, on s'en doute. Mais surtout on va l'écrire parce que sur le chemin du dénouement, c'est d'une limpidité totale.
Restent quelques beaux dessins, des décors dépaysants et des méchants qui n'ont pas l'air très futés et qu'on s'amuse à voir disparaître les uns après les autres.
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Lefranc est plus qu'un simple journaliste. Nous le retrouvons, dans cet épisode, en snipper, dans le désert, traquant un groupe terroriste ayant détourné un avion, avec des technologies de pointe. L'histoire est captivante et le dépaysement total. Les albums se suivent mais ne se ressemblent pas, proposant de nouvelles intrigues originales.
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L'avion emprunté par Jeanjean assurant la liaison entre Paris et le Caire est détourné. Les pirates de l'air le cache dans une oasis. Très vite, le reporter Lefranc est mis sur l'affaire avec une nouvelle arme secrète et l'aide d'un autochtone. le scénario est plat car il y a aucun retournement de situation et le suspens est quasiment absent. L'action est cantonnée à cette oasis. Quand aux dessins de G. Chaillet, ils sont fidèles à son travail.
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Lefranc se rend en planeur à proximité d'un oasis saharien, où des pirates de l'air tiennent en otage l'équipage et les passagers d'un avion.
Sur ce scénario limité, voire simpliste, puisque quasiment à lui seul Lefranc met hors de combat tous les ravisseurs, Chaillet applique un dessin réaliste.
Le résultat final a terriblement vieilli. Mise en image cette BD aurait à peine le niveau d'un téléfilm...
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Alix 42 Alix Senator 14