Bruno Masure a en commun avec François Mauriac les deux premières lettres du patronyme, une jeunesse provinciale et catholique, le rejet du rap et un regard distancié sur le petit monde du journalisme, véritable " noeud de vipères". Sans doute, chez Bruno Masure, les vipères sont-elles davantages lubriques que celle du père François, mais les deux hommes partagent ce tourment: comment guérir la concupiscence?