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Je crois bien que c'est la première fois que je suis déçue par un roman de Daphné du Maurier. J'en ai lu quelques uns, je ne les ai pas tous aimés de manière égale, mais cette fois je dois dire que je me suis plutôt ennuyée. J'ai peiné à le terminer et j'ai même failli l'abandonner.

Pour commencer, je ne me suis pas vraiment attachée à Armino : sans le détester, je n'ai pas réussi à m'intéresser à lui. Quant à Aldo, impossible pour moi de le cerner ou de comprendre ses motivations. Difficile de prendre plaisir à une lecture quand les acteurs principaux vous échappent.

J'ai également trouvé plusieurs aspects dérangeants : à commencer par l'humiliation de certains personnages, et la manière dont elle est racontée, qui donne parfois l'impression de cautionner.
En plus de ça, j'avais du mal à saisir les enjeux des luttes estudiantines au sein de l'université de Ruffano, qui sont pourtant un des points forts de l'intrigue.
Et surtout il y a des relents de fanatisme qui me gênaient profondément. de ce que j'ai compris, pour le coup c'est un des thèmes du roman. Donc ça n'était peut-être tout simplement pas fait pour moi. Peut-être est-ce une volonté de l'autrice, de créer ce sentiment de malaise, auquel cas c'est réussi - et c'est un parti pris original.

Enfin, comme dans Ma cousine Rachel ou dans Rebecca, on voit venir une fin sombre. Mais malheureusement j'ai trouvé que ça manquait de tension, d'angoisse qui monte lentement. Je l'ai plutôt terminé avec un sentiment de "tout ça pour ça".
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Enquête familiale pleine de suspense, le Vol du Faucon nous plonge dans un monde empreint de mystères. On y retrouve la plume envoûtante et la grande finesse psychologique de l'auteure de Rebecca mais je dois dire que je ressors de cette lecture bien perplexe.

Vous le savez, j'adore Daphne du Maurier. J'ai eu un coup de coeur pour Ma cousine Rachel et Rebecca et j'ai beaucoup aimé L'amour dans l'âme, je m'attendais donc à aimer ce roman que j'ai trouvé très décousu !

Commençons par les points positifs : j'ai beaucoup aimé la plume de l'autrice, le décor italien de l'intrigue avec cette histoire du faucon de la Renaissance et la tension qui monte crescendo mais pour le reste, quelle déception !

Le récit est émaillé de longueurs, les personnages sont caricaturaux et détestables au possible, avec des pensées nauséabondes. L'histoire est d'un machisme consommé avec un viol tourné en ridicule, dans la bouche d'une femme en plus, qui se moque de la victime, qui, au fond, a aimé ce qui lui est arrivé !

Malgré ses points négatifs, j'ai continué ma lecture, désireuse de voir où l'autrice voulait m'emmener et j'ai été déçue par la tournure des évènements auxquels on peine à croire, tirés par les cheveux, des motifs de vengeances que je n'ai pas comprises. Quant au dénouement, il est surprenant certes mais je n'en ai pas vu l'intérêt.

Je pensais que l'autrice allait m'emmener dans un roman policier ou d'aventures, et finalement c'est vers une quête des origines avec secrets de famille qu'elle nous embarque, vous savez que j'adore ça mais ici la sauce ne prend pas.

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Ce roman m'a laissé pour le moins... perplexe.

Les points forts d'abord : Daphné du Maurier a un vrai talent pour construire des intrigues pleines de suspense et de révélations et le Vol du faucon confirme cette règle. Dès les premières pages, on est pris par cette histoire, la faute aux nombreux mystères qui apparaissent au fil de l'intrigue mais aussi au goût de l'autrice pour finir ses chapitres sur un suspense insoutenable ou des révélations fracassantes.
Autre point fort : l'ambiance du Vol du faucon. L'intrigue se déroule en Italie, dans une ville fictive mais qui rappelle énormément des villes comme Florence ou Sienne et cela m'a énormément plu : on a vraiment l'impression de voyager aux côtés du héros et d'arpenter les rues de Ruffano, visiter ses monuments emblématiques de la Renaissance et découvrir l'histoire du sinistre comte Claudio.

Malheureusement, ces atouts ne suffisent pas à faire du Vol du faucon un bon roman pour moi : l'intrigue prend trop de directions différentes, certains éléments nous laissent échafauder des théories dont la résolution nous laisse finalement sur notre faim et les agissements de certains personnages sont plutôt incompréhensibles. La fin m'a parue vraiment bâclée, comme si Daphné du Maurier n'avait pas su comment conclure son récit : ce n'est pas du tout ce à quoi je m'attendais mais il a une certaine déception du "tout ça pour ça" et des choses qui me laissent vraiment perplexe...
D'autre part, une partie de l'intrigue tourne autour de personnes malmenées par une bande mystérieuse et cela m'a vraiment mise mal à l'aise car j'ai eu l'impression d'avoir affaire à de la méchanceté gratuite (on ne sait finalement pas trop pourquoi ces événements ont eu lieu). Mais surtout une femme se fait violer et on a des propos de la part d'autres personnages sur cette victime et sur le viol qu'elle a subi qui sont vraiment nauséabonds et qui m'ont choqué.

En résumé, le Vol du faucon est un roman pour lequel il est difficile de dire s'il est bien ou non : il y a des éléments qui sont vraiment très réussis et qui font qu'on dévore cette lecture, mais il y a aussi un côté bâclé dans la façon dont l'intrigue est menée et résolue qui font qu'on est un peu frustré et perplexe une fois le roman terminé.
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Je n'ai pas vraiment accroché à ce roman. L'intrigue prend des chemins de traverses comme le personnage principal d'ailleurs. Je n'ai pas réussi à me perdre en Italie. Dommage! La fin est décevante aussi. Tous ces mystéres autour du grand spectacle n'apportent finalement pas grand chose.
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Armino est guide touristique en Italie. Un soir, il pense reconnaître en une vieille mendiante, son ancienne nourrice. le lendemain, la pauvre femme est retrouvée assassinée. Armino veut en avoir le coeur net et décide de revenir à Ruffano, sur les traces de son passé…

Le Vol du faucon est un roman assez étrange dans la bibliographie de du Maurier. Si la magie du style et des mots a opéré avec moi, l'intrigue ne m'a pas convaincue et je reste toujours aussi perdue après cette lecture. le début du roman est passionnant. Armino pense être la dernière personne à avoir croisé la route de son ancienne nourrice avant qu'elle ne soit tuée. Pourquoi était-elle à Rome? Pourquoi faisait-elle la manche? Et qui l'a tuée? Pour s'en assurer, Armino se rend dans sa ville natale: Ruffano. L'enquête initiale laisse place à une quête des origines. Armino va se confronter à son passé: cette mère qui a fui avec un officier Allemand, l'ombre de son frère, tombé au combat.

Armino va croiser les fantômes de son passé. L'autrice ajoute une autre intrigue: celle d'une rivalité étudiante entre l'université des Lettres de Ruffano et celle d'économie. Dans ce contexte d'après-guerre, elle symbolise ainsi l'arrivée du capitalisme qui vient détrôner les anciennes coutumes et moeurs, balayant l'ancien monde. A présent, les jeunes veulent faire du business! En tout cas, c'est comme ça que je l'interprète. Ajoutons à cela, une volonté de reconstituer une scène historique grandeur nature…

Bref, j'ai été plutôt déboussolée et perdue par la multitude des intrigues qui se chevauchent. On pense partir dans un roman policier pour bifurquer vers une quête des origines avec secret de famille et finalement s'arrêter sur une réflexion sociologique. Pourtant, je goûte toujours autant le style de l'autrice qui décrit à merveille cette partie de L'Italie et qui donne furieusement l'envie d'y aller mais l'intrigue m'a trop semblé partir en tous sens!

Ce Vol du faucon me laisse sur ma faim. L'intrigue trop décousue ne m'a pas convaincue.
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Sans doute pas le meilleur Daphné du Maurier, pas le plus subtil, mais d'un niveau restant à mon avis supérieur au tout venant littéraire.

Armino, guide touristique trentenaire ayant fui sa ville natale de Ruffano (fictive, rien à voir avec son homonyme des Pouilles) après la mort de ses parents et de son frère, y retourne pour enquêter sur un fait divers tragique qui le touche intimement, ce qui lui permettra d'éclairer des pans entiers de son passé.

Dans le Bouc émissaire, Du Maurier plantait le décor dans une famille française. Ici, elle s'aventure en Italie dans les années 60, avec un narrateur italien. On ne peut pas dire que l'arrière-plan sociologique soit vraiment fouillé mais par contre on se promène avec plaisir dans cette ville, dont l'histoire et l'architecture, imaginées avec talent, font rêver.
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La première fois que j'ai entendu parler de Daphné du Maurier, j'étais une jeune adolescente et on venait de m'offrir "Rebecca", publié dans la collection "Romance" du Livre de Poche. Et puis j'ai relu "Rebecca" dans sa nouvelle traduction, et j'ai découvert la biographie que Tatiana de Rosnay lui a consacrée... Et je me suis rendue compte que s'il y a bien un truc qui n'allait pas à Daphné du Maurier, c'était de cataloguer ses romans comme des histoires d'amour !

"Le vol du faucon" est donc le deuxième roman d'elle que je lis et s'il n'est pas le plus connu, il confirme que la romancière se situe plutôt du côté des auteurs de thrillers que de romances !

Dans ce roman qui se passe en Italie au milieu des années 1960, Daphné du Maurier mélange légende populaire et secrets de famille pour créer une histoire inquiétante dans laquelle la mort rode à toute les pages. Si l'intrigue peut nous sembler convenue et prévisible en 2022, je pense que Daphné du Maurier vaut largement certains auteurs d'aujourd'hui. D'autant que ce roman a le charme légèrement suranné des romans des années 60. Ne manque plus que de le lire dans une édition d'époque qui sentirait la poussière et le vieux livre !
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Bien étrange roman que celui-ci... un personnage attentiste et résigné (encore pire que dans Rebecca) et une intrigue autour d'une reconstitution médiévale et des retrouvailles avec un frère faussement disparu... on ne sait trop où on va pendant 300 pages, on s'ennuie un peu, voire beaucoup... mais le venin fait déjà son effet, et peu à peu tout se ressert, des révélations viennent nous surprendre (un peu pour certaines, bien plus pour d'autres savamment orchestrées, les première masquant habilement les secondes), et surtout la folie gagne le récit, le rythme placide cède place à un ballet cadencé avec fausses pistes et final endiablé... la réalité psychologique des personnages se dévoilent brusquement, avec force et évidence..
Elle nous a eu !
Pourtant, pourtant, il y a eu 300 pages pas folichonnes...
Quelques dialogues très bien menés et l'ambiance désuète des années 60 italiennes...
Je ne sais trop que penser, c'est bien ou moyen ?
Lien : https://www.tristan-pichard...
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Ce roman méconnu de Daphné du Maurier, découvert par hasard en librairie attire la curiosité du lecteur qui a dévoré et apprécié tous ses autres romans.
Ici, avec le vol du faucon, on suit les pas d'un jeune Italien, guide touristique, qui se retrouve malgré lui entraîné dans une spirale d'événements après qu'il ait cru reconnaître celle qui l'a élevé dans les traits d'une mendiante retrouvée assassinée sous le porche d'une église.
Malgré une idée de départ intéressante et de belles descriptions de la ville de Ruffano, la magie n'opère pas et le dénouement attendu n'est pas au rendez-vous.
On louvoie entre des longueurs que l'on franchit, animé par le désir de connaître la suite des événements, pour finalement être déçu par les développements de l'histoire à laquelle on a beaucoup de mal à croire et dans laquelle on peine à s'immerger.
Une déception, surtout lorsqu'on a été happé par Rebecca, par la maison sur le rivage et tant d'autres romans de du Maurier.
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🦅 Bel aventurier 🦅

Cette histoire est truffée de rebondissements, de rencontres humaines, de paysages parfaitement décrits et d'un romanesque que seule Miss Daphné sait nous ensorceler !
Un texte parfait, parfois long mais utile pour mieux nous emmener dans d'autres pistes. Un voyage dans cette Italie des années 60, des vespas , des bus de touristes de Rome à Ruffano (fictif). Enfin l'histoire de 2 frères séparés par la guerre qui communément savent qu'ils sont morts. Un meurtre sur Rome et l'aventure commence. Notre Faucon fera se dur voyage pour remonter à son village natal et retrouver tous ses secrets enfuis. Mêlant historique et faits réels, on parcours ces 600 pages avec délice …
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