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Perdido, 1928.
Quelques années sont passées depuis la construction de la digue. Mary-Love, la matriarche, vit toujours dans sa belle demeure auprès de Miriam qu'elle élève comme sa propre fille. Sister est partie vivre dans le Mississippi avec son époux. Oscar et Elinor vivent des jours paisibles dans leur jolie maison avec leur fille, Frances. James se prépare à voir partir Grace, sa fille unique, pour l'université. Et Queenie, sa belle-soeur, s'est bien installée dans la ville avec ses trois enfants alors que son mari, violent, croupit en prison.

Ce nouveau tome de la saga familiale des Caskey nous emmène dans leur quotidien, lequel sera à nouveau perturbé par de nouveaux événements.

"La maison" est le troisième épisode du roman feuilleton de Blackwater. La couverture de ce nouveau roman est toujours aussi belle, brillante et en relief, dans des coloris sombres dont l'illustration représente parfaitement l'histoire que l'on s'apprête à lire.

Nous sommes six ans après "La digue". Dès le début du roman, l'auteur s'attache à nous parler de l'ensemble des enfants.
Miriam est le portrait parfait de sa grand-mère, tant dans son attitude que dans son caractère. Elevée par Mary-Love, elle ne ressent aucune sympathie tant pour sa jeune soeur, qu'elle ignore autant que possible, que pour ses parents. Elle est intelligente, robuste et aime le milieu dans lequel elle grandit.
Frances, est une petite jeune fille douce, gentille, agréable et plein de bienveillance envers les autres. Elle s'apprête à entrer en cours préparatoire mais sa santé fragile cause beaucoup de soucis à Elinor et Oscar.
Grace, future étudiante, prépare son installation à l'université pour la prochaine rentrée mais le fait de laisser son père seul lui brise le coeur.
Lucile, Malcolm et Danjo, les enfants de Queenie, se sont bien adaptés à la vie à Perdido malgré les circonstances de leur installation. Danjo est le plus jeune et le plus sensible des trois et redoute plus que tout le retour de son père.

Malgré les manigances et les animosités quasi quotidiennes entourant les Caskey, la vie de tous ces personnages semble suivre son cours jusqu'au jour où Carl, le mari de Queenie, refait surface.

Violences conjugales, crise économique de 1929 touchant les entreprises et les banques de la région seront autant de thèmes abordés dans cette suite. "La maison" est au centre de l'histoire dans la mesure où garder sa demeure, son lieu de vie, son bien le plus précieux aura toute son importance.
De même, la rivière Perdido est un personnage à part entière de Blackwater et joue un rôle important dans ce troisième volet.

Une saga familiale où l'on suit la vie de ses membres en même temps que les événements de l'époque. le fantastique fait à nouveau son apparition et le côté sombre d'Elinor refait surface.

Un livre que se lit très bien, c'est fluide, entraînant et addictif.

Lien : http://labibliothequedemarjo..
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Après avoir fait une petite pause avec cette saga, je me suis décidée à m'y replonger et surtout à la finir d'ici la fin de l'année. Je sais que ce n'est pas du tout mon genre de lecture et que Blackwater et moi, nous avons plutôt mal commencé notre aventure, mais ma curiosité a tout de même été piquée, et j'ai envie de voir ce qu'Elinor nous a préparé. Et j'avoue que je me suis prise au jeu beaucoup plus que pour les précédents tomes.

Ce troisième tome se déroule sur plusieurs années, et j'ai eu l'impression que l'auteur voulait mettre en place ses pièces d'une certaine façon pour ensuite s'attaquer à quelque chose de plus gros. Chacun des personnages se retrouvent à un tournant de sa vie et il se passe beaucoup de choses dans La maison. Et c'est sûrement pour cela que ma lecture a été plus intéressante.

Le retour de Carl et les drames qui s'en suivent, la confrontation tant attendue entre Elinor et Mary-Love, les passages où Frances « imagine » certaines choses de quoi vous faire frissonner… Franchement, ce petit regain d'action, et surtout la justice qui tombe sur plusieurs personnages font que ma lecture a été plus agréable. Il n'y a plus cette contemplation globale et on voit de mieux en mieux tous les rouages qui font de la familles Caskey ce qu'ils sont.

Concernant les personnages… je ne sais pas ce que cela pourrait révéler dans cette saga mais je ne m'attache qu'aux personnages que l'auteur décrit comme faibles : James, Frances et Danjo. Queenie aussi commence à m'émouvoir, mais pour les autres… je n'y arrive pas. Elinor est trop froide, Oscar n'a aucun charisme, Mary-Love est une saloperie tout comme Miriam, Sister est au final trop fade. Et c'est dommage, parce que je me dis que toute cette palette de personnages aurait eu de quoi au moins m'émouvoir, me faire ressentir quelque chose. Mais non, il y a cette distance qui s'installe. J'aurais adoré détester Mary-Love et Miriam mais au final, je les trouve simplement pathétiques… Il y a un manque d'envergure, je trouve, et je n'apprécie toujours pas la façon qu'à l'auteur de dénigrer tous ses personnages. J'ai l'impression de ne les voir qu'à travers leurs défauts.

Un troisième tome qui m'a donc beaucoup plus convaincu et j'en suis très contente. La partie fantastique / horreur prend de plus en plus le pas sur le reste et après un certain événement survenu au sein de la famille, j'ai hâte de voir ce que les Caskey vont devenir.
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C'est confirmé. Pour moi, cette saga familiale remplit toutes ses promesses !

Ce troisième tome envoûte, fait frémir, étonne, amuse, horrifie tout comme les précédents.
Mieux, à force de côtoyer les personnages, ces derniers gagnent en profondeur. Les filles d'Elinor grandissent, leur caractère s'affirme et leur relation ne laisse rien présager de bon pour la suite. A mon plus grand bonheur ! Cette rivalité sous-jacente laisse augurer une suite passionnante.

Certains personnages sont toujours aussi détestables mais c'est aussi ce qu'on attend d'eux ! Plus ils sont fourbes et mesquins, plus on se réjouit. A l'instar de Mary-Love qui me fait terriblement penser à Madame Oleson et forcément Miriam fait une Nellie Oleson parfaite !

J'avoue avoir été bien déconcertée vers la fin du roman, ne m'attendant pas du tout à ce choix de scénario de la part de l'auteur. Je ne vous en dis pas plus. Surprise, je l'ai été mais pas déçue car on sent bien que ce choix est essentiel pour la suite.

Pour finir, j'ajouterai un mot sur les couvertures de ces 6 petits tomes. Elles sont magnifiques et je ne me lasse pas de les scruter avec soin. Je crois bien que celle de ce tome-ci La maison est ma préférée. Elle est si riche en détails qui en disent long sur les événements se déroulant dans ce volume -ci. J'aime beaucoup le cadre qui illustre merveilleusement bien les rapports entre les quatre personnages féminins principaux.

Une dernière chose... J'attends avec impatience de comprendre pourquoi l'auteur a donné à la série le nom de Blackwater.
C'est vrai que ça claque plus que Perdido mais pour l'instant c'est plutôt la rivière Perdido qui est mise en avant.
Allez, je parie que la rivière Blackwater sera la clé du mystère qui enveloppe Elinor.
Mais, Chhuuuutt ! je ne veux rien savoir à l'avance.

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Je suis au milieu du gué à l'issue de ce troisième tome et je n'ai aucune idée si je vais poursuivre "l'aventure" tant l'ennui et le manque d'intérêt perdurent. Je ne suis motivée que par le fait que les romans sont courts ; je n'ai aucune curiosité quant à ce qui peut arriver à la famille Caskey. Aucun personnage attachant et des ellipses qui font faire des bonds inopinés dans le temps.

Les éléments fantastiques se font attendre et semblent en décalage total avec l'atmosphère cancanière du récit. Quand on a lu avec plaisir la saga familiale des "Cazalet" de Elizabeth Jane Howard, difficile de s'intéresser sincèrement à la vie quotidienne délayée et tatillonne du clan Caskey. Sans compter que la haine de Mary-Love est si excessive qu'elle n'est pas crédible.

Certaines scènes sont décortiquées à l'excès et traînent en longueur, d'autres sont expéditives. N'étant pas particulièrement renversée par le cliquant des fameuses couvertures auxquelles la saga doit à mon avis la plus grande part de son succès, je m'interroge vraiment sur ce dernier.

Bref, je vais laisser couler un peu d'eau dans la Perdido avant de m'y remettre... ou pas.


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Cette fois-ci, je suis retournée à Perdido sans traîner en chemin tant j'avais hâte de retrouver la famille Caskey.

Si je devais expliquer pourquoi à quelqu'un qui n'a jamais lu cette saga, je pense que j'aurais du mal à lui donner de bonnes raisons, tant c'est un tout.

L'élément fantastique est toujours présent, en tapinois, planqué dans le placard et dans le personnage d'Elinor.

Il fiche la trouille, même utilisé avec parcimonie, à la limite de l'horrifique que n'aurait pas renié Stephen King.

Le suspense ? Oui, il est présent, mais ce n'est pas l'élément principal de cette série, ni ce qui fait coller mes doigts aux pages.

Tout le sel de cette saga familiale tient dans ses personnages, dans les atmosphères, dans les dialogues, dans le contexte historique de l'Alabama, terre ségrégationniste, où les Noirs n'occupent jamais que des places subalternes, domestiques, ouvriers, sans réel espoir de se hisser au-dessus de leur condition, d'être premier de cordé. Pourtant, il y a des rues à traverser !

Un personnage important est Mary-Love, la matriarche castratrice, qui aime ses enfants, qui les aime trop et qui voudrait que cet amour soit exclusif : donc, pas de mariage et si mariage il y a, il faut vivre chez elle et dépendre entièrement d'elle, dont une dépendance financière, ce qui ne plait à aucun enfant qui souhaiterait sa totale indépendance.

Elle fait partie des gens que l'on aimerait aller balancer dans l'enclos des alligators, mais cela leur donnerait des aigreurs à l'estomac. On la déteste, tout en la comprenant et en compatissant à sa demande d'amour exclusif, qui ne peut avoir lieu.

Ses manigances sont brutales, tout en étant en finesse et comme Elinor ne répond à rien, on se demande toujours quelle prochaine merde elle va lui faire. Sur le final, Mary-Love et Elinor auront une discussion qui m'a passionnée et dégoûtée, tant Mary-Love étant dans le déni le plus total.

J'avais trouvé Elinor un peu en retrait dans le volume précédent, mais dans celui-ci, qui se déroule sur plusieurs années, elle va monter en puissance, se montrer intraitable et rabattre toutes les cartes. Sans que l'on sache vraiment quelles sont ses motivations secrètes.

Le seul bémol de ces romans, c'est qu'ils se lisent trop vite. Ou alors, c'est moi qui les dévore avec trop d'appétit. On avance dans le récit, mais bien des choses restent encore cachées et je n'ai qu'une envie, c'est de découvrir ce qui se cache sous tout cela.

Une saga qui m'a happée dès le départ, sans que je puisse vraiment expliquer pourquoi, juste que c'est prenant, addictif, rempli de mystères et que c'est bon.

Lien : https://thecanniballecteur.w..
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Back in Black (water).

À ceux qui comme moi, avaient apprécié les deux premiers tomes de Blackwater de Michael McDowell – traduit par Yoko Lacour et Hélène Charrier – tout en restant un peu sur leur faim, un seul conseil : précipitez-vous sur le tome 3, La Maison !

Difficile d'en dire davantage sans spoiler, mais l'histoire s'accélère et se noircit à souhait. Des personnages jusque-là secondaires (Queenie, Frances, Miriam…) prennent de l'importance et les équilibres de la famille Caskey vacillent sous les effets de la jeune génération qui pousse.

Dans une écriture toujours fluide et policée, le cynisme pointe souvent le bout de son nez, et n'est plus le seul apanage de Mary-Love. Même James s'y met avec le jeune Danjo qu'il a recueilli : « Tu sais combien j'ai payé pour toi ? (…) J'ai investi en toi beaucoup d'argent, Danjo. Il va falloir m'aider à le rembourser ».

Enfin, le mystère fantastique qui entoure Elinor se renforce et prend même une nouvelle tournure quand elle… Non, rien.

Bref, si comme moi tu hésitais après les deux premiers tomes, suis mon conseil et retournes-y vite. Go Back in Black, water !
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Encore une très belle couverture pour ce troisième tome de la série Blackwater. Les détails sont d'une précision et c'est à l'issue de la lecture qu'on mesure leur authenticité par rapport à l'histoire.
Les enfants de la famille Caskey et apparentés grandissent et il faut avouer que j'ai suivi avec un intérêt plus particulier l'évolution de Miriam et Frances, les filles d'Elinor et Oscar, qui ont pour l'instant des destins si différents.
J'avoue que j'ai eu un petit coup de coeur pour la petite Frances, qui fait tout pour que tout le monde l'aime. Malheureusement, une seule personne va rester insensible à cette petite fille : il s'agit évidemment de la terrible et égoïste Mary-Love, sa propre grand-mère.
Elinor, qui était relativement en retrait dans le tome précédent, va passer à la vitesse supérieure pour affronter sa belle-mère qui n'en finit pas de vouloir régenter la vie de toute sa famille.
Sur fond de récession sociale (nous sommes en 1928), nous continuons à suivre l'évolution de la famille Caskey et apparentés, et à plus grande échelle celle de la ville de Perdido .
Et encore et toujours, comme décor et arrière-plan quasi permanent, la rivière Perdido est toujours omniprésente.
Un épisode qui, comme les tomes un et deux, se lit très rapidement. J'aime beaucoup le style de l'auteur, qui a une plume fort agréable à lire, il faut le dire.

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La vie n'est pas un long fleuve tranquille à Perdido, ce n'est rien de le dire, et ce n'est d'ailleurs pas ce troisième tome de la série Blackwater qui dira le contraire.

Le second volume de la série nous avait laissés sur un calme tout relatif, la construction de la digue, l'apparition de nouveaux personnages – Early Haskew, le mari de Sister, et Queenie Strickland, la belle-soeur de James Caskey, avec ses enfants et surtout, un mari violent – et une chambre d'ami plutôt inquiétante, lourde de menaces voilées envers Frances, la seconde fille d'Elinor et d'Oscar, dans la maison de ces derniers. Cette promesse d'action sera-t-elle réalisée dans le tome suivant ?

La réponse est assurément oui ! Si les événements ne sont pas forcément ceux qui avaient été évoqués dans le tome précédent, puisqu'ils sont principalement centrés sur l'opposition entre les deux filles d'Elinor et Oscar, Miriam, qui fut cédée par ces derniers à Mary-Love pour pouvoir déménager dans leur maison, et Frances, sur les violences conjugales que Carl fait subir à Queenie, sur la guerre de moins en moins larvée de Mary-Love et Elinor, et sur cette fameuse chambre d'amis qui épouvante Frances, ils n'en sont pas moins riches de conséquences sur les différents personnages, en plus de représenter une introductions aux autres tomes. Certaines disputes trouveront leur terme, d'autre commenceront… le cycle de haines qui parcourt la famille Caskey ne connaîtra donc pas de fin (ce qui permet de confirmer ce que l'on savait déjà, c'est-à-dire que les femmes sont les personnages les plus intéressants, notamment par leur force de caractère bien plus grande que celle des hommes, sans rapport avec leur âge, preuve en est avec Miriam qui promet d'être une nouvelle Mary-Love, ou Grace, qui ne veut pas se marier et vit sa vie de manière indépendante (croit-on lire une allusion à une éventuelle homosexualité, ce qui rendrait ce personnage encore plus moderne qu'il ne l'est déjà, même si on la voit assez peu dans ce tome ?), dans un rythme accéléré, d'ailleurs les années s'écoulent beaucoup plus rapidement que dans les tomes précédents, j'ai eu l'impression.

Un tome trois qui m'a beaucoup plu parce que le mystère qui imprègne les pages de ce roman est très mouvant : s'il s'éclaircit sur certains points, certaines actions d'Elinor et leurs motivations, en revanche il s'épaissit sur d'autres (que se passe-t-il dans la penderie de cette chambre d'amis ? Pourquoi Frances est-elle principalement concernée ?). Certains passages sont savoureux (la dispute entre Elinor et Mary-Love par exemple), les pages se tournent toutes seules, et la curiosité est attisée. Vivement le quatrième tome !
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Le tome 2 se terminait par un appendice assez maladroit qui préparait le tome 3. Les coutures étaient un peu trop visibles, mais l'effet d'annonce tient ses promesses : "La Maison" est nettement supérieure aux livres précédents.
Si Virginie Despentes était née au XIX° siècle, c'est peut-être le livre qu'elle aurait écrit: Elinor y trucide un violeur avec un raffinement épouvantable et se débarrasse sans vergogne de tout ce qui pourrait entraver sa volonté de puissance. le duel qui l'opposait à sa belle-mère trouve ici son épilogue sans donner de réponse à la question la plus évidente : pourquoi maintenant ? Pourquoi avoir attendu si longtemps avant de régler le problème?
C'est qu'Elinor commence à souffrir du mal récurrent qui frappe tous les super-héros : elle gagne sans surprise et cela pourrait devenir un poil lassant. Mais l'intérêt de ce tome est aussi d'introduire un morceau de kryptonite: il est caché dans l'armoire de la chambre d'ami et, surtout, il a trouvé le point faible pour lancer son attaque: la parfaite et fragile Frances, proie toute désignée pour les pires cauchemars.
Dans le tarot de Marseille, la Maison-Dieu est la lame de tous les bouleversements: le tome 4 devra assurer.
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1929 : le krach de Wall Street ouvre sur la grande dépression.
Les Caskey sont frappés eux aussi mais moins durement que les autres et surtout ils ont d'autres préoccupations. Carl Strickland est de retour. Quennie s'en accommode plutôt mal que bien et préfère confier le petit Danjo à James.
Miriam grandit, Frances aussi. Les deux soeurs sont aussi étrangères l'une à l'autre que différentes l'une de l'autre. La première tient de Mary-Love, la seconde d'Elinor.
La petite Frances est une agréable gamine. Si elle semble dotée comme sa mère d'une relation privilégiée avec l'eau, elle n'en est pas moins saisie de peurs enfantines. Ses craintes se révèlent surtout dans la grande maison qui bien que bâtie seulement 10 ans plus tôt exhale des relents d'eaux croupies, d'humidité de vieille bâtisse mal aérée.
Et qui est cet être dissimulée dans la penderie qui l'effraie tant ?
De nouveaux mystères dans ce tome dont le cliffhanger final ouvre des perspective pour les volumes suivants.
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