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Critiques filtrées sur 5 étoiles  
Ayé ! J'ai enfin lu un tome de la saga Vorkosigan ! Grâce à qui ? A Alfaric, bien sûr, qui l'a proposé en livre-quête du challenge SFFF de notre forum des Trolls, lol !

Et je me suis régalé. C'est du livre-bonbon. A lire avec un grand saladier de pop-corn !

L'anti-héros Miles Vorkosigan est absolument génial. La comparaison avec GoT de G.R.R. Martin est évidente, il est vrai, mais comme je ne sais pas qui a écrit avant l'autre, je n'en dirai pas plus... Miles a le physique, l'esprit affûté et la langue acérée de Tyrion Lannister. Il a également le même talent pour se mettre dans des situations pas faciles, mais dont il se sort grâce à sa ruse et à son esprit stratégique. Même si c'est capillotracté et parfois invraisemblable, pour peu qu'on soit bon public du moment qu'on s'amuse (et c'est mon cas), ça fonctionne à fond !

Ce livre est un savant mélange de fantasy et de space-op' pulp, divertissant (je suis un peu étonnée qu'il ne soit pas déjà adapté en série...), prenant, à la fois dramatique et amusant.

L'auteur arrive à faire entrer dans son monde l'air de rien, à travers les dialogues et la narration, d'une ultra-facilité à lire, et on navigue dans tout ça comme si on y était né, à l'instar de Miles.

Un grand talent d'écriture (et de traduction, aussi) est à l'oeuvre ici, pour écrire aussi léger et approfondi en même temps. L'apprentissage de Miles Vorkosigan, comte héritier contrefait de la famille Vorkosigan, est passionnant à suivre, et tous les personnages, absolument tous, sont formidables, bien décrits, bien caractérisés, cohérents, aussi bien les masculins que les féminins, et les autres...

Un pur bonheur... Merci Alfaric (maintenant voilà, il va me falloir les autres... Ma PAL pleure...)

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Mieux vaut ne pas gloser sur la distinction entre lecture par ordre de parution et lecture par ordre chronologique puisque "L'Apprentissage du guerrier" écrit en 1986 est en total raccord avec la fin de son préquel écrit en 1991.
A la fin de "Barrayar", j'avais laissé Aral et Cordelia Vorkosigan, Konstantin Bothari et papi Piotr en fort mauvaise posture face à l'infirme mais hyperactif Miles Vorkosigan, unique rejeton d'une longue et prestigieuse lignée aristocratique. C'est tout naturellement que nous retrouvons toute la maisonnée quelques années plus tard avec un Miles tentant désespérément d'entrer à l'Académie militaire barrayane pour respecter la tradition féodale et guerrière de sa famille en dépit des conséquences sur son corps de l'attentat à la soltoxine dont ses parents ont été les victimes…

Ah ça, dans ce tome Miles joue les bons samaritains, voire les chevaliers blancs, en recueillant moult chiens errants… le vide dans sa vie que ressent Miles trouve écho aux vides dans leurs vies que ressentent tous les paumés qui vont l'accompagner : Konstantin Bothari, le Foutu Au Berceau de la saga, Elena Bothari, la midinette qui n'a jamais connu sa mère, Arde Mayhew, le pilote spatiale dépassé par les évolutions technologiques de sa profession, Bazil Jesek le déserteur barrayan qui ne sait plus quoi faire de son existence, le mésestimé Ty Kung qui jubile de trouver en Miles un fin connaisseur des stratégies et des tactiques d'Aral Vorkosigan (mdr ! ^^), ou ce crétin d'Ivan, pas si crétin que cela finalement, qui échappe aux tentatives d'assassinats grâce et ses nombreuses et imprévisibles aventures d'un jour ou d'un soir…
Chaque acte d'altruisme de notre (anti)héros, génie de l'improvisation doté d'un solide sens de la répartie, est accompagné de son lot d'emmerdes, et bien souvent le seul moyen pour Miles d'échapper aux dites emmerdes, c'est de se coltiner un paquet d'emmerdes encore plus merdiques jusqu'à ce que les services secrets de l'Empire barrayan sifflent la fin de récré ! Bref, une fois de plus les éditeurs français se sont montrés fort peu inspirés en traduisant « L'Apprenti guerrier », super clin d'oeil à « L'Apprenti sorcier » qui structure tout le roman, en « L'Apprentissage du guerrier »…
Car Miles dispose à parts égales d'une guigne légendaire, car à chaque fois qu'il parvient à sortir la tête de l'eau la foudre qui tombe sur la tête, et d'une baraka légendaire, car à chaque fois que tout semble irrémédiablement perdu les miracles succèdent aux qui propos et vice-versa.

Ainsi de fil en aiguille le génial nabot se retrouve ainsi à la tête d'une flotte de combat de 2000 hommes : Les Mercenaires Libres Dendarii ! Une flotte imaginaire qui de ralliements en recrutements va devenir bien réelle pour ses adversaires… Et seuls contre tous, les Dendarii vont briser le blocu de Tau Verde en appliquant une stratégie naguère utilisée par un célèbre guerrier qui habitait la forêt de Sherwood sur la Terre : voler aux mercenaires riches pour donner aux mercenaires pauvres… Quelle grosse marrade ! mdr au carré
Bref, on nous offre 400 pages de Tyrion Lannister en mode Don Quichotte : il s'agit d'une véritable friandise. ^^

Car tout commence avec Miles prend part en vacances loin dans l'espace pour oublier la déception qu'il pense avoir infligé à sa famille en échouant aux examens d'entrée de l'académie militaire, et après diverses péripéties résultant autant de son altruisme que de sa roublardise, Miles prend la tête de ceux qui voulaient le prendre en otage, tout en étant accusé par les siens d'un crime qu'il n'a jamais commis… Et contre toute attente il mène une brillante campagne miliaire qui se conclut par une bataille finale dont il ne pourra pas voir le dénouement en raison d'une blessure de guerre. Mais il devra quand même faire face à ses accusateurs lors d'un procès à 3 juges qu'il transformera en one-man show, avant d'être confronté au jugement paternel, bien plus douloureux que toutes les épreuves affrontées auparavant.
Cela ne vous rappelle rien ? Moi si. J'avais déjà repéré des points communs entre la saga de Lois McMaster Bujold et celle de GGR Martin, mais là c'est un peu fort de café.


Je me suis régalé, j'ai beaucoup ri du début à la fin du roman. Cela ne s'arrête jamais car Miles ne s'arrête jamais…
On prend autant de plaisir à lire Miles jubiler quand un de ses plans capillotractés se déroule sans accros, qu'à lire stresser quand il ne parvient plus à puiser dans son sac à malices pour se tirer des ennuis dans lesquels il a fourré lui-même et ses protégés. Et il bien enquiquiné de voir son amour d'enfance tomber dans les bras de l'épave qu'il a lui-même remis à flot. Ah, on sent qu'il joue les Cyrano de Bergerac pour Roxane / Elan et Christian de Neuvillette / Baz Jesek ! ^^
Et pendant de ce temps, il ne s'aperçoit pas qu'Elli Quinn la mutilée de guerre est un train d'en faire son héros à elle, ou que ses coups de génie ne laissent pas indifférent / indifférente l'hermaphrodite Bel(le) Thorne

Pourtant tout n'est pas guilleret avec notre Amiral Naismith qui prend sur lui que chaque soldat tombé sous ses ordres soit ou soigné, ou enterrer avec les honneurs militaires. Il développe même des ulcères à force d'assister personnellement aux funérailles de chacun, quand il ne les organise pas lui-même… et à anticiper les prochaines victimes de ses décisions.
On est bien dans le roman d'apprentissage puisque de peines en peines Miles va apprendre à devenir adulte, à faire face aux conséquences de ses actes et à être responsable de tous ceux qui croient lui… Comme tous les héros fantasy dont il possède les caractéristiques, il suit donc bien le chemin de l'universel héros aux mille et un visages, même si le visage de Miles Vorkosigan, âme de paladin enfermé dans un corps de nain, est bien singulier… (C'est d'autant plus manifeste que le personnage met un point d'honneur à respecter l'esprit plus que la lettre de la féodalité en faisant tout ce qui est en son pouvoir pour venir en aide à ceux qui sont devenu ses vassaux.)
Je dois quand même avouer que je n'ai pas mis 5 étoiles parce que dernier quart du roman était quand même un ton en-dessous, Miles est rattrapé par les conspirations politiques de son monde natal (tiens encore un point commun avec GGR Martin), et on a l'impression de repartir pour un "Barrayar" bis avec pleins de ficelles pour rattacher à rebours les intrigues en cours avec le voyage de Miles transformé en campagne militaires sidérale… Surtout qu'il y a comme un trou d'air quand Miles anéanti déprime dans sa cabine après la tragique réunion de famille des parents d'Elena Bothari qu'il avait lui-même organisée dans son permanent souci de bien faire…

Tout cela se lit à une vitesse incroyable avec beaucoup de facilité car la prose de l'auteure américaine est vraiment simple d'accès : elle s'adresse à tous les publics, à toutes les lectrices et à tous à les lecteurs. Ami(e)s easy readers, essayer Lois Mac Master Bujold, c'est l'adopter !
On laissera donc les commissaires littéraires franco-français habituels pérorer sans fin sur son manque de littéralité, et sur les distinctions entre vraie littérature destinée à élever l'élite et sous littératures destinées à occuper les masses. 5 Prix Hugo, 3 Prix Nebula, 3 Prix Locus, 1 Prix Mythopoeic, 1 Prix Prometheus. Mais ce n'est pas bien pour eux, parce que cette grande dame de la SFFF américaine n'est pas diplômée en littérature et donc n'appartient pas au milieu des littéreux...
Pour ma part, j'espère bien retrouver par la suite Baz Jesek, le déserteur en quête d'honneur, Arde le pilote dépressif, Ty Kung l'historien militaire brésilien, Elli Quin la karaté girl, le capitaine hermaphrodite Bel(le) Thorne ou Auson le beauf de l'espace !
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Miles Vorkosigan, est un anti héros comme on n'en voit pas souvent (sauf peut-être Tyrion Lannister dans Game of Throne) ! Faire d'un personnage contrefait, petit et pourtant d'un égo démesuré, le personnage principal d'une histoire de Sf militaire, et ce dans les années 80 était un pari risqué que l'auteur Lois McMaster-Bujold assume pleinement et réussi au-delà de toutes espérances. !
Miles est donc le rejeton de Cordelia Naismith, une amazone bétane et d'Aral Vorkosigan un aristocrate barrayen. Dans Barrayar, on sait comment est né le petit Miles et ce qui lui a provoqué son handicap. Mais la lecture de précédent opus (écrit de toute manière après-coup) n'est pas indispensable pour lire celui-ci. L'apprentissage du guerrier est chronologiquement, le premier écrit par l'auteur.
Ce livre ressemble un peu à une parodie du space opéra classique, mais l'humour omniprésent n'empêche pas de savourer l'action, et de suivre des personnages parfois improbables.
Après avoir échoué à l'examen d'entrée à l'académie militaire à cause de son physique, Miles décide d'oublier son humiliation, sur la planète de sa mère, la dévergondée Bétan. A partir de là, il se place dans des situations compliquées dont il ne peut se sortir qu'en se plongeant dans une autre encore plus compliquée. Pour commencer, et parce qu'il veut aider, il rachète un vaisseau obsolète avec de l'argent qu'il ne possède pas. Pour rembourser, il se lance dans le trafic d'armes. Et il se fait alors arraisonner par des mercenaires. Mais Miles a plus d'un tour dans son sac. Et s'il se faisait passer lui aussi pour le chef d'une troupe de mercenaires, les Dendarii, totalement imaginaires. Enfin, pour le moment, car son intelligence, sa faconde, son sens de la répartie, son immaturité lui apporte autant de ralliement que d'ennuis.
Ce roman ressemble à une chute dans un puits sans fin, une fuite en avant jouissive, improbable, drôle et rythmée.
Et malgré ce qui semble n'être qu'une suite d'action fun, on y retrouve quand même quelques thématiques de l'auteur en gestation, les discriminations et les préjugés d'une Amérique reaganienne, le regard sur soi et ce mal être que l'on ressent quand on est différent, le pardon et la culpabilité. On est dans un roman d'apprentissage et on suit, malgré l'humour, malgré l'apparent détachement du héros, le passage d'un adolescent à l'âge adulte. Un jeune homme qui va devoir apprendre à assumer ses actes. C'est pourquoi, on n'est pas que dans une histoire humoristique. Parfois les émotions peuvent être fortes, surtout à la fin du livre, quand le jeune Miles doit vite apprendre à devenir mature. Ça va tellement vite, cela se lit avec une telle facilité, c'est tellement fou et explosif, qu'on en oublie presque l'intelligence derrière la loufoquerie.
Alors, oui, il y a des invraisemblances, des deus ex machina, des retournements de situations incroyables, mais rien qui ne soit pas dans le ton du récit et qui ne s'imbrique pas dans cette histoire déjantée. Alors pourquoi bouder son plaisir !
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Troisième tome de la "saga vorkosigan" -
Premier véritable roman sur Miles. On fait connaissance d'un jeune homme, diminué physiquement mais dont l'intelligence, voire le génie est intact. Un jeune homme d'une pugnacité inégalable qui fera de lui le chef d'une bande de mercenaires (un peu par un concours de circonstances et beaucoup grâce à une volonté d'airain).
Action, amour, humour et flamboyantes batailles spatiales. Que demander de plus ??

Un style très accessible, une lecture prenante, tout sauf rébarbative, des personnages fouillés avec forces et faiblesses, des explications convaincantes sur l'univers.
Un incontournable de la sf.

La saga vorkosigan : l'histoire dans deux premiers romans : Cordelia Vorkosigan puis La Saga Vorkosigan : Barrayar des parents de Miles Vorkosigan, véritable héros de cette saga fleuve comptant 15 romans.
Les épisodes ont été publiés en france un peu dans le désordre. Si chaque roman se suffit à lui-même, il est préférable de les lire dans l'ordre, notamment après la naissance de Miles et L'Apprentissage du guerrier : La Saga Vorkosigan

Space opéra flamboyant, sf militaire, roman d'aventure, amour, roman d'intrigues politique.
Tout est réuni dans cette saga pour en faire une oeuvre majeure de la sf, que la critique a justement reconnu en attribuant plusieurs hugo et nébula à différents tomes de la série.
Un univers réaliste - des empires multiplanétaires - différents types de société (militaire, moyen âgeuse, dictatoriale, humaniste), des vaisseaux spatiaux, des combats, des stratégies, des hommes et des femmes...
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Je ne m'attendais pas du tout à ça en ouvrant ce livre ! Il y a de l'aventure, des batailles spatiales et des personnages attachants et fouillés. Miles a l'originalité d'être hors normes, ce qui le rend bien plus crédible que d'autres héros sans tâches. Il compense sa petite taille grâce à une intelligence subtile et une langue acérée. le roman suit ses aventures à un bon rythme, je ne me suis pas ennuyée une seule page ! L'univers est en plus très sympa, avec son côté militaire souvent brutal et empêtré dans des conflits répétés.
Lien : https://lageekosophe.com/202..
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C'est la 1ère aventure de Miles et pour une fois je vois l'intérêt de suivre l'ordre chronologique de l'histoire et non celle d'écriture. Ne pas commencer par ce roman-là permet de voir les nuances entre planètes que l'on ne verrait pas en commençant par celui-ci.
J'ai adoré ma lecture. On rencontre Miles et on découvre toutes les conséquences sur la construction de soi quand est handicapé et qu'on grandit dans un monde où ce n'est pas toléré. Dans l'intégrale 1, on comprend le miracle de la survie de Miles sur Barrayar. Là, on a tout le développement de Miles et ses contrastes. Que devient-on quand on grandit avec une scission, d'un côté aimé et entouré d'une famille qui croit en nous et de l'autre en étant formaté par une culture qui considère qu'on ne devrait pas existé, qu'on ne vaut rien. La psychologie de Miles qui oscille entre je veux prouver que j'ai ma place, j'aime ma vie, je m'aime moi et pourtant j'ai conscience que je suis un monstre, un mutant, un être qui ne sera jamais accepté, ne sera jamais attirant, aimé…Cette dualité est le point fort de ce texte.
Et puis on a son humour, son sarcasme, son grain de folie, son intelligence qui le mène dans des aventures complètement dingues, le tout forme un cocktail explosif surtout agréable à suivre. Encore une fois, on est sur un personnage qui montre qu'avec du bagou, de l'intelligence et de la stratégie on peut faire de grandes choses, et s'attirer des ennuis proportionnels. Autour de Miles on a un galerie de personnages variés, qui forme un tout original. le roman illustre la puissance des mots et de la force de conviction. Mais il garde en bruit de fond tout le mal-être que l'on ressent quand on est différent et le fait que même si l'on s'accepte, on a conscience qu'on ne sera pas accepté par tous et ça pèse et influe malgré nous notre vision de nous-même.
Niveau politique, il y a de belles choses aussi mais comme ça prend forme plutôt vers la fin du tome, je ne vous en parlerai pas ici.
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Début des véritables aventures de Miles …et ça commence par un échec . Handicapé de naissance, il échoue à l'entrée de l'Académie militaire et de rebondissements en rebondissements finit par devenir amiral d'une flotte mercenaire. le personnage affirme sa personnalité , il compense sa faiblesse physique par une intelligence exceptionnelle et la capacité à grouper autour de lui des fidélités . A beaucoup d'égards il me fait penser à Tyrion de GOT. Car il a aussi un humour grinçant . A signaler dans ce volume la disparition de l'inquiétant Sergent Bothari , son garde du corps psychopathe .
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Nous voila enfin en compagnie du vrai héros et personnage central de cette saga: Miles. Quelle idée de génie d'en avoir fait un personnage fragile et bancale (dans tous les sens du terme si j'ose dire). Avec cette faculté qu'a l'auteur à nous livrer ses personnages dans les moindres détails c'est sublime, enivrant.

Rien ne manque: un rythme soutenu, de l'action, des personnages charismatiques, un zest de romance. Un pur régale!!!
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Salut les Babelionautes
Ayant lu trois fois cette Saga de Lois McMaster Bujold, je ne pensais pas prendre autant de plaisir a ma quatrième lecture.
Tellement pris par le récit je n'ai pas pris le temps de mettre à jour mes avis, ce que je fais en ce moment, raison pour laquelle ils ont la même date de création.
Dans L'apprentissage du guerrier nous retrouvons Miles Vorkosigan au départ des épreuves physiques de l'examen d'entrée à l'académie militaire.
Bien entendue, avec ses os de verre pour Miles c'est un fiasco, et il doit renoncer a une carrière militaire.
Pour un Vorkosigan, c'est une tragédie, et pour ce changer les idées il part rendre une visite a sa Grand-Mère sur Beta, la planète d'origine de sa mère Cordelia.
Pour faire plaisir à Helena, la fille du sergent Bothari, née dans des circonstances très particulières dont elle n'a pas connaissance il va l'emmener avec lui dans ce voyage qui va engendrer beaucoup de bouleversement dans sa vie.
Loïs McMaster Bujold a le Don, aider en cela par Geneviève Blattmann pour la traduction que je remercie ici, de raconter des histoires qui nous entraîne du rire aux larmes en quelques lignes et ce n'est pas un petit exploit.
En tous les cas, cette Saga Galactique mériterait une adaptation cinématographique, George Lucas devrait s'en inspirer, je n'attend que çà car il y a de quoi faire plusieurs films qui auraient autant de succès que Star Wars, du moins c'est mon avis.
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