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sur 454 notes
« Yui lui avait appris que demain, par principe, n'existe pas. »
Yui le sait bien elle qui a perdu sa mère et sa fille dans le terrible tsunami du 11 mars 2011. Et rien ne peut atténuer sa culpabilité d'être toujours vivante et sa difficulté à surmonter ce deuil, à vivre sans elles. Quand elle découvre l'existence d'une cabine téléphonique battue par les vents où il est possible de s'épancher auprès de ceux qui sont partis, elle s' y rend et rencontre Takeshi, père d'une petite fille, endeuillé par le décès de sa femme. Une rencontre décisive. Désormais le voyage dans ce lieu de confession se fera à deux…
Un très beau roman sur le deuil, la résilience, la reconstruction, l'acceptation d'aimer à nouveau. C'est doux, poétique, pudique, émouvant. Une très belle lecture.
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le Téléphone du vent , sur le mont Kujira-yama, existe vraiment. Au sein d'un beau jardin, dans la cabine venteuse, les êtres endeuillés décrochent le vieux combiné noir et parlent aux proches perdus...

Yui, animatrice radio, découvre son existence. Elle décide de s'y rendre, hantée toujours par la disparition de sa mère et de sa petite-fille dans le tsunami de 2011. Elle y rencontre Takeshi, dont la femme est morte d'un cancer.

Quel magnifique roman! Délicat, poignant sans être larmoyant, il livre peu à peu la difficile reconstruction des vivants, à travers quelques destins liés a ce lieu de résilience. Yui et Takeshi vont se rapprocher mais envisager un avenir est tellement angoissant et complexe. La nostalgie douloureuse se mêle ici à la douceur, la chaleur humaine, notamment celle du gardien de cet endroit émouvant, et l'espoir vacillant mais présent.

Ce que nous confions au vent, ces bribes de mots que l'on aurait voulu dire, ces aveux murmurés, cet amour qui s'envole vers les sommets...
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Il existe au Japon, sur les pentes du mont Kujira-yama, dans le jardin de Bell Gardia, une cabine téléphonique. Installée après le séisme du 11 mars 2011 qui a entraîné un des plus terribles tsunamis de l'histoire ainsi que l'accident nucléaire de Fukushima, elle accueille ceux qui ont survécu à cette catastrophe sans pour autant s'en être sortis indemnes : par l'intermédiaire de ce Téléphone du vent coupé de toute connexion, ils s'adressent à leurs proches disparus et laissent s'envoler les mots qu'ils ont besoin de leur dire. C'est le point de départ du roman de Laura Imai Messina. Dans Ce que nous confions au vent, elle donne vie à Yui, une jeune animatrice radio qui entend pour la première fois parler de ce téléphone grâce à un auditeur, lors d'une émission consacrée au deuil. Se rendre sur place lui apparaît alors comme une nécessité, elle qui a perdu lors du tsunami de 2011 sa mère et sa fille. Alors qu'elle s'approche du but de son voyage, Yui fait la connaissance de Takeshi qui chemine dans la même direction. Takeshi est veuf et sa fille Hana est muette depuis le décès de sa maman. Yui et Takeshi vont poursuivre ensemble leur route vers l'acceptation et la reconstruction.
Le roman de Laura Imai Messina m'a d'abord attirée par son titre poétique et par sa première de couverture pleine de délicatesse. L'histoire est belle, à la fois simple, délicate et puissante par les thèmes qu'elle aborde. J'ai trouvé certains passages particulièrement émouvants et très bien écrits. Bien sûr, je partage l'avis de ceux qui regrettent un style trop occidental pour un roman se déroulant au Japon et censé s'appuyer sur l'histoire et la culture japonaise. Cependant, parce qu'il m'a permis de découvrir l'existence de ce Téléphone du vent, je garderai un souvenir très fort de ce roman et je vous conseille d'ailleurs, si la curiosité vous y pousse, de regarder le reportage Arte qui y est consacré.

Lien : http://aperto-libro.over-blo..
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J'ai beaucoup aimé ce magnifique roman lu par Clara Brajtman avec le ton juste et une voix douce qui donne vie à Yui, une animatrice de radio qui a perdu sa mère et sa petite fille de trois ans lors du tsunami du 11 mars 2011 et qui ne s'en remet pas. Trois plus tard, alors qu'elle présente une émission sur le deuil, un auditeur parle du téléphone du vent, installé dans un grand jardin. Il n'est pas branché et les gens viennent y parler à leurs proches décédés. Yui décide alors de s'y rendre. Elle ne peut franchir le pas et parler à ses disparus lors de ce premier voyage, mais elle rencontre Takeshi, un chirurgien qui a perdu sa femme et dont la petite fille de six ans ne parle plus depuis lors. Ils reviennent chaque mois dans le jardin et rencontrent d'autres personnes endeuillées, partagent leurs histoires et s'entraident de leur mieux. Peu à peu Yui et Takeshi se lient d'amitié, apprennent à se connaître. La vie reprend ses droits petit à petit, ils osent aspirer au bonheur et à l'amour retrouvé. Cette nouvelle étape de leur vie n'est pas simple pour la jeune femme qui a beaucoup de peine à se donner le droit d'aimer de nouveau et se pose beaucoup de questions sur ce que sera sa relation avec Hanna lorsqu'elle sera adolescente, arrivera-t'elle à l'aimer vraiment et supporter un conflit probable ?

Ce roman est très touchant, tout en délicatesse et en poésie, les sentiments blessés des héros sont décrits avec une grande pudeur. L'auteure y parle des différentes étapes du deuil et aussi de différents deuils. Certaines personnes sont encore en vie, mais tellement atteinte dans leur intégrité que leurs proches sont en deuil, comme le fils de ce pêcheur, survivant du tsunami mais qui y a laissé sa raison, il lui faudra de nombreuses rencontres avant de pouvoir raconté son histoire à ses amis. La petite Hanna ne retrouvera la parole qu'après avoir parlé à sa mère dans le téléphone du vent. Ce téléphone existe vraiment et aide de nombreuses personnes à avancer dans leur processus de deuil, afin que la vie puisse reprendre le dessus. Venant d'une culture où le fait de parler aux morts est un tabou absolu, j'avoue que cette pratique m'étonne.

J'ai beaucoup aimé le personnage de Yui, qui a toujours le bon ton. Elle parle de ses sentiments avec pudeur et on suit ses lents progrès sur le chemin du retour à la vie. Son questionnement sonne juste, elle ne se lance pas tête baissée dans sa nouvelle vie. Entre les chapitres, il y a des listes diverses, concernant les personnages. Elles disent l'importance des petites choses de la vie et du moment présent, du fait qu'il faut savourer le bonheur quand il est là. Yui avait acheté plusieurs cadeaux et vêtements pour sa fille d'avance et n'a jamais pu les lui donner, elle décide alors d'offrir tout de suite ce qu'elle prévoit. Elle se demande si le risque d'être rejetée durant l'adolescence d'Hanna, dans dix ans, vaut la peine d'être pris. Finalement ce rejet n'est pas une certitude et tout peut bien se passer, Yui ose alors aller de l'avant. On ne sait pas ce que l'avenir nous réserve et il ne faut pas se priver d'un bonheur présent à cause de problèmes qui ne se poseront peut-être même pas. Je pense que toutes les femmes qui tombent amoureuse d'un père de famille se posent ces questions-là.

Ce livre est un magnifique hymne à la vie et à la résilience, il nous parle de la douleur universelle de la perte. Mais l'espoir existe et avec le temps, la vie continue grâce à l'amour et à l'amitié. On n'oublie pas les défunts, mais on accepte que notre vie ne finisse pas avec la leur. Un grand merci à Audiolib et Netgalley pour ce coup de coeur. La couverture est aussi très belle et sa
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Quand je vois les avis dithyrambiques sur ce livre, je dois vraiment être passé à côté : aucune émotion n'en ressort. Quelques belles phrases, mais trop de sujets abordés sans développement suffisant. Je reste sur ma fin (sans mauvais jeu de mot : fin ? deuil ? ok je sors !). Tirée d'une histoire vraie, l'idée peut même être séduisante pour ceux qui ont besoin de parler à leurs "disparu(e)s : au Japon, après le tsunami de 2011, dans son jardin privé, un propriétaire qui a aussi croisé le deuil, a posé une cabine téléphonique pour que chacun puisse venir parler au "vent" : il n'y a rien d'ésoterique, aucun mysticisme ni médiumnité, un défouloir que chacun vit à sa façon. Son succès est considérable, au delà du village. Comme une croisade. Parce qu'il reste toujours au moins un pourquoi, qu'on porte comme une croix !
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Il y a au Japon à l'égard des événements catastrophiques, séismes, tsunamis, une certaine prédisposition d'esprit qui s'apparente à la fatalité. Comme une contrepartie à payer à la fierté de vivre dans le pays du raffinement. Aussi, lorsque survient l'un de ces événements qui emporte son lot de vies humaines, ce n'est ni la rébellion ni l'invocation de sanction divine qui prévaut, encore moins les lamentations, c'est l'acceptation mélancolique et l'idée de poursuivre le chemin entrepris avec eux, par la pensée.

C'est la raison d'être du téléphone du vent que M. Suzuki a installé dans je jardin sur la colline de la baleine. Il n'est relié à aucun réseau. Il n'est relié qu'aux esprits des disparus. Les épargnés des catastrophes peuvent venir y parler à leurs défunts. Les entretenir de ce quoi est fait leur quotidien désormais sans eux. Réconfort ultime mais pas illusoire.

Comment continuer à vivre après. C'est à cet enseignement auquel nous convie Laura Imai Messina dans cet ouvrage fort bien conçu et écrit. Une leçon de résilience avec la pudeur nippone. Rien de larmoyant, encore moins d'apitoyant dans cet ouvrage. de l'intelligence sensible, de la retenue, pour continuer à vivre. Et par exemple faire retrouver la parole à une petite fille demeurée silencieuse depuis la disparition de sa mère.

Magnifique ouvrage fort bien construit et écrit avec des mots de tous les jours. Les mêmes mots que lorsque qu'ils étaient encore là. Il ne faut rien changer. Seulement être prudent avec les sentiments.
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Inspiré d'une véritable histoire, voici "Ce que nous confions au vent" de Laura Imai Messina, un roman sur Yui. Cette dernière, alors qu'elle animait une émission sur le deuil, apprend l'existence d'une vieille cabine téléphonique qu'un homme a installée dans son jardin. Petit à petit, les gens commencent à se rendre à la cabine téléphonique pour parler à leurs proches décédés lors du tsunami au Japon le 11 mars 2011. Yui, mère célibataire, a perdu sa mère et sa fille dans cette tragédie et a passé des années à essayer de continuer sa vie et de faire face à tout ce qui s'est passé, mais elle n'y arrive pas vraiment. Quand elle apprend l'existence de ce "téléphone du vent", elle décide d'y aller.
Bien qu'elle ne soit pas encore capable de décrocher le téléphone, son voyage n'est pas en vain, car elle rencontre un homme nommé Takeshi qui est devenu père célibataire d'une jeune fille après avoir perdu sa femme dans le tsunami également.
Je ne souhaite pas vous dévoiler autre chose car ça sera dommage d'en savoir plus que nécessaire sur cette belle histoire. le récit suit généralement Yui et Takeshi dans leurs voyages avec chagrin, mais en même temps, elle comprend également d'autres histoires qui m'ont beaucoup touchée.
Ce n'est pas un livre à parcourir à la va-vite, mais à découvrir et à apprécier lentement pour ce qu'il est. Comme on peut s'y attendre, il y a une atmosphère définie de mélancolie et de chagrin, mais en même temps, il y a aussi un souffle d'espoir.
Je ne sais pas si ce livre finira par toucher une corde sensible chez tout le monde, mais pour moi, son exploration du deuil était si brute et si pertinente qu'il a fini par me toucher d'une façon beaucoup plus importante que je n'y pensais.
J'ai trouvé très intéressant le fait qu'entre chaque chapitre, il y avait une petite bouchée de vie. Il y avait des listes banales, un objet décrit, une courte conversation entre les personnages. Ils étaient en quelque sorte liés à l'histoire et j'ai adoré la façon dont ils aidaient à donner vie aux personnages un peu plus, montraient à quel point ils étaient "ordinaires".
Certains livres sont trop beaux et trop passionnants pour être capturés avec précision dans une critique. le risque de les "écraser " est trop grand. Ce livre en fait partie.
Ce beau roman raconte une histoire de perte universelle et du pouvoir de l'amour. Il restera gravé dans mon coeur et dans mon esprit pour toujours. En ces temps difficiles auxquels nous sommes confrontés, il aborde des questions que nous pourrions tous avoir - comment se connecter avec ceux que nous avons aimé et perdu et comment nous permettre de vivre et d'aimer à nouveau. Magnifiquement écrit, sensible et évocateur, il brosse le tableau d'un monde intérieur et extérieur qui est imprégné à la fois de tragédie et d'espoir. Il m'a émue aux larmes et m'a donné envie d'exprimer mes propres pensées secrètes dans la cabine téléphonique au bout du monde...
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Un joli petit livre, tout en finesse.

Peut être m'a t-il parlé plus qu'il ne l'aurait à un autre moment mais dans tous les cas, le style est délicat.

L'idée de cette cabine téléphonique recueille de confidences, d'échanges avec les êtres qui étaient proches aux utilisateurs, est belle. L'autrice a utilisé ce lieu (qui existe) pour raconter une histoire de deuil, de reconstruction...

Cela se passe au Japon mais cela pourrait être n'importe où car finalement le deuil, la perte existent dans le monde entier... Même si les rituels différent...

A noter que si l'histoire se passe au Japon, l'autrice est Italienne (mariée à un Japonais) et si elle vit au Japon, son style reste Européen. Cela rend cette histoire, sans doute, plus parlante à un Européen qu'à d'autres.

En tout cas, un beau moment de lecture.


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Il existe au Japon, dans le vaste jardin de Bell Gardia, un endroit fantastique où les vivants peuvent parler à leurs proches décédés. A dire vrai, ce n'est pas vraiment un endroit mais une cabine téléphonique, poétiquement nommée le "Téléphone du Vent". Pour l'utiliser, rien de plus simple, il suffit de décrocher le combiné et de parler. Dans un pays qui pleure encore ses morts suite au tsunami dévastateur de 2011, nombreux sont ceux qui se rendent sur le mont Kujira-yama, pour soulager un peu leur peine en contactant des êtres disparus. C'est le cas de Yui, animatrice de radio, qui a perdu sa mère et sa fille. Régulièrement, elle se rend sur la colline pour décrocher le fameux combiné, mais chaque fois, ses forces l'abandonnent. Alors elle se contente de contempler les jardins alentours, jusqu'au jour où elle fait la connaissance de Takeshi, un jeune veuf venu de Tokyo. Deux protagonistes essentiels, autour desquels le roman va prendre forme.
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D'aucuns disent que le temps guérit toutes les blessures. Si rien n'est moins subjectif, le temps a pourtant bien son importance dans ces pages. Malgré les courts chapitres qui composent le roman, ce dernier semble déployer ses ailes avec lenteur, enveloppant avec bienveillance tous les personnages de cette histoire. Il les accompagne, jour après jour, jusqu'à la résilience. le "Téléphone du Vent", quant à lui, est bien plus qu'un objet ou une destination de pèlerinage. C'est un symbole, qui console les âmes et porte en lui le pouvoir de guérison. L'autrice explore avec pudeur la psychologie et les sentiments. Il y a dans ses mots une forme de respect et de délicatesse, qui confère à ses personnages une grâce singulière.
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Monsieur Suzuki, le gardien, contribue à apaiser les êtres, toujours avec discrétion et humilité. Grâce à lui, Bell Gardia est un lieu d'échanges et de rencontres. Car si tous portent en eux le deuil, ils sont, pour la plupart, avides de souvenirs, de paroles et de sourires. Il y a cet homme, qui cache derrière ses mots emportés, la mort de son fils. Car « On reste parents, même quand nos enfants ne sont plus. » Ou encore cet adolescent, qui vient confier au vent tout l'amour qu'il éprouve pour ce père éteint. Tous apportent une belle consistance au roman. J'ai particulièrement aimé suivre Yui dans son chemin vers la sérénité, prendre part à ses doutes, affronter ses inquiétudes. Elle qui tente de retrouver, grâce aux petits bonheurs quotidiens, le goût sucré de la vie. J'ai encore en tête sa théorie de la dissociation corporelle, qui m'a à la fois amusée et touchée. Pourtant, ce ne sont pas tant les personnages qui m'ont plu, que la façon dont l'autrice raconte leur histoire.
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Dans Ce que nous confions au vent, Laura Imai Messina évoque le deuil, l'amour et la reconstruction, avec une grande délicatesse. Jamais elle ne sombre dans le pathos, et c'est l'une des raisons pour laquelle j'ai trouvé ce roman si beau. (A propos de la version audio) Par ailleurs, comme en parfaite harmonie, Clara Brajtman offre une interprétation magistrale. Lors de cette relecture, j'ai à nouveau été bouleversée par les émotions, admirative de sa diction, de sa voix rafraîchissante et de son accent impeccable. Tout comme Clara Ysé avec Mise à feu, je ne conçois pas Ce que nous confions au vent autrement qu'en version audio. J'ai trouvé l'ensemble magnifique et lumineux !
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Ma chronique est sur le blog.
Caroline - le murmure des âmes livres
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le Tsunami de 2011 de la côte Pacifique du Japon précédé par un séisme très violent a provoqué la disparition de milliers de personnes.

le Téléphone du vent , sur le mont Kujira-yama, existe vraiment. Un splendide jardin et où bout du sentier une cabine téléphonique à l'ancienne, un téléphone en bakélite noir et beaucoup décroche le combiné ... les mots s'envolent , le vent les portent ils aux oreilles des disparus ? Un lieu où chacun peut venir penser aux absents et surtout reprendre sa respiration pour poursuivre sa route malgré les deuils.
C'est dans ce jardin que Yui rencontre Takeshi , elle pleure la mort de sa mère et de sa petite fille , lui la disparition de son épouse.

de belles rencontres les attendent dans ce jardin, des rencontres émouvantes et qui sait ..

J'ai été séduite par la première partie du roman , puis j'avoue avoir pris du recul je ne me trouvais pas à ma place dans cet univers mêlant onirisme et religiosité . je le respecte bien sûr mais n'y adhère pas .
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