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3,84

sur 1015 notes
Le premier tome de Twilight : Fascination du point de vue d'Edward.

Pourquoi 3 étoiles ?
C'est mou, terriblement mou. Et puis sincèrement, les pensées du vampire bellâtre, je m'en balance le coquillard, de toute façon je les connaissais déjà, grosso modo.
Je connais l'histoire par coeur (malheureusement, la série fait partie de mes séries doudous, que je relis régulièrement, avec celle de Honor Harrington pour contrebalancer. )
Alors ? Eh bien, pour une histoire de ressenti. J'avais envie le lire le bouquin, et une fois commencé, j'avais envie de continuer ma lecture. Pourquoi ? Allez savoir, c'est une écriture simple, facile, apaisante, délassante, est-ce assez pour faire un bon roman ? Non, mais c'est assez pour me distraire, et c'est clairement le plus important.
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Ce que j'ai ressenti:

« Court-on un risque? »

Court-on un risque à s'émerveiller encore devant un crépuscule? Court-on un risque à entendre le murmure séducteur des vampires? Court-on un risque à retourner à la nuit pour rêver que ma jeunesse ne s'en pas allée trop loin? Laissez-moi un peu d'obscurité pour voir Edward Cullen se consumer d'amour pour Bella…Laissez-moi être éblouie par un soleil de minuit en mangeant des graines de grenades…Est-ce que je cours vraiment un risque à me laisser toucher par la nostalgie? Est-ce que je cours un risque à me laisser bercer par une tendre mélodie? Je voulais revivre la Fascination. Je voulais réitérer cette passion pour une histoire d'amour hors du commun, je voulais prendre le risque quinze après de replonger dans cette saga fantastique, je voulais avoir les émotions de Edward…Et Stephenie Meyer a écrit Midnight Sun...Et j'ai couru attraper le soleil, le crépuscule, les minuits, les Enfers, la fièvre, la combustion, la sensation du purgatoire, l'inextinguible soif, la part d'éblouissement, les signes évidents de l'amour, le charme du vampirisme, le désespoir de l'éternité et les espoirs de l'immortalité…Court-on un risque à désirer ardemment? Court-on un risque à être accro à un prédateur? Court-on un risque à souffrir de douleur d'amour? Court-on un risque à être fleur bleue devant un monstre? L'arôme de la Grenade est puissant, l'odeur du sang l'est tout autant, et voilà que se ramène le crépuscule, l'heure ou les vampires sortent jouer…Qui alors courra le risque d'aller goûter le venin des démons?…J'ai couru le risque de vous faire ce retour qui fleure des accents de douleurs grenadine et de tendresse exquise, avant que le crépuscule ne s'enlève de ma vie, avant que le Midnight Sun ne se lève dans mon coeur pour ma nouvelle véritable éternité…

« -C'est le crépuscule. Encore une fois. Une autre fin. Aussi parfait qu'ait été le jour, il faut qu'il meure. »


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Treize ans plus tôt, je découvrais l'histoire de Bella, dix-sept ans qui venait s'installer à Forks et faisait la rencontre d'Edward Cullen et sa famille. Qui aurait su, à l'époque que cela déclencherais l'envie de lire, lire et encore lire. Certainement pas moi. Et pourtant, treize ans plus tard, ma bibliothèque prouve le contraire. Contrairement à certains, qui aujourd'hui on presque honte d'avoir aimé Twilight, celui-ci a toujours sa place dans mon coeur et lorsque j'y repense, c'est comme si c'était hier. Alors bien sur, quand j'ai appris la sortie de Midnight Sun - qu'on attendait plus - j'étais comme une gamine le matin de noël. Il me le fallait absolument.

Midnight Sun, c'est Twilight, du point de vue d'Edward. Et contrairement à ce que l'on pourrait penser, ce n'est pas du tout la même chose. Déjà parce que cette belle brique contient près de 800 pages, mais aussi et surtout parce que l'auteure, Stephenie Meyer nous propose tout un tas de passages inédits. Car qui dit point de vue d'Edward, dit qu'on a accès à toutes les pensées des autres personnages et surtout à la famille Cullen. Personnellement, j'étais vraiment enthousiaste à l'idée d'en savoir plus sur Edward et eux.

Entrons maintenant dans le vif du sujet. J'avais quelques appréhensions de redécouvrir l'histoire, treize ans plus tard. Car à 15 ans, on a pas les mêmes attentes qu'à 28. Et je l'avoue ma seule et unique relecture de la série date de... 2008. En fait, je fais partie de ces personnes qui relisent peu leur coup de coeur. D'abord parce que ma PAL est bien assez grande comme ça, mais surtout parce que je me souviens de tout, alors je peux aisément me refaire le livre rien qu'en y pensant. Depuis, mes goûts de lectrice ont quelque peu changés mais contre toute attente, j'ai eu les mêmes impressions qu'il y a treize ans. Je me suis de suite remise dans l'ambiance, j'ai renoué des liens avec les personnages et me suis laissée embarquer dans l'histoire sans problème.

Etre dans la tête d'Edward c'est à la fois fascinant et intriguant. On sent à quel point il est torturé par sa condition et ses choix. A tel point qu'il peut parfois se passer pas mal de temps avant de réussir à trancher sur la chose à faire. Certes cela peut paraître "lent" mais moi, je trouve que cela colle bien au personnage. Son humanité perdue joue sur ses décisions et j'ai trouvé que cela reflétait bien cela. Bien sur, le côté "je surveille Bella H24 est assez bizarre et fais légèrement psychopathe mais étant donné que ses pensées ne sont pas "mauvaises" je trouve que cela passe. A l'image de la couverture, il est comme une grenade sur le point d'éclater.

Gros avantage d'être dans la tête d'Edward, c'est qu'on a accès aux pensées des autres personnages, et ça, c'est vraiment un plus ! J'ai adoré découvrir un peu le personnage d'Angela, je suis toujours aussi fan d'Alice et Emmett, je trouve toujours Mike exaspérant et encore plus maintenant, Jacob en deviendrait presque supportable (uniquement dans ce tome!), Rosalie quant à elle est encore plus jalouse que je le ne pensait et enfin Carlisle et Esmée sont des amours de parents. Honnêtement, je ne pensais pas me régaler autant avec Midnight Sun. Chaque petit moment chez les Cullen est soit hyper drôle soit tellement sérieux qu'on ressent cette tension présente. La relation Edward/Alice est vraiment belle, j'aime ce lien qu'ils ont quant à Emmett, j'ai adoré le découvrir un peu plus, lui qui a un rôle secondaire dans Twilight.

Beaucoup d'auteurs se sont essayés à l'exercice. Réécrire l'histoire d'un autre point de vue est à double tranchant. Soit ça passe, soit ça casse. Et bien souvent, pour moi, c'est un flop total, allant parfois même à gâcher mon point de vue sur les deux versions. Mais Stephenie Meyer réussi avec brio et s'en sort comme une reine. Je n'ai pas eu l'impression de relire Twilight de A à Z, mais plutôt de découvrir tout ce qu'on avait loupé avec le point de vue de Bella (que j'aime toujours autant). En lisant Midnight Sun, je me suis faite la réflexion que ce tome venait vraiment compléter la série initiale. On en apprend tellement plus sur Edward et les autres. Notamment comment ils sont arrivés dans la famille Cullen. Je trouve qu'il permet vraiment de s'attacher encore plus à eux et de comprendre un peu plus leurs choix et ce qui fait qu'ils sont comme ça.

Quelques scènes se démarquent vraiment du roman, je pense notamment à celle de la clairière (dans sa totalité) qui nous permet dans apprendre bien plus sur Bella, puisque Edward lui pose des questions ne pouvant lire ses pensées, celle avec Carlisle, et le premier noël qu'ils fêtent ensemble ou encore suite à la traque de James et l'organisation gigantesque que les Cullen ont du mettre en oeuvre pour justifier "cet accident". Enfin, les visions d'Alice durant tout le début, dont on ne connaissait pas l'existence et qui cause bien des tensions chez les Cullen.

Vous l'aurez compris, j'ai adoré Midnight Sun ! Il apporte un tout autre souffle à Twilight et je trouve intéressant de s'y plonger après autant d'années. Finalement, on a plus de recul sur l'histoire et ce qu'il s'y passe et vient apporter une vision plus mature de l'histoire puisque Edward garde son côté "vieux jeux" de l'époque.

Mon seul regret ? Que Stephenie Meyer n'écrive pas les autres tomes de ce point de vue. Car avec le tome 2 durant lequel Edward n'est pas avec Bella, je pense qu'on aurait vraiment eu de quoi en apprendre plus. Mais bon... il faut se faire une raison. En tout cas, une chose est sûre, je recommande cette lecture aux amoureux de toujours de la série !
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Roman écho à la saga Twilight, Midnight sun raconte l'histoire du point de vue du vampire Edward.
C'est Bella, Isabella qui était la narratrice principale dans Twilight.
Le point de vue interne voire omniscient, nous immerge dans les pensées les plus intimes d'Edward, qui lui-même, grâce à un don sonde les pensées de tous les êtres qui l'entourent à l'exception de celles de Bella.
L'histoire d'amour entre le vampire et l'humaine, on la connait tous, je ne vais pas la rappeler ici.
Vu sous l'angle du vampire, l'histoire nous paraît plus cruelle, plus dure, tandis que Bella était plus romantique, Edward, lui est obsédé par des pulsions meurtrières qui font froid dans le dos.
On peut ainsi suivre le cheminement de l'âme d'un prédateur qui essaye de résister à ses instincts les plus primaires, dictés par la gouvernance des sens, de la soif, de l'odorat. Tandis que Bella le décrivait comme un être exceptionnellement beau et attirant dans Twilight, un personnage romantique à souhait, grande différence de points de vue qui modifie notre vision du vampire que l'on peut rapprocher à celle d'une bête.
Toutefois, un meurtrier que l'on voit se métamorphoser peu à peu à mesure que l'estime et l'amour pour l'humaine grandit, un désir de protection obsédant qui rassure le lecteur qui tient à l'épanouissement de l'histoire d'amour et au personnage de la jeune fille.
Ce n'est pas sans mal que le vampire reste aux côtés de l'humaine, il doit sans cesse réprimer sa soif et on est parfois sur les nerfs, parfois soulagé, les émotions oscillent, on est dans l'attente, on est heureux lorsque les événements sont favorables aux personnages.
Mais tant bien que mal, l'amour apprivoise et la vie continue…
Ce nouvel opus est agréable à lire bien qu'un peu long, en parcourant les pensées du vampire on revit les événements de Twilight mais l'angle d'attaque change quelque peu l'histoire, la rendant dépendante du narrateur.
Pour les fans de la saga et des histoires de vampires.


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J'aime Twilight. Donc je suis d'autant plus déçue par ce roman. Visiblement, personne n'a informé l'auteure que l'intérêt d'une histoire racontée du point de vue d'un autre personnage est d'enrichir l'intrigue, en ajoutant de nouvelles scènes ou en permettant d'avoir une vision plus globale d'autres passages.
Certes, on a quelques nouvelles scènes. Mais ce sont plutôt des versions longues de récits qu'Edward a fait à Bella et au final, on n'apprend rien d'important. Quant aux passages pour lesquels on n'avait que le point de vue de Bella… à part pour la toute fin (combat contre James et ce qui s'en suit), c'est soit sans intérêt, soit on ne découvre que des faits anecdotiques.
Le summum revient au premier tiers du roman (avant la scène de la clairière). le lecteur est seul dans la tête d'Edward qui ne pense qu'à Bella (d'ailleurs, durant tout le roman il pense régulièrement la même chose sur le thème de "je l'aime mais je suis trop dangereux") en se répétant toujours les mêmes pensées, épie Bella ou est avec elle. *Mode cynique on* C'est pour ça que des vampires vieux d'un siècle vont encore au lycée, en réalité, ils n'ont pas de vie en dehors ! *Mode cynique off*
Bref, c'est looooong et ennuyeux. Et puis vient la scène de la clairière à partit de laquelle Edward commence à avoir réellement des interactions avec Bella et où le récit se fait (un peu) plus dynamique (l'auteure semble se souvenir qu'elle a plus d'un personnage dans cette histoire)… mais avant la fin, il faudra encore subir deux énormes longueurs : le match de base-ball raconté en long, large et travers et lorsque Edward se précipite à Phénix avec un trajet en voiture dont la rapidité échappera au lecteur tant il s'ennuiera.
Donc, ne lisez ce livre que si vous êtes fans. Ne l'achetez pas neuf en grand format. Empruntez-le dans une bibliothèque ou attendez une version en poche d'occasion. Même si vous ne lisez ce livre que trois ans après sa sortie, vous ne perdez rien...
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Ado étant une grande fan des Twilight, et ayant lu il y a des années les quelques chapitres qui avaient fuité, c'est avec plaisir que j'ai acheté ce roman. Il faut préciser que c'est quand même un pavé de 800 pages. On suit Fascination, mais du point de vue d'Edward. Beaucoup beaucoup beaucoup (trop) de monologue intérieur, c'est vraiment redondant, toujours sur les mêmes thèmes, je n'ai pas d'âme/je suis un monstre/je ne la mérite pas. Et c'est mou, très mou. Il n'y a que deux scènes qui apportent un peu de relief au texte, la scène dans la clairière et la scène du studio de danse, ce sont les seuls moments où on va avoir un oeil neuf, tout le reste n'est que du réchauffé de Fascination. Bien que grande fan j'ai donc été globalement déçue, je m'attendais vraiment à quelque chose de plus satisfaisant. Pas beaucoup d'intérêt pour ce pavé, donc.
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Le roman est intéressant pour l'exercice de style : raconter la même histoire que dans Fascination mais en changeant de point de vue. Il n'y a pas de suspense, mais c'est intéressant de découvrir de nouvelles facettes de certains personnages, d'avoir un éclairage différent sur certaines scènes ou, encore mieux de découvrir de toutes nouvelles scènes. Sauf qu'ici on n'apprend pas grand-chose de neuf et que le changement de point de vue nous donne surtout l'occasion de profiter des interminables hésitations et introspections du vampire au point qu'il perd une grande partie du charme ténébreux qui le caractérisait dans Fascination.
J'ai quand même trouvé intéressant la façon dont l'auteur exploite la faculté du héros à lire dans les pensées : cela donne des dialogues assez piquants avec sa famille vampirique où se mêlent pensées et paroles.
Il y a quelques années, j'avais lu les premiers chapitre que Stephenie Meyer avait publiés sur son site, et ce début m'avait bien plu. Je ne sais pas si c'est parce que j'avais lu le texte en anglais et qu'il m'avait semblé du coup plus dense qu'il ne l'était vraiment ou s'il était vraiment moins "dilué" qu'ici où les états d'âme du héros se répètent sans fin.
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800 pages plus tard voici enfin ma critique de Midnight Sun !

J'étais assez contente de revenir à Forks pour retrouver les personnages et en apprendre un peu plus sur certains grâce au pouvoir mental d'Edward.

Mais après quelques chapitres seulement l'histoire se résume uniquement à : " Je l'aime .... Je l'aime tellement... Mais j'ai envie de la manger.... Mais je l'aime.... Mais j'ai faim...." Edward est une vraie drama Queen ! Je n'imagine même pas le tome 2 adapté avec la version d'Edward...

Je ne comprend pas pourquoi autant de personne aime le personnage d'Edward... Cet homme est manipulateur, narcissique et le plus gros voyeur de l'univers...

L'auteure parle des autres vampires trop succintement. Les raccourcis sont trop fréquents pour les histoires secondaires et totalement absent sur certains passages (trop) en longueur sur les sentiments d'Edward.

Les derniers chapitres sont vraiment incroyables, la lecture y est facile car le rythme de l'écriture est bien calculé.

Mention spéciale aux personnages d'Angela ( une vraie amie), à Rosalie ( qui a résumé tout le long ce que je pensais d'Edward) et Carlisle ( car c'est lui le BG de l'histoire on va pas se le cacher.)
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« Midnight sun » se lit comme si nous regardions l'envers des décors d'un film. La fin est bien entendu connue mais il est intéressant de connaître les pensées du vampire et les événements auquel il fera face. de cette manière, nous en connaissons un peu plus sur les membres de la famille Cullen et les vampires en général. J'ai d'ailleurs acquis une nouvelle affection pour Rosalie qui me touche beaucoup. J'adorerais pouvoir en apprendre plus sur sa perception des choses et de son monde.

Connaître la pensée d'Edward, c'est rendre le lecteur omniscient. Grâce à son pouvoir, nous connaissons exactement ce qu'il se passe dans les pensées de chaque personnage. Ainsi nous redécouvrons, le lourd Mike, Jessica la peste, le gentil Jacob qui ne sait rien, la sagesse de Carlisle, la franchise et la douceur d'Alice, … J'ai pour ma part eu l'impression de découvrir sous un nouveau jour le personnage de Jasper que je trouve plus fascinant qu'il y a 10 ans.

L'écriture de Stephenie Meyer est toujours aussi fluide et addictive. J'ai commencé à lire doucement ce livre pour le savourer et après plusieurs mois, j'ai craqué et je l'ai dévoré. le rythme qui est donné au récit correspond bien au premier ouvrage malgré le fait qu'il soit plus long en termes de pages. Les explications ne sont ni trop longues, ni trop courtes.
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Stephenie Meyer a cédé à la tentation de réécrire le premier tome de sa fameuse saga du point de vue exclusif d'Edward. Ce n'est pas la première à s'essayer à l'exercice, bien souvent périlleux, car terriblement attendu par les fans et parce que c'est difficile de donner un nouveau souffle à une intrigue connue de tous et pour laquelle tout suspense semble impossible. Bien souvent, les auteurs tombent alors dans la facilité et même si on est content de retrouver des personnages bien aimés, c'est la déception qui attend le lecteur au bout du chemin, un peu comme quand on revoit son premier amour à la quarantaine. Un petit frisson au premier croisement de regard et puis, presque un soulagement que la vie nous ait séparés.

Avec Midnight Sun, vous aurez compris, que je n'attendais pas grand chose, si ce n'est un peu de nostalgie. Et bien... quelle erreur!
Parce que j'ai trouvé que ce 5e tome était vraiment une réussite. Non seulement j'ai apprécié de revivre le début de cette belle romance du point de vue de l'énigmatique Edward, mais en plus, ce roman a, pour ma part, ajouté toute une consistance à l'intrigue originale. On savait Edward torturé et on l'a découvert presque plus pétri d'humanité que les humains eux-mêmes. Stephenie Meyer a comblé tous les "trous" du premier tome; on sent qu'elle maîtrisait le personnage d'Edward dans toutes ses facettes depuis le premier jour.
D'après les interviews qu'elle a donnés, il semble qu'elle ait accouché de cet ultime tome dans la douleur. Sans doute parce que c'est beaucoup plus noir que le reste de la saga. Et oui, sonder l'âme d'un vampire amoureux, qui déploie d'énormes efforts pour ne pas succomber à la tentation et qui, en même temps, sait déjà que l'éternité sans son âme soeur ne pourra qu'être enfer, ce n'est pas gai.
Et c'est avec délice que les fans se plongeront dans les méandres de l'âme torturée d'Edward, jusqu'à la damnation s'il le faut.
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