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Critiques filtrées sur 2 étoiles  
J'ai beaucoup aimé l'autobiographie de Sam Millar, On the Brinks, ainsi que son roman Poussière tu seras, à la plume crue et virtuose.
Mais ici, clairement, c'est sans moi. J'ai trouvé le début des Chiens de Belfast abominable. Beaucoup trop trash, en tous cas pour moi.
Je n'ai franchement eu ni le cran, ni le courage ou même juste l'envie d'aller plus loin.
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J'ai aimé la dureté et la violence du ton, certains passages et le détective Karl Kane mais je me suis perdue dans les autres personnages qui sont peu développés et n'ont pas assez de texture à laquelle me raccrocher et les retenir. J'ai confondu les noms, fait de nombreux retours en arrière. Dommage car l'histoire était sympathique, même si cela reste classique avec une fin assez commune. Je ne suis pas certaine de lire le second.
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Je ne suis pas totalement convaincue et bêtement j'ai loué le tome suivant en même temps que celui-ci... Mais je mets la charrue avant les boeufs: Les chiens de Belfast est un polar bien noir se déroulant, comme vous l'auriez probablement deviné, à Belfast, et présente les embrouilles où se fourrent un détective privé qui colle tellement au genre, (divorcé, boit trop, fume trop, a des soucis d'argents et couche avec une midinette trop jeune pour lui), qu'il en frise le cliché.
Mais c'est moins le détective que je reproche que le côté racoleur de la violence du bouquin, qui comme c'est à la mode en ce moment, en fait vraiment des tonnes dans le sordide. On n'est même plus horrifié, simplement nauséeux.
Bref, et bien que je lise surement le deux parce que j'ai horreur de rendre des livres pas ouverts à la bibliothèque, ce n'est pas un roman que j'ai très envie de recommander!
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Je viens de prendre à la librairie le premier tome des aventures du détective privé Karl Lane inventé par l'écrivain irlandais de polar, Sam Millar. Il me donne envie de lire les suivants ! Une trilogie semble-t-il.
Beaucoup de tueries dans ce polar, apparemment sans liens mais petit à petit, on finit par comprendre qui tient les ficelles et là, c'est noir, très noir.
Un bon moment de frissons intenses avec de temps en temps des touches d'humour (une blague salace de Groucho Marx ; des tee-shirts avec des inscriptions sympa : "I Don't Have A Dick, So I Make The Rules" ou bien "Life Is Liberated As Long As I'm Medicated!" ) , de bonnes citations de Raymond Chandler, Mark Twain, Ernest Hemingway. Celle de Friedrich Nietzsche tiré du Gai Savoir illustre bien l'intrigue : "Le secret pour moissonner l'existence la plus féconde et la plus grande jouissance de la vie est de vivre dangereusement." Il y a aussi des jeux de mots sympa que le traducteur a eu du mal à reproduire en français mais bon, on comprend pourquoi "Chalk Karl et Cheese Tom étaient les meilleurs amis du monde depuis leur arrivée à l'école secondaire." C'est une manière de dire à quel point Karl et Tom étaient différents : "different as chalk and cheese".
Arrivée à la fin, pourquoi ne pas continuer de découvrir les aventures du plus cabossé des privés, Karl Kane en cherchant la suite de ce bon polar en librairie.
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