Adieu érotisme fantasmé d’un Orient de légende, complaisamment fabriqué, servi réchauffé par des générations d’érotomanes de cabinet. Place à l’obscénité du réel, à la satire brutale des copulations, à la dérision des postures les plus dégradantes, aux vices et à l’interdit. Épître de la queue et Douze séances salées (l’un persan et l’autre ottoman d’expression arabe) s’inscrivent dans la tradition séculaire du hazl, l’obscénité divertissante. Ils sont inconnus en E... >Voir plus