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En Pennsylvanie, Connie, jeune fille pensionnaire dans une école, assassine sauvagement une de ses camarades de classe.
Elle l'avoue tout de suite, donne toutes les raisons qu'elle avait de la tuer, et tente de minimiser le rôle de son petit ami, membre de la communauté Amish du comté.
L'enquête va quand même se poursuivre dans cette communauté où une disparition et des scandales sexuels ont déjà eu lieu.

Le thème est glauque, mais il faut savoir que l'auteur s'est inspiré de faits réels, à savoir des meurtres de jeunes gens par d'autres jeunes gens, dans des communauté amish, ainsi que des scandales pédophiles.
Le portrait des Amish est sévère : on leur demande de respecter le justice américaine, et ils vont choisir soit de se faire justice aux-mêmes, soit de mettre la poussière sous le tapis !

De Michel Moatti, j'avais déjà lu « Les retournants », tiré aussi d'une histoire réelle, sur deux déserteurs pendant la première guerre mondiale, qui prenaient la place de médecins pour fuir.
Ce récit est de nouveau un document romancé sur des affaires criminelles, ce qui explique les aller et venues dans le temps au fil des procès, ainsi que les répétitions au fil des interrogatoires.
Mon avis est mitigé, et je suis partagée entre l'intérêt documentaire et social du sujet, et le récit lui-même qui, à mon avis, manque parfois de fluidité...

Merci à Babelio/Masse critique et les éditions Hervé Chopin

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Lancaster est en Pennsylvanie et c'est là que s'est produit le crime atroce d'une adolescente par une autre adolescente et son copain Amish. Cet acte a marqué à jamais l'esprit de cette petite ville.
L'auteur, Michel Moatti s'est inspiré de plusieurs crimes réels pour nous concocter cette histoire. Histoire de vies ravagées, par les violences de toutes sortes, par le sectarisme de la communauté Amish, par le non espoir.
Dès le départ du récit, on connait tout de l'atrocité du geste et de ceux qui l'ont perpétré. Alors, c'est le long récit des procédures judiciaires, des mobiles incompréhensibles qui pourraient justifier (?) un tel geste, du retour dans le temps pour nous faire connaître les responsables.
Dommage, on a peu portraitisé la victime. (La vraie victime étant Coleen Slemmer tuée en 1995 au Tennessee). Toute la place est prise par la meurtrière froide, glaciale même et n'exprimant aucun regret. En ce qui concerne son complice, le jeune Amish, on n'en sait peu sur lui. Sur sa communauté par contre, même si l'on sait déjà tout ça, scandales sexuels et violences au sein de cette communauté de bonté, d'amour, de prières et de religion, nous sont tout de même rappelés.
Un docu romancé, en livre audio, un brin répétitif, d'une grande noirceur et qui glace le sang.
Merci à NetGalley.Fr pour le livre audio magnifiquement rendu par Stéphanie Cassignard. #Lancaster #NetGalleyFrance.

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Roman très décevant car tout est révélé dès le début du livre : Connie, une toute jeune femme, a longuement torturé et assassiné une camarade de classe.
Le roman prétend à la fois nous faire pénétrer la psychologie des personnages et nous faire découvrir la communauté Amish.
Mais le roman tourne rapidement en rond, tous les détails sordides du meurtres sont décrits dès le début et l'auteur ne parvient pas à nous rendre sympathiques les personnages, malgré leurs vies difficiles, que ce soit à cause d'abus sexuels ou de la vie au sein d'une communauté très fermée.
Je me suis rapidement ennuyée et la victime elle-même ne m'a inspirée aucune sympathie, on ne nous la présente que comme un corps torturé, on ne saura presque rien d'elle ou de sa vie.
La communauté Amish n'a finalement qu'un rôle assez mineur dans cette histoire, et je n'ai rien appris que je ne savais pas déjà sur leur mode de vie.
Le fait divers relaté est certes atroce, mais le récit est lent et très répétitif.
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En Pennsylvanie, Connie est arrêtée pour le meurtre d'une camarade de classe. Un acte d'une violence inouï que la jeune femme ne niera jamais.
Je vais commencer par le principal atout de ce livre audio : la narratrice. Stéphanie Cassignard apporte un vrai plus à cette histoire sordide, en l'incarnant avec talent, donnant vie au personnage, particulièrement à Connie, jouant de son timbre pour figurer tour à tour l'impertinence ou le détachement de la meurtrière.
Pour le reste, c'est plus compliqué. Parce qu'on sait dès le départ qui a tué, qui a été tué. L'enjeu du roman ? et bien je me le demande tant le récit est répétitif, tournant en boucle sur les mêmes informations. Pas de suspense, pas de retournement de situation, pas de révélation pour venir relever l'intérêt de l'histoire.
Côté personnage, Carol, la victime, est réduite au calvaire qu'elle subit. On ne sait pas grand-chose d'elle donc difficile de s'identifier, ou même de compatir face à une personne dont la description se limite à une liste de blessures. Connie, malgré tout ce qu'elle a subi n'arrive pas non plus à devenir sympathique. Quant à Tarabont, il est également difficile à cerné et présente peu de profondeur.
Si vous souhaitiez une immersion en milieu amish, passer votre chemin. Si Tarabont est bien issu de la communauté et que certains chapitres en parlent, l'auteur se contente de rester dans les sentiers battus de ce que l'on sait déjà. Rien de bien nouveau sous le soleil, et surtout bien loin de l'immersion promise par le résumé.
Si je ne peux que relever le talent de Stéphanie Cassignard comme narratrice, je suis déçue par ce roman sans enjeu qui m'a ennuyée du début à la fin.

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Le tout petit avis de Kris pour Collectif Polar
L'auteur de "Retour à Whitechapel" et lauréat du Prix Polar de Cognac plonge dans les mystères de la communauté Amish.
Il revient avec un thriller angoissant. Un huis-clos, dans une Amérique de l'après-Trump et post-covid.
Il rend ici un hommage contemporain aux grands romans claustrophobes d'Agatha Christie.
Glaçant, sombre et déstabilisant peuvent résumer ce roman.
L'enquête criminelle conduit bientôt dans les secrets d'une communauté amish très fermée dont est issu Tarabont. Histoire inspirée d'un fait divers.
A ne pas rater ….
Lien : https://collectifpolar.blog/..
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Dans le comté de Lancaster en Pennsylvanie, le corps d'une jeune fille a été retrouvée dans un état qui laisse peu de doutes sur la cruauté à laquelle elle a dû faire face. La coupable, Connie, est très vite identifiée, il n'y aura pas d'enquête dans ce livre, juste un récit des faits et une plongée dans la communauté Amish dont la victime est issue. de plus, elle n'était pas seule ce jour-là, elle était avec celui par qui tout a commencé. Quel est leur lien ? Quels sont les faits ? Tout peut-il vraiment s'expliquer ?

La personnalité de la meurtrière est très complexe et ce qu'elle va raconter fait froid dans le dos. Au début, on pourrait presque s'attendrir de son début de vie catastrophique, fait de violence et d'abus mais lorsque l'on découvre ce qu'elle a fait subir à sa camarade de classe, l'empathie et la compassion font très vite demi-tour.

J'ai écouté ce livre avec une certaine neutralité, n'étant pas spécialement emballée mais pas rebutée non plus. Je pensais découvrir un true crime mais ici, il s'agit plutôt d'une histoire née de plusieurs faits divers. Cependant, cela n'a pas été un problème étant donné la malheureuse plausibilité de ce crime. Pourtant, il m'a peut-être manqué certains détails pour me plonger entièrement dans cette histoire. En revanche, j'ai tout de même été choquée par certains faits ainsi que par la personnalité de Connie dont la noirceur et le manque d'émotions glacent le sang. Et j'ai appris que tout ne peut pas être compris ou bien expliqué.

"La noirceur qui réside en l'homme est souvent plus effrayante que celle qui sévit dans l'obscurité." - Edgar Allan Poe
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Un roman policier inspiré d'un "true crime" au coeur de la très sombre et secrète communauté Amish !
A découvrir en version audio chez @VOolume grâce à l'interprétation de Stéphanie Cassignard !
Âmes sensibles s'abstenir...

Michel Moatti s'est inspiré de plusieurs cas réels ayant défrayé la chronique aux États-Unis dont celui du meurtre accompagné d'actes de barbarie de la part de Christa Pike sur sa camarade de classe Colleen Slemmer en 1995.. L'auteur de "Retour à Whitechapel" pose son regard affuté de sociologue sur la communauté Amish. Un monde clos et hermétique au monde contemporain, mais tout aussi corrompu par la violence...

Pennsylvanie, comté de Lancaster. Connie Stotter, 18 ans, est arrêtée pour le meurtre de l'une de ses camarades de classe, Carol Corman, avec la complicité de son petit-ami appartenant à la communauté Amish, Tarabont Kheler. La violence inouïe de la scène de crime la dirige tout droit vers les couloirs de la mort. L'enquête criminelle dissèque le passé de la jeune meurtrière, archétype des laissés-pour-compte de la société américaine, et met à jour les inavouables secrets de la communauté Amish voisine.

Je remercie @VOolume et @NetGalleyFrance de m'avoir permis de découvrir ce récit effroyable et glaçant dont je n'avais pas entendu parler.

Dès le début de l'intrigue, l'identité de la meurtrière est déjà connu. Connie est emprisonnée depuis onze ans et attend d'être envoyée dans les couloirs de la mort : elle a été condamnée à la peine capitale pour meurtre avec préméditation accompagné d'actes de barbarie.

Au fil de l'écoute, le but est donc de découvrir quel est le mobile de ce crime d'une bestialité effroyable de la part d'une jeune fille de 18 ans. S'agissait-il d'une simple histoire de jalousie entre Connie et Carol ? Connie avait-elle peur que Carol ne séduise son petit ami Amish, Tarabont ? Ou bien les racines du Mal sont-elles bien plus profondes et remontent à l'enfance de Connie ?

C'est ce que l'auteur tente de disséquer au cours de ce récit fragmenté, morcelé, décousu. La structure narrative reflète l'état du corps de Carol retrouvé mutilé, le crâne défoncé, dispersé près d'un tas d'ordures. L'intrigue alterne entre les nombreux témoignages d'anciens camarades de classe de Connie, de policiers, de légistes, mais aussi d'extraits d'audience au procès, de descriptions de photos médico-légales ou d'enregistrements des faits relatés par Connie elle-même.

Cela permet de donner de la crédibilité au récit grâce aux détails sordides qui nous sont exposés sans ménagement. Mais, ce constant va-et-vient est aussi très déstabilisant, d'autant plus en version audio, car cela crée une certaine confusion. Tout comme le détachement, la déshumanisation, l'absence d'affect que l'on perçoit de la part de Connie. Petit bémol : j'ai trouvé dommage que le portrait psychologique des personnages secondaires de Tarabont et de Carol soit si peu détaillé.

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Lancaster. le lecteur saura tout dès le début du meurtre de Carol par une de ses camarades de classe, Connie, ou plutôt, il croira tout savoir, parce que le roman inlassablement, reviendra sur la meurtrière, sur son complique, sur sa vie d'avant, sur sa vie d'après, sur ce qui l'a amené à commettre ce meurtre barbare.
Oui, mais voilà : j'ai eu l'impression que l'on en revenait sans arrêt aux mêmes faits, que l'on revoyait sans arrêt la scène du meurtre, les déclarations de Connie qui n'exprime aucun regret de ce qu'elle a fait, accablant la victime, responsable selon Connie de ce qui lui est arrivé. L'on reviendra aussi, souvent, sur ce que Connie a subi, avant même sa naissance, sur les nombreuses et insoutenables maltraitances qu'elle a endurées, de la part de sa mère, de la part des compagnons successifs de sa mère. C'est parfois insoutenable, et l'on peut se demander pourquoi personne n'est venue en aide à Connie.
Ce qui se passe dans la communauté Amish voisine, dont est issu Tarabont, le petit ami de Connie, n'est pas tellement plus reluisant. Tout se passe en vase clos. Ils refusent tout contact avec les « anglais », nom qu'ils donnent à tous ceux qui n'appartiennent pas à leur communauté ? Ils ne valent pas mieux, si ce n'est qu'ils le pensent, en sont persuadés, le mal ne veut venir que de l'extérieur. Si un membre de leur communauté finit par être victime de quelque chose, eh bien, c'est peut-être de sa faute – tout simplement. Il n'est pas vraiment de moments, dans ce récit, où je n'ai pas ressenti de la colère, face à l'inaction, à l'aveuglement, à l'hypocrisie qui sont constamment dénoncés.
Il est finalement quelqu'un que l'on voit peu, dont on parle peu, c'est Carol, la victime. Qui était-elle réellement avant de n'être que ce corps tragiquement ensanglanté ? J'ai l'impression que l'on ne le saura pas, même si l'on a bien pris de plein fouet la douleur de ses proches à l'annonce de son décès. de même, Tarabont, qui a été mis au ban de la communauté Amish, paraît presque comme une ombre, une silhouette, un complice presque malgré lui, dépassé par le cours des événements.
Si je retiens véritablement une chose de cette écoute, c'est le remarquable talent de Stéphanie Cassignard, la lectrice de ce texte, qui parvient parfaitement à incarner chacun des personnages, à rendre vivant, émouvant, percutant ce récit. Sans sa lecture d'une expressivité constante, ce récit ne serait pas le même. Bravo à elle.
Lien : https://deslivresetsharon.wo..
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Lancaster, le fait divers qui a bouleversé l'Amérique par Michel Moatti, lu par Stéphanie Cassignard VOolume, 2023 (1ère édition : Hervé Chopin, 2023)

Un titre centré sur le lieu : le comté de Lancaster, en Pennsylvanie.
Un sous-titre explicite : ne jeune fille est arrêtée pour le meurtre de l'une de ses camarades de classe. La violence inouïe du crime la dirige tout droit vers les couloirs de la mort. L'enquête criminelle dissèque le passé de la jeune meurtrière, archétype des laissés-pour-compte de la société américaine, et met à jour les inavouables secrets de la communauté Amish voisine.
Michel Moatti s'est inspiré de plusieurs cas réels ayant défrayé la chronique aux Etats-Unis pour imaginer une histoire particulièrement glauque et sordide.

Beaucoup de répétitions dans la narration, d'insistance sur les détails sauvages du crime, au détriment d'un véritable travail sur certains personnages.
Pas vraiment de suspense puisque la coupable est connue dès le départ.
Point positif cependant : la mise en lumière de la manière de régler les problèmes dans la société Amish. Une approche manifestement documentée.
La version audio se laisse écouter. J'ai apprécié la voix légèrement voilée de la narratrice, sa prise de recul factuelle.

Ce roman m'a un peu dérangée. On y sent bien la patte du journaliste, le besoin de faire du sensationnel pour attirer les lecteurs.

#Lancaster #NetGalleyFrance

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Ce roman adapté en version audio est inspiré de plusieurs faits réels ayant défrayé la chronique aux Etats-Unis, notamment l'histoire de Christa Pike, l'une des plus jeunes condamnées à mort des USA, reconnue coupable du meurtre par torture d'une camarade de classe. Michel Moatti se base sur ce fait divers sordide pour dépeindre l'Amérique des laissés pour compte et s'interroge sur les conséquences d'une enfance dévastée.

Pennsylvanie, comté de Lancaster. Connie Stotter, une jeune lycéenne de 18 ans est arrêtée pour l'assassinat de sa camarade de classe, Carol Corman. le crime d'une violence incroyable a été perpétré de sang froid, avec l'aide du petit ami de Connie, Tarabont Kheler, un membre de la communauté amish. L'enquête et le procès qui vont suivre dissèquent les mécanismes de ce crime. Les acteurs de ce procès vont tenter de comprendre les motivations de Connie et de son compagnon. Nous apprendrons d'elle qu'elle est née dans la violence, qu'elle a été maltraitée par sa mère et les compagnons successifs de celle-ci, violée et battue depuis son enfance, nous comprenons qu'elle n'a pas reçu les clefs permettant à chaque enfant bienvenu dans ce monde de se construire sur de bonnes bases ou d'apprendre à les acquérir. Quant à Tarabont, il appartient à la communauté très secrète des Amish, qui comme toute société possède ses travers : la corruption, la violence, le pouvoir y règnent en maître comme ailleurs. Son influence sera néfaste sur Connie, mais même sans lui, ce que la jeune fille a connu par le passé a eu suffisamment d'emprise sur elle pour la ravager totalement.

Je n'avais jamais lu Michel Moatti auparavant et j'ai découvert le talent de conteur de cet auteur français. J'ai été conquise par son style qui m'a rappelé mon écoute récente du roman de Dennis Lehanele Silence : les deux auteurs ont en commun le souhait de peindre un portrait sans concession d'une Amérique sombre et torturée. Ce roman terriblement réaliste est porté dans sa version audio par l'excellente interprétation de Stéphanie Cassignard… Là je me pose une question inédite : ce texte est-il aussi éloquent dans sa version papier ? Je m'explique : il m'a semblé que le timbre de voix adopté par Stéphanie Cassignard lors de son interprétation de Connie Stotter conférait à ce personnage un côté humain que ses actes et le jugement que les autres lui portent ont tendance à effacer, lui donnant l'image d'un monstre. Or j'ai ressenti au cours de mon écoute de l'empathie pour elle en dépit de ce qu'elle a fait, et j'ai l'impression que la voix de la narratrice révèle une grande part de l'immaturité de Connie. Elle est restée une enfant parce qu'elle n'a pas pu évoluer favorablement en raison de ce qu'elle a pu vivre. Cela n'efface en rien l'horreur de ses actes mais l'ambivalence est là, et le libre-arbitre du lecteur également…

A l'heure où l'on se rend enfin compte des effets désastreux des violences commises sur les enfants, ce roman complète la réflexion que nous commençons à porter sur la société : celle-ci a les monstres qu'elle mérite. le personnage de Connie m'a semblé plus prépondérant que celui de Tarabont, ce qui explique que les considérations faites sur la communauté amish soient pour moi passées au second plan. Elle n'est pas à mon avis le sujet du livre, elle en est la toile de fond, elle est corrompue comme toute autre société, et il était très intéressant de comprendre à quel point le décalage est total entre cette communauté qui choisit de vivre en dehors de toute technologie et notre société qui évolue au contraire trop rapidement.

Cet audiolivre m'a véritablement transportée outre-atlantique et en dépit des horreurs que j'ai pu découvrir, je ne regrette absolument pas le voyage. Merci aux éditions Voolume et à Netgalley pour cette écoute.
Lien : https://loeilnoir.wordpress...
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