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Critiques filtrées sur 5 étoiles  
Qu'est ce qu'il est beau ce livre !!

Je me suis régalée, j'ai eu envie de mettre une phrase sur deux en citation ( là c'est mes origines lointaines marseillaises qui ressortent.. mais il y en a beaucoup quand même ).

Un roman assez court, qui se lit tout seul. Un roman qui fait du bien, un peu comme un roudoudou qu'on savoure doucement. Un roman qui donne l'envie de poursuivre ses rêves.

Et puis il faut reconnaître que je suis plus habituée a lire Nadine Monfils dans un autre registre , plus déjanté, mais ici ça plume prend je crois tout son talent car elle est pleine de poésie et de douceur.

Je ne connais pas du tout ce palais tant évoqué mais il n'est pas très loin de chez moi.. et ce roman m'a bien donnée envie de le visiter, donc un weekend a programmer aux beaux jours. Mais c'est aussi l'envie de rencontrer cet homme formidable, peu instruit, mais avec une philosophie de vie incroyable.. un être humain entier, avec ses qualités et ses défauts.

Un roman que je conseille fortement. Je crois qu'il est bon de le garder sur sa table de chevet et de relire certains passages quand le creux de la vague nous emporte.
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Ferdinand Cheval exerçait son métier de facteur dans la Drôme au début du siècle dernier.
Il parcourait des kilomètres pour remettre ses lettres dans les chemins et la caillasse.
Il n'avait pas été épargné par la vie car il a dû subir la perte d'êtres très chers.
Le seul moyen qu'il a trouvé pour se sortir de ces peines atroces a été de construire son palais idéal à l'aide de cailloux choisis le long des chemins empruntés pour distribuer son courrier.
Lors des tournées, il les entassait et venait les reprendre plus tard avec sa brouette. Il a réalisé un travail titanesque pour réaliser son oeuvre, pour laisser une trace.
Il était abonné à des revues de voyages et possédait un dictionnaire géographique. Cela suffisait à le faire rêver et à créer les formes, les personnages à ériger sur son petit palais aurais-je envie de dire, car l'édifice n'était pas destiné à l'habitation.
J'ai beaucoup apprécié son amitié avec Joseph, le peintre taiseux qui allait devenir son grand ami et lui donnerait l'occasion de retrouver la force de continuer sa construction grâce à un mensonge inventé pour dépasser sa douleur.
Je ne connaissais Nadine Monfils que dans des écrits légers où elle pousse l'humour parfois un peu loin.
Ici, elle nous livre des réflexions profondes et magnifiquement exprimées sur le sens de la vie à cette époque très rude. Rien ne nous empêche de les transposer actuellement : elles résonnent toujours de façon aussi vraie.
Une toute belle lecture que j'ai intégrée tout particulièrement en pensant à mon père qui trouvait dans la marche un grand apaisement après le stress du travail. Il avait été subjugué par cet endroit qu'il avait découvert dans les années 80 en descendant vers le Vaucluse. Je crois que ma mère avait été un peu moins enthousiasmée par la visite et mes filles aussi. Chacun ses sensibilités.
J'ai pu voir le film avec Jacques Gamblin qui joue le rôle de Ferdinand Cheval et maintenant voici le roman de Nadine Monfils qui donne encore un autre aspect de l'histoire tout à fait réussi.
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De style "Art naïf", le Palais idéal est un chef-d'oeuvre unique en son genre, construit des mains de Joseph Ferdinand Cheval, entre 1879 et 1912. Né dans une famille de modestes agriculteurs de la Drôme, il exercera quelques années la profession de boulanger avant d'être reçu au concours de postier en 1867. le facteur Cheval sera affecté à Hauterives, en charge d'une longue tournée pédestre d'une trentaine de kilomètres qu'il effectuera jusqu'à sa retraite en 1896. Sa vision du Palais idéal va prendre forme dans son imagination lors des rêveries solitaires qui meublent ses longues marches journalières. Faisant fi des railleries et se moquant bien de passer pour un louftingue, il posera la première pierre de son palais en 1879, l'achevant trente-trois ans après. Qui était vraiment cet homme atypique ? L'auteure va revêtir la peau du personnage dans cette biographie romancée et bâtir une fiction de papier telle qu'aurait pu l'imaginer cet homme à la fantaisie débridée dans ses rêves les plus insensés…

S'inspirant librement de la vie de ce postier monomaniaque qui voulait oublier la perte tragique de ses enfants et donner un sens à vie, Nadine Monfils a tricoté une poétique et émouvante fiction en se glissant dans la tête de cet individu singulier. Rédigé à la première personne, ce roman nous entraîne dans l'univers féérique du Facteur Cheval qui donna corps à ses rêves les plus fantasmagoriques, pour oublier sa condition d'humble mortel et entrer dans la postérité.
"Le rêve d'un fou" m'a procuré un très beau moment d'évasion en ce temps de confinement hivernal. C'était un peu comme si le Facteur Cheval me susurrait à l'oreille : garde ton âme d'enfant et ne laisse personne ternir tes idéaux. Si tu demain tu veux un monde meilleur, libre à toi de le bâtir à ta guise !
Lien : https://leslecturesdisabello..
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«Cheval. Je m'appelle Ferdinand Cheval. Je t'ai choisie parce que tu as le coeur en morceaux. Je sais qui tu es. Quiconque entre dans mon Palais perd ses repères et redevient un enfant. Quand tu sortiras d'ici, tu ne seras plus jamais la même. Ton esprit aura des ailes et tu verras ton âme dans les miroirs. Maintenant, assieds-toi, dos au mur, ferme les yeux et écoute-moi.»
Comme Nadine Monfils, et comme certainement beaucoup de peits français, j'ai visité avec mes parents, le Palais du facteur Cheval alors que j'avais quinze ou seize ans.
Cette visite ne laisse pas indifférent, comme l'affirme avec justesse la citation de Ferdinand Cheval.
Délaissant son style habituel et ses histoires déjantées, Nadine Monfils nous livre une histoire qui la concerne au plus haut point. Elle se livre en faisant parler Ferdinand Cheval, sans prétendre faire un travail d'historienne et restituer la véritable histoire de la construction du palais. Il y a des tonnes d'ouvrages sur le sujet...
Elle se contente de faire parler l'homme, terrassé par les décès successifs dans sa famille, son fils, sa fille, puis sa femme, son ami,...qui recrée avec la construction de son palais la réalité qui lui a échappé dans la vraie vie, la réalité qu'il appelait de ses voeux.
«Fils de paysan, paysan moi-même, j'ai voulu vivre et mourir pour prouver que, dans ma catégorie, il y a aussi des hommes de génie et d'énergie. le travail fait ma gloire et l'honneur, mon seul bonheur. 
En cherchant, j'ai trouvé. Quarante ans j'ai pioché pour faire jaillir de terre ce Palais de fées. Pour mon idée, mon corps a tout bravé, le temps, la critique, les années. La vie est un rapide coursier, ma pensée vivra avec ce rocher.»
La voix de Ferdinand vu par Nadine Monfils ne se contente pas de restituer le passé, elle donne un avis sur ce qu'il adviendra de son palais dans le futur :
«D'ailleurs, il a bien failli être démoli. C'est grâce à Malraux qui l'a classé monument historique en 1969, (...) après ma mort, de nombreux artistes ont fait référence à mon oeuvre, et non des moindres ! Ainsi, Picasso se rendait chaque année à Hauterives pour admirer mon Palais. Il fut également encensé par Max Ernst, Paul Eluard, André Breton et bien d'autres…»
Ferdinand nous interpelle également, nous qui rêvons devant son palais mais sommes incapables de rêver :
«Ne plus croire aux contes de fées, c'est piétiner les rêves, tomber dans le néant, devenir adulte. Et Dieu sait combien je les ai fuis ces gens « raisonnables » et ennuyeux. Pas mon monde. Méfie-toi de ceux qui savent, ce sont des fossoyeurs de bonheur.»
La force du roman de Nadine Monfils est, à mon sens, de restituer l'esprit du Facteur Cheval en donnant au lecteur des clefs de lecture sans l'enfermer dans les habituels lieux communs sur le palais idéal.
Un livre très court, très fort, très juste, dont la philosophie dépasse celle d'un roman «feelgood» pour nous interroger sur notre relation à l'autre, notre rôle et notre apport dans le monde. Plus qu'un solitaire ou un égoïste prisonnier de ses rêves, Cheval est à sa façon une sorte de lanceur d'alerte.
Merci à Nadine Monfils d'avoir réveillé en nous l'esprit du Facteur Cheval.
Lien : https://camalonga.wordpress...
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Coup de coeur absolu pour ce roman de ma compatriote Nadine Monfils. Quel bonheur de la retrouver dans un registre différent, pas de plume déjonctée cette fois, non, juste une plume poétique, magnifique, emplie de tendresse et de poésie. Un régal.

Le rêve d'un fou, c'est l'histoire d'un homme : Ferdinand Cheval.

Un homme marqué par la mort dès son plus jeune âge, il perd successivement sa maman, son papa, plus tard il perdra son premier fils, sa première femme et sa fille Alice à l'âge de 15 ans. Pourtant cet homme se raccroche à la vie en réalisant ses rêves... au sens propre comme au sens figuré.

C'est en effet dans un songe, à la mort de son fils que des images du Palais ont commencé à envahir sa tête. "Rêver pour ne pas entrer sous terre avec lui"

il aime lire même s'il n'a pas beaucoup d'instruction. Il découvre dans la revue "Le magasin pittoresque" les architectures lointaines.

Un jour, dans sa tournée car notre ami est facteur à Hauterives dans la Drôme, il trébuche sur une pierre étrange, c'est le 19 avril 1879, à la naissance de sa fille Alice. Il la met en poche pour l'observer, il en ramassera d'autres marchant inlassablement après des tournées de plus de trente kilomètres. Il se mettra à construire sans plan, sans notion d'architecture, son palais des Songes, le palais idéal.

Il a mis 33 ans pour le construire, ce palais admiré par Picasso, André Breton et bien d'autres. Un palais sauvé de la démolition et classé par Malraux en 1969.

Nadine Monfils fait parler le facteur Cheval, elle y intègre des textes venant de lui..; Mais c'est un roman, la biographie est respectée mais idéalisée avec l'apparition d'un peintre Joseph et de sa fille.

Ce roman est un petit bijou. Une pépite, on a envie de souligner et méditer presque toutes les pages. Tendresse, amour d'un père pour ses enfants, réflexions sur la vie, sur la mort, le sens de l'art, le rêve car le plus important est de rêver et d'atteindre l'inaccessible étoile (n'est-ce pas Jacques ?)
car oui c'est le rêve qui sauve nous dit Ferdinand Cheval

L'écriture n'est que poésie et douceur, philosophie. Ce roman est très court mais tellement riche en réflexions, émotions. C'est beau..

Après la lecture, j'ai regardé le film et je n'ai qu'une envie, aller à Hauterives voir et ressentir la beauté des lieux et de ce palais.

Merci Nadine ♥!

Gros coup de ♥

Les jolies phrases

Comment survivre à la mort de ses enfants ? C'est bien la pire des douleurs. Celle qui nous donne envie d'aller les rejoindre, de pleurer toutes les larmes de son corps et de perdre tout goût à l'existence, parce que cette mort-là n'est pas dans l'ordre des choses. Nous sommes des arbres et chaque fois que meurt une personne qu'on aime, c'est comme si on nous coupait une branche. Quand un enfant disparaît, elles tombent toutes d'un coup.

La passion, quelle qu'elle soit, nous sauve de tout.

Parce que tout peut disparaître. Seule l'âme résiste au temps.

Les rêves, ça chasse les larmes.

Parfois, il vaut mieux rester avec ses rêves. Parfois pas. Pour le savoir, il faut les vivre. Et une vie sans risques n'est pas une vie. La peur... C'est la pire des prisons ! Elle coupe les ailes.

Rêver pour ne pas rentrer sous terre avec lui. Pour ne pas me noyer dans une vallée de larmes.

Les hommes sont pareils à des fourmis qui grouillent, s'entremêlent, se grimpent dessus et s'écrabouillent. Des fourmis qui, de toute façon, ne tirent aucune leçon de la vie et continuent à reproduire les mêmes conneries, jusqu'au jour où la planète deviendra invivable. On avait deux magnifiques cadeaux : la nature et l'amour. Et qu'est-ce que nous, crétins d'humains, en faisons ? du gâchis. On piétine tout sans vergogne. Et ceux qui ont du respect se font bouffer par les autres. Pourquoi un dieu aurait-il créé ça ? Nous ne sommes que des rouages d'un mouvement perpétuel qui fait avancer et reculer les aiguilles invisibles d'une horloge inutile. Tic ! Tac ! Boum ! C'est ça le sens de l'existence.

Qu'est-ce qu'une vie si on ne peut creuser son sillon soi-même ?

Nos pires ennemis sont ceux qu'on aime, parce qu'on a tendance à plier, à se courber, pour ne pas les blesser. Conclusion, nous nous blessons nous-mêmes.

Je le répète, il faut TOUT faire pour réaliser ses rêves, quitte à échouer ! La seule chose qu'on peut regretter à la fin de sa vie, et c'est la pire : c'est de ne pas avoir essayé.

Nous sommes tous prisonniers de quelque chose, surtout de nous-mêmes. Ce sont les pires barreaux à briser ! On peut fuir quelqu'un, mais pas soi.

Vis ta vie, la pire des prisons, c'est la peur.

Etre comme un sourire qui passe. Parce que c'est quand même le plus beau cadeau que l'on puisse faire. Que reste-t-il de nous quand nous ne sommes plus là, sinon le souvenir d'un coeur qui a donné plein d'amour ? le reste n'est que du vent.

Il arrive un âge où l'homme doit se faire à l'idée que sa force est dans son esprit et plus dans son corps.
Lien : https://nathavh49.blogspot.c..
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Bonsoir, une vraie histoire pour le point de départ de ce roman "Le rêve d'un fou" de Nadine Monfils (page officielle) chez Fleuve Editions. J'ai eu la chance de la rencontrer au Salon du livre de Brive et je suis repartie avec des rêves. Nous parlons ici du Facteur Cheval, cet homme qui a construit dans la Drôme un palais avec des petites pierres trouvées le long de son chemin, des petites sculptures qu'il a réalisées, des petites mosaïques, bref un vrai palais. Ce bâtiment existe vraiment, il se visite et c'est une merveille de voir que l'on peut aller jusqu'au bout de ses rêves. j'ai adoré cette histoire.
Quatrième de couv. le hasard sème parfois un peu de poudre d'étoiles pour aller au bout de nos rêves.
Quand le destin s'est acharné sur lui, le Facteur Cheval aurait pu sombrer dans la douleur et le désespoir. Il a plutôt choisi de se lancer dans un pari insensé : construire de ses propres mains son Palais Idéal. Mais une étrange rencontre lors de ses tournées va donner un tout autre sens à son rêve.
Parce que la passion est la seule chose qui peut nous sauver.
En s'inspirant librement de la vie du Facteur Cheval, Nadine Monfils nous offre un roman émouvant comme un hymne à la liberté, la poésie, l'art, et la foi en ce qui nous dépasse.
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Nadine Monfils nous propose un livre étonnant, émouvant et plein d'une philosophie de vie remarquable. Inspiré librement de la vie du facteur Cheval, ce livre suit un anti-héros simple qui a su transcendé le malheur pour en faire une oeuvre d'art insolite : le Palais Idéal. Peu causant dans la vie quotidienne ce facteur en milieu rural autodidacte a puisé dans toutes les architectures du monde pour donner vie à un monument étrange visité aujourd'hui par des milliers de touristes. L'autrice lui prête une correspondance touchante avec la fille d'un ami décédé dont il usurpe l'identité presque malgré lui. Cet échange va faire du bien aux deux correspondants et le porter pour poursuivre son rêve.
Un livre qui fait du bien, une rencontre avec un homme humble qui aimait l'art sous toutes ses formes.
Merci à Babelio et aux éditions Fleuve pour ce joli moment de lecture.
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C'est avec un peu d'appréhension que j'ai abordé ce court roman après une première lecture laborieuse de Nadine Monfils (les vacances d'un serial Killer) je ne voulais pourtant pas rester sur une seule impression... et là coup de coeur !

Librement inspirée de la vie de Ferdinand Cheval, facteur qui a construit pendant 33 ans le Palais Idéal, Nadine Monfils nous raconte son histoire entrecoupée de ses propres inscriptions gravées dans les pierres de son palais.
Cette histoire est fascinante même si elle n'est pas complètement vraie mais elle titille la curiosité, inspirante sur la façon de voir la vie et de diriger.
D'une belle écriture emplie de poésie, de douceur, de tendresse et de philosophie de vie, on s'accroche à ce livre et on le dévore en quelques heures. On le referme avec la certitude que tout devient possible, que l'on doit réaliser ses rêves peu importe la motivation, peu importe ce qu'en disent les autres. Ce sont nos rêves qui nous sauvent.

Pour en savoir un peu plus sur ce Palais je vous invite à vous rendre sur le site ou pourquoi pas de voir le film l'incroyable histoire du facteur Cheval
Lien : http://keskonfe.eklablog.com..
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J'aime les gentils dingues, ceux que l'on moque parce qu'ils sont en quête d'une inaccessible étoile, ceux dont les rêves sont plus forts que nos excuses pour ne rien faire.
Le facteur Cheval est de ceux-là. Nadine Monfils, en magicienne des mots, donne son coeur et son lumineux sourire pour lui redonner vie et nous faire entrer dans l'âme de cet homme incroyable. Elle confirme ainsi ce dont on se doutait à la lecture de ses polars : elle-même est une gentille dingue avec les yeux fixés vers les étoiles, elle-même est une bien belle personne.
Pas de jeux de mots loufoques dans ce rêve d'un fou, mais beaucoup de poésie, une infinie tendresse, et osons le mot, une certaine forme de sagesse, une certaine idée de la vie.
À lire absolument pour retrouver foi en l'être humain.

Livre reçu dans le cadre de Masse Critique. Merci Babelio et Fleuve Éditions.

#LeReveDunFou #NadineMonfils #FleuveEditions #FacteurCheval #lecture #livres #chroniques #MasseCritique

Le quatrième de couverture :

Le hasard sème parfois un peu de poudre d'étoiles pour aller au bout de nos rêves.
Quand le destin s'est acharné sur lui, le Facteur Cheval aurait pu sombrer dans la douleur et le désespoir. Il a plutôt choisi de se lancer dans un pari insensé : construire de ses propres mains son Palais Idéal. Mais une étrange rencontre lors de ses tournées va donner un tout autre sens à son rêve.
Parce que la passion est la seule chose qui peut nous sauver.

En s'inspirant librement de la vie du Facteur Cheval, Nadine Monfils nous offre un roman émouvant comme un hymne à la liberté, la poésie, l'art, et la foi en ce qui nous dépasse.
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Magnifique !
Je ne m'étais jamais intéressé à ce fameux facteur Cheval. Je suis content d'en savoir un peu plus sur lui.
C'est une lecture belle et simple qui nous montre que les rêves nous gardent vivants.
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