Il y a de ces romans dont il faut impérativement attendre la fin avant de pouvoir porter un jugement.
Anaïs, de
Jacques Montfer, fait partie de ceux-là. Et dire que, il y a quelques jours encore, je pestais contre ce roman que je me promettais de maltraiter après une lecture parfois assez pénible. Certes, la fin n'annule ni le parcours difficile du lecteur, ni les points faibles du texte, mais une lumière nouvelle baigne les personnages de ce roman, une fois passé le cap de la dernière page.
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