Totem

Potter's Field est une petite ville perdu dans les montagnes Rocheuses. Beaucoup d'éleveurs et peu de problèmes. Les habitants ont seulement dû dans les années 70 se confronter à une invasion de Hippies venus chercher l'isolement dans la création d'une communauté. Vingt ans plus tard, une étrange épidémie va toucher le bétail et les hommes et faire sombrer la population dans une hystérie collective.

David Morrell tient le lecteur en haleine du début jusqu'à la dernière page. Grâce à de belles description des hommes et des paysages on est très vite transporté et au milieu de l'action.

Saura-t-on un jour, ce qui s'est réellement passé à Potter's Field ?

Lorsque j'ai lu « épouvante » sur la couverture du livre, je me suis dit que ça me changerait de mes dernières lectures et j'espérais bien avoir peur. Moi qui n'ai jamais frissonner en lisant les Stephen King, je me disais que j'avais peut-être enfin trouvé un auteur qui saurait m'effrayer. Bon, quand une critique commence comme ça, vous vous doutez de la suite : je n'ai pas du tout eu peur, même pas sursauter, rien, nada, zéro ! Par contre, je pense qu'adapté en film, ça pourrait faire peur.
L'histoire intrigue au départ, on se demande de quel mal sont atteints les animaux et les gens mais au fur et à mesure que l'histoire avance, on n'apprend pas grand chose et au final, ça fait flop.
En bref : passez votre chemin.

"Totem" est le premier roman de David Morrell que j'ai lu. Attiré par la catégorie "thriller" dans laquelle ce livre est, entre autres, classé, il m'est apparu que cela est un petit peu exagéré. C'est une lecture récréative, plutôt plaisante, l'intrigue est sans surprise mais bien menée, les personnages attachants et relativement nuancés pour l'univers des polars, mais ce roman ne révolutionne ni le genre ni la littérature. le suspens n'est pas délirant, on sait assez sûrement comment cela va se terminer, mais l'investissement du personnage principal mérite d'être suivi. En revanche, quelques traits sont un peu grossiers, une Amérique un peu fruste y est décrite, une communauté hippie caricaturée, qui certes sont mis au service de l'intrigue, si on peut la nommer ainsi, mais impriment un peu de lourdeur à l'ensemble. La fin est hâtée, voire heurtée, c'est dommage.

Comment pourrais-je parler de ce roman d'horreur ou début cela commence comme un bon vieux policier. Il y a mort d'animaux au lieux d'humains mais c'est toujours qu'un début. La petite ville tranquille où il y arrive d'étrange chose n'est pas nouvelle même cela est très vieux dans les romans d'horreur classique et celui-si n'y échappe pas. L'auteur pour aller dans la facilité a mis des hippies (on dirait que la culture normal les hippies font parties des gens étranges car cela n'est pas première histoire où on les mettionnent) le reste est archi-classique et la fin pas tellement originale.

j'ai découvert en 2003 un auteur de la trempe de Koonts, King, Grangé et compagnie.
il a écrit La Cinquième Profession que je n'ai pas encore réussie a capturer dans mes filets
j'ai eu du mal a lâché mon livre pour aller dormir, pourtant le lendemain j'avais une rude journée qui m'attendais
je l'ai fini le soir même il ne me restais que 30 pages. Auteur à suivre !!!