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Critiques filtrées sur 3 étoiles  
Une couverture très rose, une auteure italienne et je m'imaginais déjà des analogies entre Quand on s'y attend le moins et le Parfum des sentiments de Cristina Caboni que j'ai lu (et adoré) il y a environ un an. Mais les deux romans n'ont finalement à peu près rien en commun, ce qui est dommage : les traits de la comédie sont ici trop forcés pour que je sois vraiment charmée par le roman de Chiara Moscardelli.
Le personnage central, Penelope, n'est pas sans rappeler Briget Jones : un jeune femme maladroite, coincée dans un job qui ne lui convient pas vraiment, très entourée par ses amis mais désespérément célibataire. J'ai toutefois trouvé que l'héroïne manquait un peu de subtilité pour être aussi touchante qu'elle le mériterait.
De la même manière, l'histoire, qui mêle romance et espionnage, m'a parfois donné l'impression de partir dans tous les sens, l'aspect "enquête" prenant beaucoup de place par rapport à la romance ce qui m'a un pu laissé sur ma faim.
Quand on s'y attend le moins a été une lecture très amusante, même si elle ne m'a pas tout à fait séduite.
Lien : http://lecturesdestephanie.b..
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Quand j'ai lu la présentation sur la 4ème de couverture, une héroïne comparée à une Bridget Jones italienne, j'ai immédiatement eu envie de découvrir ce roman - j'avais adoré "Le Journal de Bridget Jones" d'Helen Fielding.

Est également présent sur la 4ème de couverture le résumé de "Quand on s'y attend le moins" :
"Penelope a trente-six ans, quelques kilos en trop, une vie amoureuse désespérément inexistante, un job pas très épanouissant d'attachée de presse pour Pimpax – LA multinationale de la serviette hygiénique –, et elle est de surcroît affligée d'une maladresse quasi légendaire. Comment se sortir de l'impasse ? En s'en remettant au dicton de sa grand-mère : « C'est quand on s'y attend le moins que l'amour vous tombe dessus. » Ou, en l'occurrence, qu'on le percute à vélo. Car le jour où elle renverse le ténébreux Alberto, lui brisant la jambe au passage, Penelope en est certaine : ils sont faits l'un pour l'autre. Et lorsqu'elle le recroise dans les locaux de Pimpax, le doute n'est plus permis. Mais quelque chose cloche : le bellâtre se fait appeler Riccardo et semble avoir tout oublié de sa tendre assaillante. Pourquoi tant de mystères ? N'écoutant que son courage, notre Penelope se lance dans une folle enquête à la poursuite du prince charmant fuyant et, pourquoi pas, du grand amour…"

Je n'ai pas vraiment accroché à l'histoire et j'ai dû me forcer pour terminer la lecture...

L'écriture de Chiara Moscardelli est pourtant agréable, fluide, dynamique. C'est assez rythmé et les dialogues contiennent des réparties agréables.

Dans l'ensemble, j'ai trouvé l'histoire gentillette, mais un peu trop clichée. Décidément, la "chick-lit" n'est pas - ou plus - pour moi.
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Pénélope, 36 ans, travaille en journée, comme attachée de presse dans une société spécialisée dans les serviettes hygiéniques, et le soir, elle devient reporter de tests érotiques qu'elle publie dans les journaux. A part ça, elle trouve sa vie, assez fade : célibataire qui espère trouver l'amour, et, surtout, très mal dans sa peau, avec pour seul compagnon, son poisson rouge. Pourtant, un jour, la tête dans les nuages, elle renverse à vélo, le magnifique Alberto. C'est le coup de foudre pour Penelope et pour lui, une collision qui l'enverra aux urgences... Un mois plus tard, le voila qui réapparaît dans sa vie, au travail. Il est son nouveau chef et le nom est différent ! Pourquoi se fait-il passer pour quelqu'un d'autre ? Qui est-il vraiment ? Penelope décide de faire son enquête, ce qui ne va pas être simple pour elle, que je nomme Miss catastrophe.

Certains passages m'ont fait sourire, je pense notamment aux gaffes qui se greffent à une autre. Je pense à son entêtement, sa perspicacité. Cette nana est un vrai détective et j'ai adoré la suivre et découvrir toutes ses conclusions.
Quant à lui, j'ai bien aimé son caractère, la façon de s'adresser à Penelope et de prendre soin d'elle. Tout est dans le comportement avec lui.

Dans l'ensemble, j'ai trouvé l'histoire assez mignonne, et, parfois, un peu trop clichée. On retrouve les mêmes ingrédients habituelles de la Chick-lit, avec souvent une femme d'une trentaine d'années, bosseuse, mal dans sa peau, un peu gauche par moments, qui galère à trouver l'amour mais qui va finir par rencontrer son prince charmant et blablabla. On sait finalement à quoi s'attendre, puisque le but est vraiment de faire rêver toutes les grandes romantiques ou pas. L'effet de surprise, faut pas compter sur lui, ça c'est clair mais, sincèrement, le tout fait sourire et donc, fait du bien ! Pour moi, c'est l'essentiel, et pour une petite panne de lecture, je recommande !
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Dommage... C'est le mot qui me vient pour ce livre qui avait tout pour me plaire : une comédie romantique pétillante qui rappelle Bridget Jones ? Je suis complètement partante ! Mais...

Le premier tiers du livre est vraiment parfait : drôle, lumineux, truculent, amusant, décalé. Exactement comme Bridget Jones ! Je me suis régalée en lisant les pensées et péripéties de Penelope : une trentenaire italienne qui a un caractère très attachant, des réflexions hilarantes et qui est capable de se mettre dans des situations rocambolesques ! Tout pour rire et se faire plaisir durant le temps d'une lecture !

Mais... au bout du premier tiers, l'auteure décide de se focaliser sur le caractère mystérieux de Riccardo : Penelope cherche absolument à découvrir l'identité de cet homme, de le suivre voire le poursuivre. C'est là que je n'ai plus tellement suivi le récit : cela restait amusant parfois mais tellement improbable que je suis restée perplexe. A la base je pensais vraiment lire une comédie romantique à 100% et j'ai trouvé que l'aspect romance passait presque au second plan.

En effet plus l'histoire perdait de crédibilité, moins je me sentais proche de l'héroïne, cela devenait presque du policier humoristique, la relation entre les deux personnages principaux aurait pu être plus présente, plus travaillée. En fait je pense que cet aspect aurait pu être amélioré si on avait suivi aussi l'intrigue du point de vue d'Alberto (Riccardo) car on aurait pu mieux appréhender comment il percevait Penelope.

En définitive, un début excellent et une suite décevante. Une lecture détente qui plaira c'est certain mais j'attendais autre chose !
Lien : http://leatouchbook.blogspot..
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Au premier abord, tous les éléments essentiels pour un bon roman de Chick-lit sont présents. Une jeune trentenaire naïve, maladroite, en manque d'amour et quelques répliques remplies d'humour et voilà tout est là. L'auteure a ajouté un peu d'originalité, en créant un certain mystère autour d'Alberto Ristori alias Riccardo Galanti.

Notre protagoniste, Penelope, a vraiment le don de se mettre les deux pieds dans les plats et ce, dans tous les sens du terme. Elle a également une curiosité sans bornes. Ce qui l'amènera à des endroits où il ne faut pas et à poser des gestes un peu cocasses. Quant à sa carrière de journaliste, c'est assez amusant de voir qu'elle rédige ces fameux tests, disons féminins, alors qu'elle n'a pratiquement aucune expérience en la matière. Sa relation avec Ristori/Galanti est légèrement ambiguë. On ne sait pas trop comment décrire cet homme...tantôt celui-ci est doux et l'instant d'après, il semble vouloir l'éloigner à tout prix. Mais ce que j'ai adoré c'est ce petit surnom qui lui a donné : Tremblement de terre. Cela lui va à la perfection!

J'ai bien aimé les personnages secondaires, surtout Federico. J'aurais aimé qu'il joue un plus grand rôle. Il aurait pu emmener une plus grande touche d'humour dans le récit si l'auteure lui avait fait plus de place.

Il y a de nombreux clichés dans ce roman et malheureusement, ça m'a refroidit. Il y a également quelques éléments répétitifs qui au début nous font rire, ensuite sourire pour finalement nous agacer. Un peu comme si l'auteure avait manqué d'inspiration.

En terminant, je dirais que c'est une jolie petite histoire avec quelques brins d'humour mais rien de mémorable. Une lecture détente qui m'a fait sourire tout simplement.

Lien : http://alapagedesuzie.blogsp..
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Quand j'ai reçu ce dernier roman de chick-lit publié chez Belfond, j'avoue avoir été plutôt contente sur le moment. J'avais très envie d'une lecture légère et rien que la couverture invitait à une romance sans prise de tête. le point positif quand on se met à lire ce type de livres, c'est que la surprise n'est pas trop au rendez-vous : il y un côté rassurant qui fait quel que soit le livre du genre, la recette est la même : c'est ce que j'appelle la recette Becky Bloomwood (aka L'Accro du Shopping pour les non-initiés). On trouve à coup sûr une héroïne entre 20 et 40 ans, souvent citadine, plutôt attachante, célibataire ou au sein d'un couple qui bat de l'aile, et qui après un nombre incalculables de gaffes va forcément trouver à la fin "l'homme de sa vie". Et ouais, rien que ça.

Pour moi, la chick-lit, c'est le genre de romans qu'on lit : a) sous un plaid en cas de déprime, b) sur un transat au bord de la piscine. Si pour le ciel bleu et les bains de soleil actuellement on repassera, pour se consoler d'un hiver interminable, ce roman semblait parfait.

Niveau recette qui marche : on a tout. Penelope est une trentenaire milanaise célibataire qui n'a pas une vie bien palpitante. Elle qui aime écrire, elle a toujours rêvé de devenir journaliste - et au possible décrocher le Prix Pulitzer, rien que ça. Manque de bol, elle s'est plutôt retrouvée attachée de presse pour une entreprise de serviettes hygiéniques (avouez que ça ne s'invente pas), et écrit en free-lance des quiz aux questions existentielles pour un magazine féminin, du type "Suis-je plutôt vaginale ou clitoridienne ?". Sachant que la dernière fois que j'ai ouvert un magazine Elle cet été, j'y ai trouvé un "Vrai ou Faux de la mycose vaginale" ou un reportage "Help : j'ai couché avec mon stagiaire", j'ai trouvé que cette partie-là avait quelque chose d'assez drôle (et malheureusement vraiment proche de la réalité).

Penelope parle cinq langues, a un sacré sens de l'humour, des amis attentionnés (dont un pote gay, forcément fallait quand même un peu tomber dans le cliché), mais voilà : aucun homme ne veut d'elle et c'est le drame de sa vie. le comble pour quelqu'un qui écrit à longueur de journée des tests pour connaître "sa compatibilité sexuelle avec son partenaire".

Penelope est donc l'archétype de Bridget Jones, cette femme peu sûre d'elle avec quelques kilos en trop (et encore, faudrait savoir selon qui), qui ferait absolument tout pour trouver un homme et qui se retrouve au passage dans des situations totalement rocambolesques. Alors forcément, c'est drôle, très drôle même. On se demande d'où l'auteur sort autant de choses improbables et on passe un bon moment. Néanmoins, je trouve que les meilleures blagues sont aussi les plus courtes, et j'ai regretté le fait que certaines reviennent toutes les dix pages... du genre l'obsession de la narratrice pour toutes ses collègues minces car elles mangent bio/vegan/sans gluten. Certes, ça m'a fait rire, car il suffit de regarder certaines YouTubeuses beauté pour voir les effets de cette mode "healthy". Néanmoins, au bout d'un moment, on se demande tout simplement si :

L'auteur voulait faire un trait d'humour mais c'est loupé car c'est carrément lourdingue
Elle n'a un gros problème de jalousie/elle hait les végétaliens
Elle n'avait juste plus du tout d'inspiration et elle s'est dit que ça passerait
En l'occurrence, chez moi c'est pas trop passé. Tout comme la blague sur les calzone de la grand-mère (on a compris qu'elles étaient bonnes, pas besoin d'en parler vingt mille fois !), ou encore sur la même grand-mère cartomancienne qui fume des joints dans les toilettes de sa fille. C'est fun d'accord, ceci dit il n'y a pas de quoi se tenir les côtes pendant vingt minutes non plus.

C'était donc un livre de chick-lit satisfaisant, sans plus. A force d'en lire j'en vois de plus en plus les défauts, et malheureusement dans celui-ci certains étaient flagrants. Pour autant, il a quand même largement rempli son "job", car il m'a fait passer un bon moment de lecture et pas mal rire. Il plaira sans aucun doute aux inconditionnels du genre. Néanmoins, il m'a surtout rappelé combien je ne dérogerai jamais à la prêtresse du genre : du Sophie Kinsella, sinon rien !

#sorrynotsorry
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J'avais choisi ce livre car, pour au moins deux challenges liés au printemps, il me fallait trouver une couverture rose… Après une brève recherche, celui-ci avait attiré mon regard, avec sa couverture sympa et originale à défaut d'être vraiment belle, raison pour laquelle je l'ai choisi plutôt que d'autres. Mais en le refermant, je ne sais toujours pas très bien jusqu'à quel point je suis atterrée…

Oh, ce livre n'est pas mauvais-mauvais – ou, pour le dire autrement : j'ai lu bien pire, certes dans un autre genre, assez récemment ! Mais ce qui est plus qu'agaçant, c'est que ce livre est un concentré de trop nombreuses références à la chick lit et/ou à ces comédies sentimentales et autres acteurs considérés comme « beaux », dont un certain nombre d'Italiens qui évoqueront peut-être quelque chose pour les lectrices de la VO, mais qui pour moi lectrice francophone, tombent complètement à plat ! Déjà, à la base, je ne regarde pas trop ce genre de films (je ne dis pas ça pour les dénigrer ! c'est juste que ce n'est pas ce que j'aime…), mais en plus ces séries italiennes ne sont pas parvenues jusque chez nous, ou alors de façon confidentielle ! Or, le traducteur n'a fait aucun effort d'explication. Je ne lui demande d'aller coller des photos des différents acteurs cités… mais n'était-ce donc pas possible de mentionner en note du traducteur que le fameux Comte Ristori (personnage qui est évoqué le plus souvent parmi tous ces noms inconnus), par exemple, est issu de la série télévisée "Elisa" … dont tout le monde a entendu parler n'est-ce pas ? (j'ai dû faire une recherche… et en mettant jute « Ristori » comme mot-clé, je suis tombé sur un homme politique français, mouais…)

Je sais que c'est peut-être un choix éditorial, indépendant du traducteur… il n'en reste pas moins que c'est vraiment dommage ! La traduction, ce n'est pas juste retaper des phrases dans une autre langue, c'est aussi partager la culture de « l'autre » avec ceux à qui on s'adresse qui parlent la même langue que nous. Et ici, cet aspect de partage avec les autres francophones est un flop total.
À décharge du traducteur, cependant : s'il avait dû mettre des « notes du traducteur » explicatives, il y en aurait eu une dizaine par page ! J'exagère à peine… En effet, indépendamment de ma méconnaissance de ce type de littérature ou de films, les allusions à ces acteurs / personnages sont beaucoup, beaucoup trop nombreuses – à croire que l'autrice avait besoin de se rassurer en mettant des noms prétendument connus un peu partout dans son livre, au lieu de laisser parler son imagination et celle de son lectorat, et au final c'est incroyablement lassant !

Outre cette abondance de références de peu d'intérêt, ce livre est truffé de similitudes avec d'autres livres ou films du genre, et le plus évident est incontestablement "Bridget Jones" (livre que j'avais adoré, soit dit en passant, et le film plutôt pas mal aussi), et de ce stéréotype de la femme qui ne peut exister pleinement que si elle rencontre l'homme de sa vie – une croyance fortement implantée dans l'esprit de Penelope, l'héroïne, depuis l'enfance et accentuée par ce qu'on perçoit comme une certaine mentalité ancestrale de son Italie du Sud, elle qui est originaire de Bari dans les Pouilles.

Les similitudes sont donc nombreuses : Penelope comme Bridget est décalée, sentimentale, maladroite, affublée d'amis improbables dont l'inévitable homo sympathique très caricatural, avec un boulot qui n'est pas à la hauteur de son talent, etc. Mais là où Bridget incarnait une certaine nouveauté, avec une légèreté liée à cet humour britannique teinté de dérision, on a ici une répétition juste assez différente pour ne pas tomber dans le plagiat (et encore ! mais bon, je ne suis pas juriste après tout…), et un humour qui semble constamment forcé, surjoué ; l'autrice en rajoute des tonnes pour essayer de faire rire, mais pour moi en tout cas, c'est loupé ! Parmi ces tentatives ratées d'humour, il y a par exemple une critique pseudo-humoristique constante sur la façon de vivre à Milan, qui serait très « rigide », du moins en comparaison avec ce que Penelope aurait connu à Bari. C'est peut-être rigolo une fois ou deux, même pour qui ne connaît pas Milan, mais à nouveau : ça se répète tout au long du livre, on finit par se demander si l'autrice aime vraiment cette ville qu'elle a pourtant mise en scène ! Pour moi qui n'y connais rien, j'imagine tellement aisément que les Milanais.e.s qui auraient lu ce livre, doivent ressentir la même chose que moi quand je râle sur un livre truffé de « blagues belges »… Inutile, cliché et lassant !

La seule chose qui sauve le livre, finalement, et qui s'écarte quelque peu de tous les stéréotypes précités, c'est que l'autrice a mêlé à tout cela une vague histoire aux allures d'enquête. On est très loin d'un polar digne de ce nom, mais on a quand même une intrigue qui a de vagues réminiscences de cosy mystery. Dans ces moments-là, on peut profiter pleinement d'une plume qui n'est généralement ni agréable ni fluide, alors qu'elle pourrait si facilement l'être ! mais empâtée dans tous les défauts cités plus haut. Quoi qu'il en soit, on ne peut lui retirer le fait qu'elle est alors enlevée… et on a envie de savoir le fin mot de cette histoire ! A vrai dire, on devine assez rapidement ce qui se trame, mais on a tout à coup besoin de le lire noir sur blanc. Peut-être parce que c'est dans cette intrigue seule que l'autrice écrit avec naturel, sans forcer cet humour qui apparaît tout à coup alors qu'on ne l'attend plus !

Ainsi donc, je n'irais pas jusqu'à dire que j'ai passé un mauvais moment, mais si j'étais professeure d'écriture créative (par exemple), mon commentaire à côté de la note aurait indubitablement été « peut mieux faire », et en attendant, je ne le recommande pas.
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Une couverture rose couverte de baisers : le ton est donné, cette lecture sera légère. En attendant de découvrir dans les prochains mois un nouveau roman de l'auteure aux éditions le Cercle Belfond, j'ai déjà découvert la plume de Chiara Moscardelli à travers son premier roman publié en France.

Avec Penelope, que l'on entendra tout le long du roman plus communément nommée par son nom de famille, Stregatti, on part pour une vraie comédie, tout à fait déjantée. Tous les détails du roman sont un brin foldingue : personnages, lieux, anecdotes, tout contribue à cet esprit fou. Stregatti se rêvait journaliste, mariée avec plusieurs enfants et voyageant autant que possible. Au lieu de ça, elle travaille chez Pimpax une société de serviettes hygiéniques, est célibataire et n'attire que des hommes peu fiables.

Jusqu'au soir où elle renverse un piéton : il est l'homme de ses rêves. Oui sauf que, entre eux ça commence bien mal et en plus, sitôt celui-ci sorti de l'hôpital, elle n'a aucun moyen de le recontacter. Ca part mal pour le grand amour ! le destin s'en mêle le jour où un homme arrive pour faire le bilan social de Pimpax. Et cet homme n'est autre que le mystérieux piéton écrasé par Stregatti. Enfin c'est ce qu'elle croit car il porte un autre nom et affirme ne pas la connaitre…

Penelope est déterminée à percer le mystère. Nommée comme sa secrétaire, elle va devoir travailler avec lui au quotidien et vivra à ses côtés une succession de péripéties de plus en plus étranges. le grand amour semble toujours bien loin ! Ce roman est une vraie bouffée d'oxygène avec une héroïne gaffeuse, qui est un peu la bonne copine qu'on aimerait tous avoir et qui vit des situations ubuesques. J'ai parfois eu un peu de mal d'ailleurs à suivre les péripéties ! Ne vous attendez pas à quelque chose d'hyper crédible, ce n'est clairement pas le but du roman. Ici, plus c'est gros, plus on s'amuse. Et au final, ça marche très bien même si on reste loin de la romance tant cela n'arrive qu'à la toute fin du roman.
Lien : https://liseusehyperfertile...
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J'ai eu du mal à mettre mon ressenti par écrit. Et ceux pour plusieurs raisons. Ce livre aurait pu être bien plus et en même temps il est déjà trop…

Je ne ferai pas un topo de l'histoire, le résumé se suffit à lui-même.

C'est une histoire un peu alambiquée, un peu loufoque mais qui se tient!! Seulement voilà rajouter à cela Penelope, trentenaire, bosseuse, mais gaffeuse, un peu cruche sur les bords, en mal d'amour, et vous vous retrouvez avec un roman Chick-lit qui aurait pu être génial mais qui ne m'a pas enchantée.

Je ne saurai vous dire exactement pourquoi, il a tout pour plaire, il a une intrigue dont l'issue m'a étonnée, un fil conducteur, une fille un peu déjantée… L'auteure a une plume fluide, sans fioritures et m'a assez intriguée pour que j'ai envie de connaitre la fin.

Je ressors déçue pour ma part et mon avis ne reste que mon avis.

Pour tous ceux qui aiment la chick-lit, les lectures légères et un brin de fantaisie, ce livre est fait pour vous….
Lien : https://leschroqueuses.wordp..
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