La fille de Brooklyn

Ma critique aurait pu se résumer à : "ouais, bof..." Quoi ? Ça ne vous suffit pas ? Vous voulez que je développe ? Alors je dirai que l'histoire était à la base originale et prometteuse mais que j'ai trouvé son déroulement totalement chaotique et improbable (avec une succession de coïncidences un peu tirées par les cheveux !). de manière générale, j'aime bien les histoires "à tiroirs" ; encore faut-il qu'elles soient bien ficelées ! Beaucoup de passages n'apportent rien à l'intrigue et les 470 pages m'ont paru longues ! Je suis tout de même allée jusqu'au bout mais la fin est à l'image du reste du livre, incohérente et improbable !
Bref, Musso m'a (encore !) déçue...

La première partie et l'idée du livre sont plutôt bonne, malheureusement tout cela est noyé par des personnages totalement caricaturaux (Théo qui ne sert à rien, Caradec, Raph le héro bobo à 10000% ...) et les possibilités qu'offraient l'intrigue sont vraiment mal exploité .

Au final l'auteur semble vouloir être hyper consensuel et cela donne un polard qui a le goût du tofu nature. A cela s'ajoute l'impression de parfois lire le guide du routard - le routard bobo hein - sur New York, sans pour autant que Musso n'arrive à aucun moment à nous faire ressentir l'atmosphère si particulière de cette ville.

Passons sur la fin et certains passage de l'intrigue qui donne l'impression de nous être balancé à la figure.

Dommage, j'y ai cru quelques pages.

Puisque j'avais été étonnamment surprise par Un appartement à Paris, j'ai voulu retenter un Musso. Mais… hélas… l'exception devait en rester une.
Ici, on a un début policier qui donne envie de lire le pourquoi du comment : un couple sur le point de se marier connaît soudainement une dispute. La future femme refuse de parler de son passé. Et, lorsqu'elle le fait, la photographie qu'elle montre à son cher en tendre le fait fuir en courant.
Bon. Pourquoi pas. Mais la suite est ratée. L'auteur enchaîne les péripéties, les interviews, les surprises. En fait, ce n'était pas ceci car en réalité il s'est passé cela. Et le lecteur, face à toutes ces vérités accumulées, retournées, mouvementées, assiste, platement, à la narration des faits. du coup, nécessairement, l'ennui survient vite. En plus, les personnages ne sont pas crédibles, ils remplissent simplement une fonction, avec des détails de leur vie choisis exprès pour uniquement tenter de créer du réalisme. Et cela tombe à côté (comme le fils du protagoniste). Bref, on est loin d'un polar bien construit, on n'a aucun suspense puisqu'on attend simplement que l'auteur se décide à narrer sa version finale et on s'ennuie du (presque) début à la fin (si on tient jusque là).
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Mauvais polar. Manque de peps. Décevante découverte de cet auteur à succès autrefois bien meilleur.

Le livre nous tiens en haleine mais la fin est très décevante, le(s) meurtrier(s) et ses commanditaires que deviennent -ils?????? J'ai été vraiment déçus.

Comme dans les autres livres de Guilaume Musso, l'écriture est agréable, facile à lire, et le suspense parfaitement dosé pour qu'on ait du mal à poser le roman (ah, ces chapitres qu'on coupe juste au moment où...). J'ai aussi trouvé que l'intrigue est bien construite, complexe, avec une idée de départ passionnante, puis un premier crime qui conduit vers d'autres...Malgré tout ces bons points, je n'ai pas été séduite par La fille de Brooklyn. Je ne lis que peu de thrillers (et je n'aurais pas lu celui-là non plus si on ne me l'avait pas prêté) car mes goûts me portent vers d'autres genres et je n'ai que peu d'éléments de comparaison, mais j'ai quand même eu parfois la sensation d'avoir déjà lu (ou vu au cinéma) ce genre de choses.Mais l'impression qui me reste au final, c'est que tout ça c'est vraiment trop. Trop de noirceur, trop de rebondissements, trop de facilités, trop de "heureux" hasards qui permettent de résoudre un crime vieux de plus de dix ans en quelques jours, etc. Même l'épilogue est de trop, à mon avis. La première chose que j'ai pensé en réalisant que l'intrigue redémarrait, c'est "Ah non, pas encore !" et puis finalement, cela ne débouche que sur un dénouement débordant de sentimentalisme, grâce encore à un de ces "heureux" hasards...Je ne dirais pas que j'ai passé un mauvais moment avec La fille de Brooklyn, car cela reste un bon divertissement mais j'ai préféré les précédents romans de Guillaume que j'ai lus (Sauve-moi, Seras-tu là ?, La fille de papier et Demain).

En effet, malgré une intrigue qui tient en haleine, le style est un peu plat et les personnages aussi (un peu cliché et le personnage principal et la fille de brooklyn un peu trop parfait...). Il y a certaines incohérences ou facilités dans l'histoire, notamment (attention spoiler) je n ai pas compris comment zorah avait connu la vraie identité d'Anna et savait ou elle se trouvait pour l'enlever du box oú Caradec l avait enfermé? ?? Ou alors j'ai sauté un passage?? Si quelqu'un a la réponse merci.

Il y a une dizaine d'année, je lisais pas mal de Musso et je me suis lassée.
J'ai voulu retenter l'expérience avec "La fille de Brooklyn" et quelle déception. Une lecture sans intérêt avec toujours la même trame ,des longueurs à n'en plus finir, des incohérences. Ma lecture à été longue, ennuyeuse et laborieuse. Je me suis fait violence pour arriver jusqu'au bout. Une lecture sans intérêt, oubliée aussitôt la dernière page tournée.

C'est le deuxième roman de Guillaume Musso que je lis, et décidément, mon ressenti reste identique.

A savoir, un grand agacement face la platitude du style (en même temps, je savais à quoi m'attendre, mais parfois il y va fort), l'accumulation de situations qui finissent par rendre l'intrigue grotesque (car, à les juxtaposer ainsi, ça devient plus que non crédible), des stéréotypes de personnages (le bel écrivain riche et romantique, le flic brisé, et j'en passe des meilleurs), des situations carrément impossibles dans la réalité….

Même si c'est un page turner, pour moi, ce livre n'a qu'un intérêt, sa jolie couverture.


Lien : http://justelire.fr/la-fille..

Je ne sais pas pourquoi je persiste à lire les romans de Guillaume Musso...
Je les trouve souvent très moyens et en plus, je les oublie aussi vite que je les ai lus.
Celui-ci ne déroge pas à la règle. Je l'ai lu en mai 2016 et il ne m'en reste que le souvenir des premières pages (ce qui correspond au texte de la quatrième de couverture)
Donc pas grand chose à en dire si ce n'est : ne perdez pas votre temps avec cette lecture.