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4,07

sur 1622 notes

Critiques filtrées sur 3 étoiles  
Cette critique peut heurter la sensibilité de certains lecteurs.

Pouèt…

Ainsi parlait mon cul quand il s'adressait à mon sous-moi, bullant sa déconvenue dans les larmes de mes yeux d'ahurie que je me paye depuis que je me Nietzschise la tronche à coup d'aphorismes poilants, aux écrits d'une incompréhension addictive, comme-ci ne rien piger me donnait toute légitimité pour me chouter à la vulgarité…

Avant propos, le mec descend seul-tout, à pince avec sa paresse de branlos hermitissieux, pour faire la parabole à tous les trouducs qui font pouèt comme moi cultivant leur sous-moi d'une manière bien torchée …. Ya plus de papier bordel de merde….

La première partie j'ai rien compris, les autres non plus d'ailleurs, quel chiotte, à part que le mec pue l'aigri à vue de montagne, qu'il rejoint souvent pour s'élever, et se taper la branlette intellectuelle avec lui-même, transcendant ses conneries d'une manière poétique et musicale, dansant un pied pointé sur la corde d'un violon, un autre dans le vide abyssale de mon archet, dressé pour s'élever et jouer avec la souplesse de mon poignée, bien trop engourdi pour saisir les accords harmonieux d'une vérité bien cachée, sous mon bide bedonnant souriant de tout son grassouillet, accumulé honteusement dans le dégout… mais ça vous maintient dans l'indifférence…

Pauvre victime d'une névrose corrompue par une enfance mal guérie, m'invitant à surconsommer ma connerie dans ce monde d'enculés qui me pisse son indifférence en ignorant mon mépris, pauvre ver de terre que j'étais, que je reste, que je resterai… écrasé par un système voué à l'échec depuis belle sucette, les cheveux détachées qui dans un mouvement levretique s'adonnant à la plus divine des illusions, qu'un jour peut-être, on ouvrira les yeux sur l'énorme pouèt nucléaire qui immergera d'un illuminé, consommant trop de champignons hallucinomique…

Le nihilisme est contagieux, il propagande les questionneux, se cache des ambitieux, ignore les nécessiteux, un verre de terre qui rampe sa vermine vers les optimistes et gangrène les vertueux à l'eau bénite croupie depuis la genebaise d'une foi révolue athéeistant d'un sur-moi équivalent à l'univers…

Je m'enivre d'aphorisme, oubliant ma sobriété hédoniste, laissez-moi
percher une parabole sur le toit de mon immeuble pour capter mon sur-moi, et enfin saisir toute l'essence de ce bouquin ô combien branlant, me réveillant de ma somnolence pathétique… mais je ne vais me couper les veines aux sons d'un désespoir romanesque dicté par un mort et enterré par la maladie foliesque…

Non bien sur que non, laissez moi rire de moi et des autres, je vais continuer à imiter Candide comme-ci Voltaire avait raison, « parce que tout va bien dans le meilleur des monde », à quoi bon intellectualiser une pensée au dessus de la moyenne chaotique qui peuple notre « chaire » bien tendre engraissée à l'amour propre emmitouflé dans un confort de trouduc intersidéral et jusqu'à l'infini de sa mère la pute… (je vise la mère à personne, sauf si la mère est consentante et pas trop vieille)

Alors un aphorisme c'est quoi :

C'est quand tu dis à ta femme :

« Dégage maintenant, t'es plus une salope, t'es une maman… »

Sous entendu que les seins lui tombent sur les chevilles, que sa peau flétrie sa sagesse, que la voisine va bientôt avoir 18 ans, que le foot finalement c'est pas dégueux, qu'un divorce c'est vite fait, qu'un gosse c'est casse couille, et que la routine c'est mémère…

A plus les copains…



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Une lecture qui dérange... du moins ce fut le cas pour moi ; et c'est ce qui fait l'intérêt de le lire, et l'intérêt de cette critique, sûrement difficile puisque... je n'ai peut-être pas tout compris...
Cela faisait longtemps que je l'avais dans bibliothèque, et j'hésitais à l'ouvrir, en raison de ses interprétations posthumes plus ou moins sulfureuses.
Pour commencer, je dirais qu'il est -comme souvent- bien dommage que les éditeurs oublient d'afficher le sous-titre : "un livre pour tous et pour personne".
En effet, dans la forme, "Ainsi parlait Zarathoustra", se démarque radicalement d'un ouvrage de philosophie, du modèle kantien par exemple. Il se présente sous la forme d'un long poème, presque romantique -puisque "je" semble nous livrer, que dis-je, nous balancer à la figure, nous vomir ses états d'âme et sa révolte contre l'inaction et les valeurs établies. Quant à l'expression poétique, je partage le sentiment d'illustres lecteurs avant moi -Heidegger, Gide- : certains passages sont magnifiques, dans leur élévation de l'Homme et de la Volonté -me faisant penser, sur un même mode "messianique" aux poèmes d'Homère ou à Citadelle de Saint Ex- d'autres sont carrément insipides... la référence biblique est de ce point de vue réussie.
"Un livre pour tous et pour personne" en effet : personne d'autre que l'auteur, me semble-t-il , ne peut se reconnaître complètement dans ce "je", et pourtant le livre s'adresse à tous...
Non sans humour, Nietzsche nous somme en quelque sorte d'ouvrir les yeux et de suivre ses aphorismes et préceptes, qu'il met dans la bouche de Zarathoustra -que je crois finalement beaucoup plus proche du christianisme que l'auteur- , de nous laisser évangéliser par lui, de le suivre sur la voie des surhommes...
Le choix de cette approche philosophique enlevée, romancée, qui touche au coeur et au corps, à la psyché plutôt qu'à une raison aristotélicienne ou kantienne, est remarquable par son audace mais -rétrospectivement- remarquablement dangereuse aussi, le lion de Nietzsche pouvant aisément dévorer l'esprit des imbéciles se contentant de survoler le livre et croyant avoir tout compris parce qu'il leur renvoie en positif leurs propres névroses...
"Celui qui écrit en aphorismes et avec du sang, celui-là ne veut pas être lu, mais appris par coeur", est-il écrit dans le livre même.
Au final, car cet ouvrage reste bien malgré sa forme originale, un ouvrage de philosophie, est ce que Nietzsche m'a fait adhérer à ses thèses ? NON, la violence, la radicalité, la flagellation autodestructrice, jusque dans la forme, ne peut tenter l'hédoniste humaniste mâtiné de mystique que je suis, admirateur d'Aristote, Montaigne, Comte-Sponville,et du bouddhisme -dans lequel il puise rationalisme, impermanence, mais remplace le diptyque vacuité -compassion par une espèce d'exaltation de la souffrance humaine dans une ascèse personnelle et la volonté de dépassement de soi...
En revanche la radicalité comme questionnement de toute morale et recherche d'un "supplément d'âme" est intéressante... ouvrant la voie d'une forme de nihilisme, il détruit des concepts anciens, pour proposer le sien -qui me parait fragile- mais, ce faisant, a ouvert la voie à d'autres pensées plus construites, telles que l'existentialisme, le déconstructivisme et le multiculturalisme -en cousinant avec Lévi-Strauss et Freud-, jusqu'à la pensée sociologique de Bourdieu. Il ouvre une voie nouvelle de relativisation et désacralisation des dichotomies de la philosophie classique sur le bien et le mal et, ce faisant, rend mieux compte de la complexité de l'homme et du monde dans lequel il évolue.
Cependant, ces poursuites, après Nietzsche, ne me semblent pas parvenir à proposer un système qui parle à l'être, comme l'a dit Heidegger ; autrement dit -cette fois par moi-, ces approches améliorent encore la compréhension de l'homme par lui-même, mais ne l'aident pas à vivre... ce en quoi je préfère donc le retour aux anciens, tel Marcel Conche.
Bref, un lecture contournable, qui élève par ses questionnements, mais dérange, par l'abîme qu'elle ouvre sous les pieds de l'humain, ne lançant pour poursuivre qu'une passerelle bien fragile et branlante...


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Lorsque poésie et philosophie se rencontrent, cela donne « Ainsi parlait Zarathoustra ». Lue il y a déjà un certain nombre d'années, durant mes études, je retiens de cette oeuvre de Nietzsche une lecture agréable. Je m'attendais à quelque chose d'ardue, mais finalement – ou bien n'ai-je rien compris à la profondeur du texte ? – la parole du prophète et poète Zarathoustra m'a semblé claire et fluide. Il est aussi reconnu que "Ainsi parlait Zarathoustra" constitue une oeuvre très spéciale au sein même de la production nietzschéenne. Récit littéraire ou oeuvre philosophique ? Pour ma part peu importe.

Dans ce livre, Zarathoustra démolit tous les dogmes et toutes les idées reçues. Il considère tout d'abord d'un mauvais oeil la religion, qui n'est qu'une maigre consolation devant le malheur et la faiblesse des hommes. Dans un style poétique et aphoristique, Nietzsche n'épargne donc pas la morale des Eglises et rejette Dieu que l'homme a inventé pour contraindre l'humanité à la résignation. Mais Dieu est mort, l'homme est libéré de ses entraves. A lui alors de se dépasser et d'accomplir son destin de surhomme. En assumant son libre-arbitre et surtout en reconnaissant ses faiblesses qui le poussent à l'effort, c'est ainsi qu'il accomplira son chemin.

« Ainsi parlait Zarathoustra » présente une métaphore de l'esprit dans sa marche vers quelque chose qui dépasserait l'Homme tel qu'on croit le connaître. Pas de grandes certitudes ici, ni de formules toutes faites ou des théories abstraites, mais un questionnement intérieur dont le cheminement mène à la réflexion et à l'élaboration de toutes sortes d'hypothèses.
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"Ainsi parlait Zarathoustra" est au-delà du titre : c'est une ponctuation, une manière de marquer le discours, de le clore entre chaque thème abordé. Nietzsche revêt la forme du prophète Zarathoustra pour nous éclairer de sa pensée, de sa philosophie.
Le problème, car il y en a bien un à mon avis, c'est que l'oeuvre originale est dans la langue de Goethe. Déjà que je ne suis pas très fan des traductions de romans, je le suis encore moins pour des oeuvres philosophiques. Malheureusement pour moi, je ne parle pas couramment l'allemand. Je n'ai donc pas d'autres choix que de faire confiance au travail d'un traducteur. Mais voilà, les éditions se multiplient et les traductions varient. Comment choisir la bonne, celle qui approche au mieux la penser de Nietzsche ? D'autant que j'ai eu vent de potentiels contresens et autres erreurs suivant les traductions. A un moment, il a bien fallu prendre un exemplaire et c'est donc le Livre de Poche et son édition reprenant le travail de Georges-Arthur Goldschmidt que j'ai eu en main.

Ma lecture de ce "livre pour tous et pour personne" a été quelque peu chaotique et surtout trèèèès longue. Seulement 381 pages ! Sur le papier c'est peu, quand on regarde le contenu c'est tout autre chose. Pour être honnête, je ne suis pas certain d'avoir tout saisi. Non seulement je n'avais pas la motivation pour lire la totalité d'une traite mais en plus je n'ai pas le courage de me lancer dans une seconde lecture. de ce fait, je suis très certainement passé à côté de pas mal d'idées.
Car il faut savoir que si la plume de Nietzsche est de grande qualité, je l'ai trouvé régulièrement absconse. Alors par moment j'allais dans son sens, à d'autres je n'étais pas sur la même longueur d'onde mais comme planait ce doute permanent quant à ma compréhension du texte, jamais je n'ai vraiment osé appuyer mon sentiment.
Alors je me dit que peut-être je me fais des idées, que j'ai saisi le propos tout en me bornant à imaginer un sens caché, inaccessible, car c'est quand même de la philosophie tout droit sortie de l'esprit de Nietzsche ! Manque de confiance en moi ou réelle incompréhension ? Je ne saurais trancher dans l'immédiat.

Il n'en reste pas moins que j'ai tenu jusqu'au bout, lisant régulièrement un texte ou deux. Je voulais lire Nietzsche, et plus particulièrement ce légendaire "Ainsi parlait Zarathoustra", c'est fait ! J'en retiendrais l'aller-retour incessant d'un homme vers sa montagne, qui revient régulièrement auprès du commun des mortels pour déclamer sa pensée lors de petites conférences publiques. Beaucoup de sujets semblent être passés au crible par la vision du prophète.
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Curieusement - je dis curieusement car ce n'est visiblement pas l'impression commune - ce n'est pas l'un de mes Nietzsche préférés. Je le trouve un peu plus "confus" que d'habitude. Je préfère Généalogie de la morale ou la Volonté de puissance mais comment comprendre l'éternel retour nietzschéen sans ce livre ?
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Ainsi parlait Zarathoustra de Friedrich Nietzsche est une oeuvre philosophique audacieuse qui explore des thèmes tels que la volonté de puissance, l'éternel retour, et la recherche d'un surhomme. Cependant, malgré la profondeur de ses idées, la complexité de sa prose et l'influence qu'il a eue sur la pensée philosophique, je suis resté de marbre.

Nietzsche présente des concepts à l'époque nouveaux à travers le personnage de Zarathoustra, propageant des idées provocantes sur la morale, la religion et la nature humaine. L'oeuvre offre une vision poétique de la philosophie, utilisant des métaphores puissantes et des paraboles pour transmettre ses messages. Cependant, la densité de la prose et la nature abstraite des idées peuvent rendre la lecture ardue pour certains lecteurs.

La structure fragmentaire du livre, bien que délibérée pour encourager la réflexion, peut également sembler décousue et difficile à suivre. Les discours de Zarathoustra sont souvent ponctués de moments de génie philosophique, mais ces éclairs peuvent être entrecoupés de passages obscurs, contribuant à une expérience de lecture inégale.

Bien que Nietzsche cherche à briser les conventions philosophiques établies, son style provocateur peut parfois être perçu comme excessif. Certains lecteurs peuvent être repoussés par la rhétorique audacieuse et le ton parfois arrogant, ce qui peut obscurcir la réception des idées profondes que l'auteur cherche à transmettre.

En dépit de ces critiques, "Ainsi parlait Zarathoustra" reste une oeuvre qui a profondément influencé la philosophie moderne. Les idées révolutionnaires de Nietzsche continuent de susciter des débats et de stimuler la réflexion intellectuelle. Cependant, je n'ai pour ma part pas trouvé mon compte, peut-être n'étais-je alors pas suffisamment mature.
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Ça y est, j'ai lu le "chef-d'oeuvre" de Nietzsche, son oeuvre à la fois la plus atypique et la plus connue.

Verdict: Bien que je l'ai englouti rapidement, je ne l'ai pas apprécié plus que ça. le style lyrique, poétique et messianique de l'oeuvre est trop imagé pour mon esprit terre à terre.
"Ainsi parlait Zarathoustra" déborde de symbolisme ad nauseam, ce qui rend son propos opaque et son interprétation parfois intangible.

Au-delà de cette forme unique et perturbante, le philosophe allemand déroule de nombreux concepts de sa pensée:
-La Mort de Dieu, qui laissent les hommes livrés à eux mêmes et sans repères.
-L'Esprit de Pesanteur, soit l'ensemble des carcans moraux, religieux et culturels qui brident le potentiel des hommes
-Le Surhumain, une version magnifiée de l'humanité qui à su s'affranchir de l'esprit de Pesanteur.
-Le Dernier Homme, ou l'homme post-moderne égoïste sans autre ambition que le plaisir et bien-être individuel.
-L'Homme est un 'pont' et non une fin.
-L'Éternel retour, idée reprise aux stoïciens.

Pour conclure, je dirais que ce livre est un OVNI, une anomalie dans la matrice qui synthétise la pensée de Nietzsche sous forme d'une fable aux allures bibliques.
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Voilà en un volume une synthèse de la pensée de Nietzsche. La forme est particulière et peut surprendre pour un ouvrage philosophique, puisqu'il s'agit d'une suite d'aphorismes à mi-chemin entre le poème et la maxime. le fond quant à lui est proprement décoiffant. Nietzche prend acte de l'assassinat de Dieu par l'homme occidental moderne et se propose d'en tirer toutes les conséquences. Il remet donc à plat toutes les valeurs issues de deux mille ans de christianisme, qu'il renverse allégrement. Il rejette de la même façon les philosophies antiques, au titre qu'il serait indigne de l'Homme de faire de la recherche du bonheur le seul ressort de sa vie. Pour éviter de tomber dans un nihilisme absolu, il est amené à imaginer le concept de « volonté de puissance », qui serait le ressort de tout organisme. « le vivant veut avant tout dépenser sa force » écrit-il. Cette force serait universelle et constitutive de tout être. A partir de cette loi qu'il veut cosmique (les scientifiques parleraient d'axiome), il construit une immense cathédrale qui va toucher tous les domaines, sorte de temple de l'instinctif et de l'animalité.
« L'homme doit voir dans la femme une propriété, un bien qu'il convient d'enfermer, un être prédestiné à la sujétion et qui s'accomplit à travers elle»
« le malade est un parasite de la société »
« Seuls les hommes les plus intellectuels ont le droit à la beauté, eux seuls sont bonté et non point faiblesse. »
« La pitié et l'altruisme sont l'expression d'une volonté de puissance vaincue qui cherche à se venger »
Le concept même de volonté de puissance est évidemment questionable (et doit être questionné puisqu'il est la clé de voute du système). Il n'a pas plus de preuve d'existence que l'âme du chrétien ou le karma du bouddhiste. Il permet au mieux de bâtir un système philosophique complet. Au pire, mis en pratique, il prône un monde où règne la loi du plus fort, l'élitisme et l'inégalité sociale. Les philosophes, ébahis, salueront une construction unique de beauté et de cohérence. Les autres, ahuris, se demanderont comment l'esprit humain peut engendrer de telles monstruosités. Je fais partie de ceux-là.
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Fin du 1er livre. Très enthousiaste au démarrage. Il descend de la montagne puis effectue des rencontres. Des dialogues savoureux et des situations délectables.
Et puis il livre sa pensée ou plutôt disserte sur différents thèmes universels.
Réflexions philosophiques qui aspirent au débat. Reste à rejoindre un groupe littéraire pour partager et échanger.
Une pause s'impose avant de poursuivre la lecture de l'oeuvre avec le deuxième volume.
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Zaratoustrat quitte son pays natal pour vivre dans la montagne. IL redescent régulièrement dans le monde des hommes pour dire la vérité, mais personne ne l'écoute. Il décide alors de trouver des disciples et en trouve trois: le chameau, le lion et l'enfant. avec eux il émet des discours contre la morale tranquille et glorifie la guerre et l'amitié. Finalement, il retourne seul sur sa montagne pour méditer. Finalement, tout son cheminement l'amène à rencontrer les hommes supérieurs.

J'aii trouvé ce livre très compliqué à lire pour quelqu'un qui n'est pas familier à la philosophie (ce qui est mon cas).
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