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sur 1622 notes

Critiques filtrées sur 4 étoiles  
Chaque lecture de Nietzsche est une aventure !
Zarathoustra, le prophète, a existé plusieurs siècles avant Jésus, en Perse.
Pourquoi Nietzsche a t-il utilisé ce nom ? Mystère....
Je dois préciser que pour résumer et critiquer un livre de Friedrich, il faut un QI de 180, d'où mes 4 étoiles seulement, car je n'ai pas tout compris.
Je me contenterai donc d'une simple interprétation de ce que j'ai reçu, entendu, perçu
.
Ainsi, Zarathoustra parla aux hommes, mais ils ne comprirent pas.
Dégoûté, il alla se réfugier dans la Nature, dans une caverne dans la montagne, parmi les animaux bienveillants.
Et il danse, danse, danse,
c'est sa façon d'aimer..
d'aimer la vie pour oublier le dégoût que lui inspirent les hommes avides et orgueilleux, et les prêtres et les
chrétiens, qui ont "posé" le Bien et le Mal comme jugements.
On comprend que Nietzsche / Zarathoustra, en 1885, veut utiliser l'humanité comme un pont pour aller "par delà le bien et le mal" ( ce sera précisé un an plus tard ), afin de réaliser le surhomme, par le pont qu'est l'humain, ou avec la barque de Zarathoustra, au delà de la mer, vers l'île bienheureuse, afin de réaliser le surhomme.
Je ne comprends pas bien ce qu'est le surhomme.
Même Hitler s'y est trompé, grave...
Sans doute un homme qui ne juge pas.
Mais qui jugera, puisque de source bien informée, Zarathoustra apprend que Dieu est mort.
Il est mort de trop de compassion envers les hommes :
ils l'ont déçu et épuisé.
Ainsi, Zarathoustra rencontre l'ancien pape, devenu hors service. Celui-ci aussi est déçu des hommes.
Il se crée alors une petite cour de dégoûtés de l'humanité autour de Zarathoustra : des disciples.

Also sprach Zarathoustra à tous ces déprimés qu'il appela ses hommes supérieurs.
Mais, par derrière, un déprimé malin descendit le prophète, et ils reprirent tous leurs bonnes vieilles habitudes de prier.
Colère de Zara !
Déçu : même eux ne comprennent pas....
... C'est alors que vint un signe....
.
Que dire de ce que j'ai ressenti à cette lecture ?
Donnée comme une oeuvre philosophique majeure, je trouve qu'elle touche aussi à la religion, la sociologie, la psychologie.
D'un point de vue philo, je pense comme l'auteur aux belles bacchantes que l'humanité se tire une balle dans le pied depuis la nuit des temps.
Sur le plan religieux, oui les "religieux" ont abusé et tiré la couverture à eux, à l' inverse de ce que prône Jésus, qui n'est pas descendu par minou, ni par Nietzsche, je crois.
Mais contrairement à lui, je ne suis pas athée ( c'est une autre histoire ). Mais j'ai apprécié LE SIGNE.
Socialement, Nietzsche méprise ce qu'il appelle la populace, sans tenir compte des difficultés sociales des gens : c'est un jugement, contraire à ce qu'il prône contre l'Eglise.
Psychologiquement, je reconnais les démons et anges qui assaillent Zarathoustra comme.. les patients assaillis de Freud !
.
Nietzsche est un feu d'artifice qui pète dans tous les sens, avec un cerveau en ébullition, plein d'idées, et dommage qu'il ne prenne pas mieux le temps de tout organiser pour atteindre des fins de paragraphes finis, un récit plus achevé. Je crois que la présentation anarchique des idées est le drame de beaucoup de philosophes.

Il y a encore plein de choses à dire sur ce bouquin....
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L'idée de Zarathoustra remonte chez Nietzsche aux premières années de son séjour à Bâle. On en retrouve des indices dans les notes datant de 1871 et 1872. Mais, pour la conception fondamentale de l'oeuvre, Nietzsche lui-même indique l'époque d'une villégiature dans l'Engadine en août 1881, où lui vint, pendant une marche à travers la forêt, au bord du lac de Silvaplana, comme « un premier éclair de la pensée de Zarathoustra », l'idée de l'éternel retour. Il en prit note le même jour en
ajoutant la remarque : « Au commencement du mois d'août 1881 à Sils Maria, 6000 pieds au-dessus du niveau de la mer et bien plus haut encore au-dessus de toutes les choses humaines » (Note conservée). Depuis ce moment, cette idée se développa en lui : ses carnets de notes et ses manuscrits des années 1881 et 1882 en portent de nombreuses traces et le gai Savoir qu'il rédigeait alors contient « cent indices de l'approche de quelque chose d'incomparable ». le volume mentionnait même déjà (dans l'aphorisme 341) la pensée de l'éternel retour, et, à la
fin de sa quatrième partie (dans l'aphorisme 342, qui, dans la
première édition, terminait l'ouvrage), « faisait luire, comme le dit Nietzsche lui-même, la beauté des premières paroles de Zarathoustra ».
La première partie fut écrite dans « la baie riante et silencieuse » de Rapallo près de Gênes, où Nietzsche passa les mois de janvier et février 1883. « le matin je suis monté par la superbe route de Zoagli en me dirigeant vers le sud, le long d'une forêt de pins ; je voyais se dérouler devant moi la mer qui s'étendait jusqu'à l'horizon ; l'après-midi je fis le tour de toute la baie depuis Santa Margherita jusque derrière Porto-fino.

C'est sur ces deux chemins que m'est venue l'idée de toute la première partie de Zarathoustra, avant tout Zarathoustra luimême, considère comme type ; mieux encore, il est venu sur
moi » (jeu de mot sur er fiel mir ein et er überfiel mich). Nietzsche a plusieurs fois certifié n'avoir jamais mis plus de dix jours
à chacune des trois premières parties de Zarathoustra : il entend
par là les jours où les idées, longuement mûries, s'assemblaient
en un tout, où, durant les fortes marches de la journée, dans
l'état d'une inspiration incomparable et dans une violente tension de l'esprit, l'oeuvre se cristallisait dans son ensemble, pour
être ensuite rédigée le soir sous cette forme de premier jet.
Avant ces dix jours, il y a chaque fois un temps de préparation,
plus ou moins long, immédiatement après, la mise au point du
manuscrit définitif ; ce dernier travail s'accomplissait aussi avec
une véhémence et s'accompagnait d'une « expansion du sentiment » presque insupportable. Cette « oeuvre de dix jours »
tombe pour la première partie sur la fin du mois de janvier
1883 : au commencement de février la première conception est
entièrement rédigée, et au milieu du mois le manuscrit est prêt
à être donné à l'impression. La conclusion de la première partie
(De la vertu qui donne) « fut terminée exactement pendant
l'heure sainte où Richard Wagner mourut à Venise » (13 fé-
vrier).
Au cours d'un « printemps mélancolique » à Rome, dans
une loggia qui domine la Piazza Barbarini, « d'où l'on aperçoit
tout Rome et d'où l'on entend mugir au-dessous de soi la Fontanas », le Chant de la Nuit de la deuxième partie fut composé
au mois de mai. La seconde partie elle-même fut écrite, de nouveau en dix jours, à Sils Maria, entre le 17 juin et le 6 juillet
1883 : la première rédaction fut terminée avant le 6 juillet et le
manuscrit définitif avant le milieu du même mois.
« L'hiver suivant, sous le ciel alcyonien de Nice, qui, pour
la première fois, rayonna alors dans ma vie, j'ai trouvé le troisième Zarathoustra. Cette partie décisive qui porte le titre :
« Des vieilles et des nouvelles Tables, fut composée pendant une
montée des plus pénibles de la gare au merveilleux village
maure Eza, bâti au milieu des rochers – ». Cette fois encore
« l'oeuvre de dix jours » fut terminée fin janvier, la mise au net
au milieu du mois de février.
La quatrième partie fut commencée à Menton, en novembre 1884, et achevée, après une longue interruption, de fin janvier à mi-février 1885 : le 12 février le manuscrit fut envoyé à
l'impression. Cette partie s'appelle d'ailleurs injustement « quatrième et dernière partie » : « son titre véritable (écrit Nietzsche
à Georges Brandès), par rapport à ce qui précède à ce qui suit,
devrait être : La tentation de Zarathoustra, un intermède ».
Nietzsche a en effet laissé des ébauches de nouvelles parties
d'après lesquelles l'oeuvre entière ne devait se clore que par la
mort de Zarathoustra. Ces plans et d'autres fragments seront
publiés dans les oeuvres posthumes. La première partie parut en
mai 1883 chez E. Schmeitzner, à Chemnitz, sous le titre : Ainsi
parlait Zarathoustra. Un livre pour tous et pour personne
(1883). La seconde et la troisième partie parurent en septembre
1883 et en avril 1884 sous le même titre, chez le même éditeur.
Elles portent sur la couverture, pour les distinguer, les chiffres 2
et 3.
La première édition complète de ces trois parties parut à la
fin de 1886 chez E.W. Fritsch, à Leipzig (qui avait repris quelques mois avant le dépôt des oeuvres de Nietzsche), sous le titre : Ainsi parlait Zarathoustra. Un livre pour tous et pour personne. En trois parties (sans date).
Nietzsche fit imprimer à ses frais la quatrième partie chez
C.G. Naumann, à Leipzig, en avril 1885, à quarante exemplaires.
Il considérait cette quatrième partie (le manuscrit portait :
« pour mes amis seulement et non pour le public ») comme
quelque chose de tout à fait personnel et recommandait aux
quelques rares dédicataires une discrétion absolue. Quoiqu'il
songeât souvent à livrer aussi cette partie au public, il ne crut
pas devoir le faire sans remanier préalablement quelques passages. Un tirage à part, imprimé en automne 1890, lorsque eut
éclaté la maladie de Nietzsche, fut publié, en mars 1892, chez
C.G. Naumann, après que tout espoir de guérison eut disparu et
par conséquent toute possibilité pour l'auteur de décider luimême de la publication. En juillet 1892, parut chez C.G. Naumann la deuxième édition de Zarathoustra, la première qui
contînt les quatre parties. La troisième édition fut publiée chez
le même éditeur en août 1893.
La présente traduction a été faite sur le sixième volume des
Oeuvres complètes de Fr. Nietzsche, publié en août 1894 chez
C.G. Naumann, à Leipzig, par les soins du « Nietzsche-Archiv ».

Je suis tombé par hasard sur le Zarathoustra de Neitzche. Un livre étrange, mais souvent poignant, dans lequel j'entends à chaque ligne les accents viscéraux d'une âme s'enfonçant dans les abîmes. Savoir l'esprit le plus riche et le plus profond qu'on ait jamais rencontré disparu dans la folie et dans son inaccessible univers de chimères. Une telle expérience n'en finit pas de résonner en vous comme un glas funèbre d'une insondable tristesse.

C'est Un livre pour tous et pour personne
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Parce que Zarathoustra n'est pas Nietzsche, on ne retrouve pas dans ce livre la verve légère et dansante du philosophe. Un style plus lourd pour une histoire au moins aussi allégorique que la Bible –brièveté en plus. Déconcertant et rebutant au début, on finit par se laisser prendre au jeu… et on découvre peu à peu que Zarathoustra, à l'instar de Nietzsche, est un sage dansant pour qui la vie est un franchissement d'étapes qui doit se faire le coeur léger, loin des préceptes moraux imposés de tout temps aux hommes.

Une autre manière d'approcher Nietzsche, aussi bon au jeu des allégories que des aphorismes.
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Que retenir du rire de Zarathoustra? Que faire de son renversement des valeurs? Dieu, assure-t-il, est mort, assassiné par la pitié. L'esprit de pesanteur, la haine du corps, la quête d'un dieu ailleurs que sur terre, le regard vers l'arrière, la vengeance, l'amour du prochain avant soi-même, tout cela est battu en brèche par la folie d'un sage, qui ne peut croire qu'en un dieu qui danse, et qui appelle la venue de quelqu'un qui dépasse l'insondable médiocrité des hommes, ce surhomme à créer comme sont à créer de nouvelles valeurs. La radicalité de Nietzsche enthousiasme et effraie. Il se devine antéchrist humain, n'admet qu'un dépassement total de tous les fondements de la morale et crie dans le désert. le rire de Zarathoustra est le rire du diable. le surhomme ne viendra sans doute jamais. Ainsi soit-il.
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« Ainsi parlait Zarathoustra » est une oeuvre unique, à la fois puissante et terriblement dérangeante.

Son charme principal réside dans son style, d'une richesse et d'une beauté exceptionnelles.

Imagination et figures poétiques viennent en effet rendre incroyablement attrayant un texte aux idées souvent difficiles à décrypter en raison de leur caractère métaphorique.

Sur le fond, les idées du philosophe vont effectivement à contre courant de tout ce qui a été établi précédemment.

Nietzsche peut seulement être attaché à une certaine idée du matérialisme et de l'épicurisme mais tout le reste et en particulier la religion chrétienne est rejeté en bloc.

Bien qu'il se défendit de tout antisémitisme, Nietzsche propage dans sa philosophie proclamant l'arrivée de Surhommes conquérants dominant par leur pureté les parasites comme les « hommes efféminés, fils d'esclaves et surtout les populations métissées » des idées suffisamment troubles pour donner prises aux thèses extrémistes que diffuseront les penseurs nazis du III iéme Reich.

Les passages sur les femmes sont également d'un très grand machisme.

Avec sa philosophie de l'homme fort, libre, viril et indépendant s'affranchissant égoïstement de toute éthique morale pour assouvir ses désirs profonds, Nietzsche crée donc une terrible et inarrêtable machine de guerre philosophique dans laquelle je ne peux me reconnaitre.

A lire donc pour le coté hors norme, même si on n'adhère pas (comme moi) au fond.
Lien : https://lediscoursdharnois.b..
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Nietzsche abusait-il de substances psychotropes avant d'écrire ? Non ?
Non, c'est de la philosophie, teintée de poésie, c'est magnifique. Mille mots pour une idée, un imbroglio de phrases pour un message, qui nous mène vers un autre message, une autre idée, j'adore ! de plus, le vocabulaire est très simple d'accès. Certes, comprendre les mots ne vous permet pas toujours ici de comprendre les idées, mais ça aide ;) Ainsi, j'ai adoré cet incontournable, même si je suis certaine que je n'ai pas tout saisi, tant mieux, car ce livre mérite d'être relu, approfondi, réfléchi et médité, encore et encore.

Pour finir, une citation issue des commentaires du livres : "Rien n'est plus trompeur qu'une citation de Nietzsche et dût-on lire qu'un seul de ses livres, il faut le lire en entier."
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La conception Nietzschéenne de la « volonté de puissance » (abordé dans le deuxième livre) auquel le « surhomme » (abordé dans le prologue et le premier livre), que Nietzsche appelle de ses voeux, ne pouvait que souscrire, sous-tend ces distinctions pour le moins problématiques dont il était facile, ou tentant d'abuser, en dehors de leur contexte.

Mais lorsque Nietzsche considère comme mortes les valeurs du christianisme qui déterminent essentiellement celles de l'Occident, y compris naturellement au-delà de la religiosité, il s'agit moins d'une simple assertion sur un phénomène achevé que sur un processus de disparition en cours conduisant (nécessairement) à « l'irruption du nihilisme européen » (abordé dans la dernière partie du livre).
Ce dernier peut, tout à fait, revêtir une forme édulcorée, nous dit Nietzsche, qui ne fera que renfermer le désespoir éprouvé et ressenti au regard de la néantisation des vérités et des valeurs morales.
Mais il pourra tout autant se dépasser lui-même et revêtir une forme plus affirmée comme stade intermédiaire nécessaire pour provoquer un « renversement de toutes les valeurs ». Ainsi, seuls les quelques rares surhommes en seront capables !

Nietzsche évoque, également, dans son Zarathoustra la notion de « l'Eternel Retour » (abordé dans le troisième livre).
C'est là une véritable pierre de touche pour le surhomme qui est assurément davantage une forme littéraire de provocation que la description d'individus susceptibles d'exister concrètement.
Par des allusions poétiques, des réflexions sur l'expérience du temps, et par sa conception de l'être, Nietzsche nous parle de cette notion, en disant que tout est voué à se répéter, d'une part, et ce, sans qu'aucun changement n'intervienne en bien ou en mal, d'autre part.
Ainsi les nihilistes faibles s'effondreront à la vue de l'absurdité de l'éternel retour ; et les nihilistes forts, « appelleront (…) insatiablement non seulement à eux-mêmes, mais aussi à la pièce de théâtre ou au drame comme art total ».
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Depuis 10 ans Zarathoustra médite seul en montagne, en compagnie de son serpent et de son aigle. Il descend maintenant, âgé de trente ans (comme Jésus dans les Évangiles), auprès des hommes, à la ville, et y prêche la vérité conquise à la foule qui ne le comprend pas…
Ainsi parlait Zarathoustra remet l'homme en question et en cause comme peu d'oeuvres auparavant. Totalement en rupture avec la pensée de son temps, tout en étant sa manifestation exemplaire, ce livre ne pouvait que s'exprimer sous la forme incantatoire et poétique qui est la sienne, forme qui elle-même n'est qu'un moyen.
La grande signification du Zarathoustra c'est d'être justement parvenu jusqu'à un stade où aucune idéologie, aucun système, ni aucune civilisation ne peuvent plus se refermer sur le livre et le récupérer.
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Cet ouvrage relève du visionnaire et du brillant ; un cri d'appel au réveil des âmes, plongée dans une vie anesthésiée bien que confortable. Un éloge à la vie, plus qu'au maintien en vie.

À ceux qui peine à comprendre ; vous arrive-t-il parfois de tenir des propos sans les expliquer, en présumant que les gens vous connaissent et comprendront donc où vous voulez en venir ?

J'ose avancer que c'est idem pour ce roman-poème de Nietzsche, il vaut mieux avoir lu préalablement ses autres ouvrages pour comprendre celui-ci.
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Livre plusieurs fois pris du présentoir, puis reposé. le nom de Nietzsche me faisait un peu peur, et les rares fois où on m'en avait parlé, c'était pour me dire qu'il avait des théories complètement farfelues et impossibles à comprendre.

La curiosité a fini par l'emporter, et j'ai entamé la lecture. Je m'en félicite ! Malgré tout ce qu'on m'avait dit, j'ai trouvé l'ouvrage beaucoup plus clair que les autres essais que j'ai lus jusqu'à présent : vocabulaire accessible à tous, style très agréable à suivre.

Après, je ne prétendrai pas avoir tout assimilé non plus, les commentaires en bas de page m'ont bien montré que j'en suis resté à un niveau assez peu profond. Mais enfin, ça a été une belle surprise, et ça m'a donné l'envie de creuser un peu plus. Et de ne plus jamais me laisser convaincre par des avis négatifs.
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