Cosmétique de l'ennemi

Après avoir lu trois Amélie Nothomb, je revois mon jugement sur cette auteure que j'appréciais peu: je n'aime pas son style, mais elle sait trouver les thèmes pour interpeller et déranger.
Ce livre-ci m'a semblé moins provocant qu'Acide sulfurique, mais a su me surprendre par trois fois (je suis assez bon public: les surprises peuvent se deviner par certains lecteurs perspicaces, mais pour ceux qui aiment se laisser prendre au jeu comme moi, les rebondissements donnent un certain charme à cette lecture). Amélie Nothomb mène assez habilement son lecteur et ses personnages, dont les répliques constituent l'essentiel du roman et se succèdent avec rapidité et efficacité.
Plutôt bien, mais sans plus. Je le conseille aux fans, mais pas forcément à ceux qui veulent découvrir cette auteure.

Franchement pas bon, les dialogues sont pauvres, les retournements attendus, le scénario peu original. le protagoniste est une sorte de schizophrène fort utile au scénario, puisque l'une de ses personnalités a "oublié" tout un pan de son passé alors que l'autre s'auto-harcèle pour ses forfaits passés... J'ai vu venir tous les retournements et pourtant le livre est court.

Une histoire dialoguee qui ressemble à l'atmosphere de l'Hygiene de l'assassin ou Barbe bleue, puis un effet surprise très habilement mené et chassant un léger ennui. Lu en une heure à peine, parfait pour le métro.

Je sens que je vais me faire lyncher mais... Je n'ai pas accroché.

Je suis pourtant une grande fan de l'auteur. Mais tout comme pour Péplum par exemple, j'ai du mal avec ces récits composés uniquement de dialogue.
En fait, je me suis ennuyée. J'ai une impression de redondance. Que ça n'avance pas. Bref, je n'y suis pas sensible.

Par contre j'admet que la chute est magistrale (même si dans mon cas, elle était attendue). le livre étant court, une relecture immédiate est permise et recommandée! Mais pour moi, cela ne comble pas cet effet de vide que j'ai ressenti tout au long de ma lecture. Et j'en suis sincèrement désolée.

Au rythme d'un roman pour chaque rentrée, l'on risque certains dérapages que l'auteur n'a pas évité dans ce pamphlet sans trop d'intérêt. La seule joie, c'est qu'on le lit vite.

Un livre étonnant, comme sait en faire Amélie Nothomb qui nous invite à un jeu du chat et de la souris inquiétant et cruel...
Elle qui manie avec élégance les traits de la cruauté, nous fait part ici d'une expérience riche en sentiments au travers d'un dialogue harcelant et d'une écriture précise comme la pointe d'un couteau...
Un voyage intéressant entre fascination et domination...
Lien : http://art-enciel.over-blog...

Mon problème avec cet auteur est celui-ci: l'idée de base est en général bien trouvée, on est d'accord. Mais je trouve que souvent les dialogues ne sont pas très bien construits, je veux dire dans la mesure où c'est un choix esthétique. Il y a toujours un moment où j'ai l'impression qu'on tourne en rond (c'est particulièrement sensible dans Peplum, mais ici aussi), que ce n'est plus une discussion, mais un bavardage.
Cela n'empêche pas que j'ai lu beaucoup de ses livres, mais aucun de ses ouvrages récents par exemple, je sature pour le moment, on verra dans quelques années.

Pas mal du tout. Outre le fait que l'histoire est très courte et écrite en très gros caractères, et que l'on peut considérer ça comme une nouvelle, l'histoire de cette irruption que l'on penserait anodine se transforme en cauchemar

Un livre assez noir, influencé par la littérature romantique allemande.Une histoire fantastique.

Un Nothomb que j'ai lu jusqu'au bout ...déjà pas si mal !!
Après, c'est sûr que l'auteur fourmille d'idée et d'originalité mais il faudrait peut être se mettre au boulot pour produire quelque chose de plus dense, travaillé et creusé ...
Bref, peut mieux faire ...
ou pas ?!!