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3,62

sur 1577 notes

Critiques filtrées sur 1 étoiles  
Cela faisait longtemps que je n'avais pas lu d'Amélie Nothomb. Malheureusement, il ne m'a pas semblé à la hauteur des nombreux autres romans de l'autrice que j'ai eu l'occasion d'avoir entre les mains. Sa brièveté ne permet pas de creuser la thématique de la vengeance et la psychologie des personnages, tandis que le scénario est terriblement prévisible.
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Comme souvent, en refermant le dernier livre d'Amélie Nothomb, je reste insatisfaite. Ses récits sont de plus en plus courts, cela ne lui permet pas de véritablement planter le décor ni de créer des personnages qui existent vraiment.
On dirait un squelette de texte, avec des ébauches d'idées et des ébauches de personnages. C'est dommage car l'idée de départ est bonne, elle s'interroge sur les relations père-fille, sur la haine, la vengeance. Elle glisse quelques mots rares dans son texte au milieu de pas mal de clichés.
Je reconnais néanmoins un style brillant. Mais sitôt lu, sitôt oublié ! Enfin, c'est juste mon avis.
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Reine quitte son amant pour se marier avec Jean-Louis qui a une belle situation et des projets pleins la tête. Son amant, trahi, jure de se venger.

J'avais déjà lu quelques romans d' Amelie Nothomb lorsque j'étais à l'école et je n'avais, à l'époque, pas adhéré à l'écriture. J'ai néanmoins réessayé cette année au vu des nombreux commentaires positifs sur ce nouveau roman. Malheureusement, la magie n'a, une fois de plus, pas opéré chez moi. J'ai trouvé le texte assez plat et l'intrigue d'un entendement extrême.
Bref, assez déçue par ce roman, je ne m'étalerai pas d'avantage.
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J'ai donc voulu lire mon Amélie Nothomb, revenir sur des traces que j'avais autrefois aimées, et dont je m'étais détachée assez rapidement. Histoire de savoir si c'était sa faute ou la mienne. Et de savoir de quoi je parle (encore que je ne parle pas vraiment souvent d'Amélie Nothomb, on a les contradictions qu'on peut).

Et bien voila. Je n'ai pas été déçue… Il paraît pourtant que je n'ai que ce que je mérite, c'est ce qui se dit ici.

Cette lecture aura au moins eu l'intérêt de me rappeler ce qu'est (ou n'est pas) la littérature, la différence entre un livre et un objet de consommation.
Même en se disant que c'est du second degré, ça ne passe pas.

Ca commence dès le titre : Les prénoms épicènes. Mot que « personne » ne connaît à part Amélie Nothomb, qui se fait bien briller en daignant le partager avec nous
Un mot épicène est un mot qui n'est pas marqué du point de vue du genre grammatical et peut être employé au masculin et au féminin sans variation de forme .
Et bien oui, quelle idée géniale, les héros s'appellent Claude et Dominique. Et nomment leur fille… Epicène. Hahaha ! Seulement cela ne change rien à rien, n'a aucune place particulière (ni intérêt il faut bien le dire), il s'agit juste d'un titre accroche-chalant.

L'intrigue  est digne du plus basique des romans-photos. On croise là grand amour, passion, vengeance démoniaque, cynisme, fric facile, et autres balourdises. Bref, tout cela est définitif, tout noir ou tout blanc, convenu à en être pathétique, et on n'oublie pas au passage de se tomber dans les bras de bonheur. « Celui qui aime est toujours le gagnant ». Que c'est beau !

Les personnages sont des stéréotypes ambulants. Un couple asymétrique, non pas un médecin et une infirmière, mais un cadre sup et une secrétaire bécasse provinciale, qui croit vivre le grand amour et qui est habilement (?) manipulée. Elle est finalement séduite par … l'achat d'un flacon de Chanel Numéro 5. Fallait oser. Leur fille est très malheureuse (mais très intelligente). Sa meilleure amie est issue d'une famille marocaine de moindre milieu social, où, évidemment, on est beaucoup plus heureux, qui pouvait donc en douter. Elle raisonne comme une adulte revenue de nombreuses expériences. Et ne pas oublier la grande amie de la mère, aristocrate, prénommée si habilement Reine, prénom pas épicène, mais qui pourtant ne manque ni de simplicité, ni de finesse, pas du tout. Ni le beau-père méprisé, encore un provincial impécunieux, mais qui, tadam, « connaissait par coeur des pages et des pages de poésie de Victor Hugo et les récitait de sa voix rocailleuse » (j'insiste sur le mot rocailleuse, si bien choisi)

L'écriture est loin de rattraper quoique ce soit. le style a la platitude d'une rédaction de CM2, exposer des faits ce n'est pas raconter. C'est bourré de dialogues indigents, le vocabulaire ne dépasse pas les 1000 mots, à part 4 ou 5 mots « savants » semés ça et là pour masquer la pauvreté du reste, et montrer la culture si généreusement partagée de Mme Nothomb.

Le seul avantage c'est que c'est court, très court, pourquoi donc se fatiguer sur la quantité quand on néglige la qualité, et que cette indigeste production annuelle, bien orchestrée par le service marketing d'Albin Michel et les médias le petit doigt sur al couture du pantalon est sûre de trouver son public, quoi qu'il arrive ?
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Le français est raciste et con, il croit que tout les marocains sont épiciers, la famille française est en perdition alors que la famille maghrébine est parfaite, idéale. Que de clichés anti français Madame . En plus c'est la première daube que je lis de vous et suis ravi de l'avoir emprunté à la bibliothèque et ne pas avoir financé votre haine de notre pays .
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Certes, la production d'Amélie Nothomb est inégale. Les années se suivent et ne se ressemblent pas. Mais là! Quel ennui! Et l'écriture... J'avais l'impression de lire la rédaction d'une collégienne.
J'aime beaucoup le personnage d'A.N, mais avec ce livre, je ne trouve aucun mot pour le défendre.
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L'histoire est prévisible, caricaturale. La plume est simpliste et snob à la fois.
Décidément je ne comprend pas l'engouement que cet écrivain suscite !
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Je n'ai pas trouvé d 'attrait à ce livre, juste de la curiosité. Lire un livre d'Amelie nothomb c'est pour moi comme regarder par le trou de la serrure. L'intérêt réside dans un vieil interdit, pas dans le contenu. J'ai encore regardé par le trou de la serrure. Je me le promets, plus de fascination pour Amélie.
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J'ai découvert récemment Amélie Nothomb. J'ai apprécié plusieurs de ses livres, mais la … rien. Livre très court, très rapide à lire et surtout très vite oublié.
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Pour ne pas mourir trop bête j'ai fini par lire Amélie Nothomb, que les medias passent pour l'incontournable des rentrées littéraires.
Et ben maintenant je sais. de la merde en tube, aucun style, des personnages sans épaisseurs, une histoire qui tient en dix lignes et qu'elle ne cesse d'étirer pour que ça fasse un livre entier.
Le titre ? épicène, juste pour faire vendre. Aucune exploitation du "filon" dans ce (très petit) bouquin.
Une insulte à la littérature...
Ce bouquin doit être utilisé en tant que somnifère, ou de cale pour armoire normande.
Je laisse conclure Eric Naulleau : "L'auteur, on le sait, met son point d'honneur à sortir un nouvel opus chaque année au mois d'août. Lorsque paraît Amélie, l'été expire, et la littérature avec."
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