C'est un récit de voyage un peu particulier, original, que proposent les deux auteurs, qui ont voyagé durant deux ans (2005-07) pour visiter huit murs encore en «activité» et en ont rapporter ce reportage, ce témoignage sur ces «symboles d'échec et de repli sur soi.» Si les murs protègent, ils séparent. Les communautés n'arriveront-elles donc jamais à se frotter les unes aux autres sans haines et sans peurs?
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D’autres se désintéressent de ce qui se passe au Nord: les jeunes principalement, qui n’ont pas connu la vie avec leurs voisins turcs, ni la guerre, et qui n’ont pas besoin de la réunification pour continuer de vivre confortablement.
Un coup de feu dans la DMZ (la zone démilitarisée entre les deux Corées), même contre un animal, pourrait conduire à une escalade de la violence dont personne ne veut.