Les personnages de Mallory et de Charles décrits comme des détectives/flics non conventionnels dans un duo atypique renversent les codes. Bien que les « défauts » et « qualités » de la jeune enquêtrice hors normes soient un peu récursifs, son côté irrévérencieux et illicite lui permet d'arriver à une fin qui tient dans un mouchoir de poche, au dénouement bien ficelé.
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La quatrième de couverture était alléchante. J'étais ravie de commencer ce livre. Et quelle déception ! Rien ne m'a plu. le personnage principal présente peu d'intérêt pour moi. L'intrigue est lente. S'ensuit un chaos dans les faits chronologiques. J'étais très souvent perdue. Les chapitres sont longs. Cette lecture était une belle perte de temps.
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J'ai bien aimé les 100 premières pages ensuite j'ai calé. J'ai trouvé que l'histoire trainait en longueur. L'auteur nous rappelle sans cesse l'absence d'émotion de l'héroïne ainsi que ses particularité et ses magnifiques facultés, cela en devient lassant.
Ce tome est a priori le tome 2 de la série Mallory.
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Lâché au bout de 70 pages !
L'intrigue traîne en longueur, des descriptions hors sujet, des interférences chronologiques qui brouillent et annulent le suspens...
Une immense impression de perdre mon temps.
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Quand nous disons la vérité, nous parlons toujours de la même vérité. Quand nous mentons, en revanche, il faut avoir une mémoire d'éléphant pour dire chaque fois le même mensonge.
Ce genre de pervers parle toujours trop, même quand on lui lit ses droits. Ces types mentent, mais ils parlent et se contredisent. Si nous ne le coinçons pas avant qu'un avocat lui dise de la fermer, nous avons perdu la partie. Sans preuves, il n'y a pas d'inculpation possible. La rapidité est indispensable dans ce genre d'affaire, sinon le meurtrier s'en tire.
On reconnaît tout de suite les enfants de riches. Si le mari ou la femme se tire, ils ne mangeront pas pendant une semaine. On peut voir combien ils sont bouleversés par la quantité d'alcool et de tranquillisants qu'ils ingurgitent. Mais si la femme de ménage s'en va, tout leur univers s'écroule. Ils retournent à l'état de bête.
Je ne pense pas qu'un écrivain s'inspire de sa propre existence plus qu'un acteur qui doit entrer dans la peau d'un personnage. L'acteur ne joue pas sa vie et j'imagine qu'un écrivain, même quand il fait son autobiographie, ne transcrit pas intégralement sa vie privée.
Quand il s'endormait enfin, il rêvait de mort, de mort violente. Ce cancer de haine avait envahi toute sa vie, éveillé et endormi. Il était entier et invincible. Les hommes n'ont jamais pu vaincre le cancer. Il n'y avait pas de remède.