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Last Hero Inuyashiki tome 3 sur 10
EAN : 9782355929168
200 pages
Editions Ki-oon (11/02/2016)
3.57/5   61 notes
Résumé :
À 58 ans, Ichirou Inuyashiki est loin d'être un modèle pour ses enfants. Vieux avant l'âge, méprisé de tous, il a vécu toute sa vie en salaryman minable et n'a pour toute amie que sa chienne Hanako. Comme si cela ne suffisait pas, on lui diagnostique un cancer en phase terminale au détour d'un examen de routine... C'en est trop, pour le pauvre vieillard. Alors qu'il pleure de désespoir dans un parc en pleine nuit, une lumière aveuglante apparaît... et c'est l'impact... >Voir plus
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Critiques, Analyses et Avis (10) Voir plus Ajouter une critique
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Un tome 3 difficilement soutenable, où nous suivons la descente aux enfers d'une jeune fille qui n'est que beauté et gentillesse et d'un jeune garçon qui n'est que sincérité et générosité... La fille a tapé dans l'oeil d'un chef yakuza totalement cinglé et il compte bien joué au punching-ball avec le garçon avant de se vautrer dans la drogue et le sexe avec son flirt imaginaire : force est de constater qu'il est moralement plus proche des amibes que des mammifères, vu qu'il n'a comme horizon que la satisfaction immédiate de ses plus bas-instincts au mépris de toute les conséquences pour lui comme pour ses prochains... Dans son cas peut-on encore parler d'être humain ? Bien sûr que non car il s'agit d'un hominus crevaricus de la pire espèce !
Quand la nausée survient, la renforts arrivent enfin… Mais quels que soit ses pouvoirs, Ichirô Inuyashiki n'a pas la capacité de ramener les morts à la vie... L'émule de Jésus Christ devient alors la Colère de Dieu sur Terre ! Oh oui, ça va chier des bulles pour les yakuzas !!! Pour un peu, j'aurai presque pitié d'eux... Oui mais non, pas de pitié pour les charognards qui se repaissent du malheur d'autrui.
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Après un premier tome bien apprécié, je n'ai ressenti que du "vide" à la lecture du tome 2... essentiellement causé par le jeune Hiro, exacte antithèse du vieux Ichiro. Ce lycéen est un désert côté sentiments (exception faite pour son ami d'enfance) et son existence l'est tout autant. Si Hiroya Oku, dans le 1e tome avait développé le caractère et la vie de famille d'Ichiro, il a (délibérément ?) oublié d'en faire de même pour Hiro... et on éprouve donc... rien !
Les dessins m'ont semblé moins soignés aussi : trop de décors urbains en graphisme numérique au détriment de l'expressivité tracée des personnages.
Oublions également le thème de la critique sociale qui m'avait bien parlé dans le 1e tome. Et la fin m'a amené à me demander si Oku jouait avec l'intention de faire de la pub' pour Kleenex.
(note tome 2 : 2,5/5)

Si dans ce 3e tome, j'ai de nouveau été happée par les dessins (et que j'ai admiré, e.a., la précision des tatouages sur les corps des yakuzas), j'étais frustrée par la quasi-absence de dialogues, à part les multiples onomatopées traduisant les gnons et les rafales de balles. Et même si on sait maintenant de quelle façon Ichiro arrive, tel un super-man vieilli en pantalon de flanelle, sur les lieux d'un crime... il atterrit ici comme un fin cheveu sur une épaisse soupe de gros légumes (Hiro, tel que le néant cité ci-dessus, n'apparaît pas du tout).
Pour les mordus d'action, ce troisième tome peut convenir, mais personnellement je demande d'une bonne histoire qu'elle comble autrement et plus intensément mes attentes...
(Note tome 3 : 2,8/5)
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Après deux tomes qui posaient les bases (quasi philosophiques) de ce qui constitue un être humain, terrible est ma déception.

Deux humains ont péri suite à un hard landing d'un vaisseau extra-terrestre. Ils ont été recomposéss par les ET, afin de "réparer" leur bévue. Chaque cyborg choisit alors un chemin divergent. La voie humaine est difficile. le côté obscur est bien plus aisé.

Ce 3è tome me mettait en appétit... comment Oku allait-il mettre tout cela en pratique? Eh bien, le hard landing ne vaut pas que pour les ET, il vaut aussi pour les lecteurs.

On démarre fort. Une fille tatouée, morte, des pillules, une seringue, un yakuza gigantesque, dont on devine que tout en lui est (dis)proportionné... qui demande d'évacuer un corps. Puis une fellation homosexuelle dans un sauna. le ton est donné.

Je ne suis pas un père-la-pudeur. J'admets ce genre de "dérive". Always more drama, selon les paroles de Gary Gigax, créateur de Donjons et Dragons. Tout ce qui peut concourrir à accroître l'intensité dramatique est bienvenu. Et cette entrée en matière a suscité d'énormes attentes.

Pour mon plus grand malheur, cela dit.

Le yakuza flashe sur une jeune femme pure et innocente, et il pense l'entraîner malgré elle dans ses turpitudes. Je dis OK. Arrive Inuyashiki qui se prend quelques bastos de flingue et est mis temporairement hors d'usage. Il ramène à la vie le fiancé de la belle au bois bandant. Puis il file dans le repaire des yakuzas et fait le coup de force en se prenant des triclées de balles d'uzi et de kalache, sans broncher. Incohérence. Je passe les détails.

D'ailleurs, dans les tomes 1 et 2, ce genre de péripéties occupait 2 chapitres (3 au maximum) du volume complet. Ici, cela prend l'ensemble du tome et même davantage. Succession de branlettes à flingues sans intérêt car non contrebalancées par du contenu sur l'humanité. C'est mon avis et je le partage.

Niveau dessin, il y a pas mal de postures statiques. de mouvements loupés. Ce qui est dommage, vu que l'essentiel repose justement sur le mouvement. Idem pour les proportions, jambe/bras/corps qui ne sont pas toujours très claires. Si on considère que Oku se repose de plus en plus sur des photos digitalisées comme décor et seble se concentrer sur les personnages, on a comme l'impression d'un raté intégral.

Un tome qui aurait pu réellement être insoutenable est finalement juste illisible et imbuvable. Je peux me figurer le viol par tous les trous d'une jeune femme. Je peux voir les perversions et les déviances les plus extrêmes. Ce n'est même pas la voie que prend Oku. Un tome pour rien à oublier au plus vite.
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Un chef de clan terrible n'hésite pas à se servir autour de lui s'il veut quelque chose. Surtout les jeunes filles mignonnes… Hiroya Oku arrive à donner un air particulièrement féroce à l'homme. Ce troisième tome a été assez rapidement lu : beaucoup d'images, souvent répétées, les informations assez facilement repérables, peu de dialogues. On ne voit Inuyashiki que dans les dernières pages. Un peu déçue par le manque d'actions mais quel finish ! Reste à voir ce que le prochain me réserve (le dernier traduit en français à date, oups !)
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On a fermé le tome précédent sans trop savoir ce qu'allait nous réservait Hiroya Oku. On poursuit Ichirou Inuyashiki qui veut sauver les innocents. Grâce à ces oreilles bioniques, il entend les appels à l'aide, un peu comme Superman. Là, il doit faire face à des yakuzas. le mangakas les représente gigantesque, musclé, avec des cicatrices et phallocrate. Bien entendu, il n'y a que des hommes recouverts de tatouages. Les sbires pour protéger eux ont des têtes de gland et des armes à feu puissantes. A la première confrontation, il n'arrive pas à grand chose puisque la fille est enlevée et son petit ami à failli mourir. La colère est une grande motivation pour aller au plus proche des criminels. Après des centaines de balles, il laisse son corps prendre le dessus et là, la performance de la mécanique montre sa performance. La machine va tous les buter efficacement. Un grand moment d'actions qui dynamise indéniablement la lecture du manga. Malgré le tas de cadavres, tout finit bien pour les gentils. Cela amène à s'interroger sur la notion du bien et du mal. Tuer un individu sera mal mais si c'est un meurtrier, un violeur, un voleur... cela serait plus acceptable. Qui met le curseur sur la voie choisie? C'est un choix de société. D'ailleurs, cela est évoqué avec la discussion entre deux femmes qui parlent de mariage. Un mari doit se choisir par rapport à son salaire annuel puis son physique. L'amour dans ça n'a guère sa place. La pression sociale pousse à la discrimination. Encore une fois, on repose la question de l'acceptabilité. Une fiction qui impose des interrogations sur le monde de demain que nous souhaitons.
Lien : https://22h05ruedesdames.com..
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critiques presse (1)
Sceneario
15 février 2016
Un volume très prenant mais légèrement frustrant !
Lire la critique sur le site : Sceneario
Citations et extraits (3) Ajouter une citation
« - Il est comment ton mec ?
- C'est un employé de bureau tout ce qu'il y a de plus normal...
- Ah, bon ? Il gagne combien par an ?
- Euh... dans les trois millions de yens (environ 22000 euros), je crois...
- Quoi ? C'est tout ?! Mais c'est que dalle !
- Quand même pas... et puis c'est pas comme si on avait des goûts de luxe !
- Rassure-moi, tu ne songes pas à te marier ?
- Bien si, j'aimerais bien !
- Sérieux ? À ta place, je laisserais tomber... Tu ne choisis pas la facilité !!
- Et en quoi c'est mal ?
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Monsieur... Pourquoi vous nous aidez ? Qu...Qui est-ce que vous êtes ?
Commenter  J’apprécie          80
- C'est vous, le grand gaillard à la peau mate ? Je sais où vous êtes !
- Tu n'as pas l'air d'être un flic...
- Je viens vous chercher !
- Qu'est-ce que tu racontes ?
- Je vais vous mettre hors d'état de nuire et récupérer la jeune fille que vous avez enlevée !
- Tu es échappé de l'asile ou quoi ?
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Vidéo de Hiroya Oku
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