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3,74

sur 475 notes
*totalement brillant et original " dixit notre seigneur dieu Stephen King.
Et on va pas se mentir, quand c'est Stephen qui recommande on se laisse volontiers tenter.
Me voilà donc à Black Spring, dans une petite ville américaine ensorcelée par une vieille sorcière aux yeux et à la bouche cousue, encore entravée aux chaînes avec lesquelles on l'a pendue, trois cent cinquante ans plus tôt.
Pour les habitants, secret absolu et impossibilité de quitter la ville.
Partir quinze jours en vacances maximum tu peux mais pas plus car tu seras envahi d une telle tristesse et d un tel désespoir que tu auras envie de te suicider. Donc c'est retour à la case départ obligé, tout le temps.
Notre sorcière vit à Black Spring et possède le pouvoir d apparaître ou elle veut et quand elle veut chez les habitants.
Et ça j ai trouvé ça génial !
Vous allez dans votre cuisine chercher un verre d eau et vous vous retrouvez face à une sorcière en guenilles qui pue la mort et qui va rester la 3 jours sans bouger.
J ai trouvé ça génial parce que c est super flippant.
Et si on lit ce genre de livre c est pour se faire peur non ?
A part ça notre sorcière est plutôt calme et le deal avec les habitants est très simple : " je t emmerde pas, vous m'emmerdez pas".

Mais forcément ça va se gâter, à cause d une bande d'ados qui va transgresser les règles.

On se retrouve donc très vite dans un schéma Stephen King.
La petite bourgade américaine remplie de secrets, les adolescents au centre de l histoire et toute une ville d'américains moyens basiques.
Malheureusement Heuvelt n'est pas encore Stephen King et sa mise en place est poussive et mal huilée.
Mais Heuvelt à aussi du talent et il va faire monter la sauce à petit feu, comme un bon petit marmiton de l'horreur.
Ça va être bien horrible d'ailleurs et l'auteur va nous emmener très loin dans le côté obscur.
Tant mieux parce que c est pour ça comme je l ai dit plus haut, c est pour ça que nous lisons ce genre de livre.
Malheureusement, la fin est comme le début, mal ficelée.
Trop facile de prendre ton personnage principal est de le faire se réveiller trois jours après en ne se rappelant plus de rien.
Dommage car le contenu et les idées étaient très bons.
Pour conclure Heuvelt est quand même un jeune auteur à suivre dans l horreur mais qui doit s améliorer pour maîtriser de façon complète ses histoires, à la façon d'un Nick Cutter qui est pour moi le meilleur dans les " jeunes pousses" des romans qui font peur la nuit

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Avec cet ouvrage de Thomas Olde Heuvelt, on est averti. Si tu entres dans ce village (et dans cette histoire) tu ne peux plus en sortir. L'ouvrage est aussi addictif que les personnages sont pris au piège de leurs propres peurs. Chacun semble s'être fait à la présence de la sorcière, cette femme sans âge, flétrie, nauséabonde et dont la bouche est cousue; à ce champ de force qui resserre l'étau sur le village et ses habitants jusqu'au désastre.
Et si finalement, l'effroi était bien plus réel qu'il n'y paraît...

Gros coup de coeur 🖤

Dans le genre livre d'horreur je pose ça là. Je suis littéralement raide dingue de cette histoire flippante à souhait et tellement addictive... même pas sûre de le regarder un jour s'il sort au ciné

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Pendant une petite centaine de pages j'avoue avoir eu du mal à bien rentrer dans cette lecture. Je n'y retrouvais pas l'horreur voulue et je trouvais l'écriture assez brouillonne avec une impression d'incohérence d'une phrase à l'autre. Est-ce dû à un soucis de traduction!? Mais voilà, je me suis accrochée et j'ai finalement beaucoup aimé.

Je me suis attachée aux personnages principaux et l'évolution de plus en plus inquiétante du récit m'a finalement séduite. Je me suis moins sentie perdue et j'ai trouvé une belle fluidité dans le texte. Les choses empires et avec cela des évènements cruels. Même si ce livre n'est pas que cela, j'ai eu plaisir à y trouver de jolies scènes d'horreur qui m'ont fait frissonner.

Une lecture qui ira finalement plus loin que ce à quoi je m'attendais. Elle nous conte une histoire de sorcières dans un village dont les coutumes et les mentalités n'ont pas évoluées si ce n'est en apparence. Par l'évolution des faits, l'auteur nous pousse à nous interroger sur qui incarne vraiment le mal, qui a vraiment les yeux fermés!?

Un récit que j'ai trouvé idéal pour la période d'Halloween.
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Difficile de donner un avis sur ce roman...
Pour être honnête j'ai voulu l'abandonner plusieurs fois, mais les avis répétaient sans cesse de tenir jusqu'à la moitié du livre, alors j'ai poussé ma lecture jusqu'au bout par curiosité.
Au final, il est vrai que tout l'intérêt du livre se tient sur les 100 dernières pages, ce qui est plutôt dommage vu qu'il en fait presque 500. J'ai trouvé la trame de l'histoire intéressante mais pas assez exploitée. Heureusement certains passages historiques sur la sorcière (qui est finalement le personnage le plus intéressant de l'intrigue) viennent titiller notre curiosité et nous replonger dans l'histoire.
Concernant celle-ci, je ne m'attendais pas du tout à ce que celle-ci soit tourné en ridicule à ce point. Les habitants vivent presque en harmonie avec elle, habituée à la voir apparaitre au coin d'un salon, ou d'une chambre et traqué par une application qui géolocalise sa présence, sans finalement grand intérêt. Elle est humiliée par une bande d'adolescents qui la tourmente, les adultes se moquent d'elle (elle se prend un lampadaire...), et aucun climat d'angoisse ne plane autour d'elle. L'ambiance peut-être étrange et gênante à certains passages, mais sans lien avec l'histoire en elle-même. Des actes de violence envers la sorcière sont totalement gratuits et sans intérêt (comme l'obsession pour ses seins).
Les habitants ne sont finalement pas confinés dans leurs villes comme indiqué dans le résumé, puisque certains emménagent, d'autres travaillent à Manhattan, viennent et sortent de la ville, bref une autoroute.
Et puis dans les 100 dernières pages, l'ambiance bascule. On sent que l'auteur se lâche enfin et ouvre les vannes. Enfin des situations angoissantes, du rebond, des coups de théâtre, de l'horreur ! On plonge littéralement dans le roman pour un final auquel je ne m'attendais absolument pas, et j'ai beaucoup apprécié. Mais quel dommage que le reste du roman n'ait pas suivi, il aurait été aussi brillant que le mentionne Stephen King.
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Bonjour à tous!

C'est avec peine que je viens partager ma critique sur ce livre.

C'est grâce à vous que je l'ai découvert, vos bonnes critiques ont attiré mon intérêt.

J'avoue que je me sers beaucoup de ce site pour trouver de quoi me rendre heureuse. Je ne peux pas me rendre en librairie, feuilleter et me laisser tenter (je suis invalide des jambes)

Je n'aime pas faire des résumés de l'histoire dans mes critiques, le 4ème de couverture sert à cela, je mise plutôt pour les sensations et les émotions
Surprise, émoi, amitié, cruauté, rancœur, rage, peur et curiosité...

Je cherchais : de la peur, du suspense,de l'effroi, du fantastique, un rythme soutenu, une accroche incroyable, des personnages prenants...
Et bien! Bingo !
Ce roman est digne d'un SK, d'ailleurs s'il a apprécié la lecture ce n'est pas pour rien

Oui j'ai eu de la peine car quand j'ai fermé le livre, j'ai ressenti un vide me disant que cela sera très difficile de retrouver cette magie dans un autre roman

Laissez vous tenter cela ne sera pas une déception (Ils comptent en faire une série Oui!!!!)

Bonne lecture et à très bientôt

Christine
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Voilà un roman qui m'a clairement attiré par la recommandation du maître King et je ne regrette pas du tout d'avoir demandé ce roman lors d'un précédent Noël. En quelques mots, nous suivons une famille qui habite dans une ville aux États-Unis qui a la particularité d'être maudite par une sorcière, Katherine. Quiconque s'installe dans cette ville, Black Spring, ne peut plus en repartir au risque de succomber à la malédiction.

J'ai été un peu déstabilisée au départ car nous débarquons directement dans la vie des personnages où la sorcière tient une place importante. Elle nous est à peine présentée tant elle fait partie du paysage et de leur quotidien. J'ai donc dû relire le 4ème de couverture pour bien comprendre.

Il y a un étrange contraste entre l'ambiance générale de la ville qui semble plongée dans le passé et qui est pourtant ouverte au monde puisque des touristes peuvent y circuler. Les habitants jouissent de toute la modernité, comme Internet, même si certaines choses leurs sont interdites. Car le public ne doit pas apprendre l'existence de Katherine. Les habitants peuvent aller librement dans d'autres lieux... tant qu'ils reviennent rapidement. Au bout d'une semaine, les premiers symptômes de la malédiction apparaissent.

Nous voilà donc plongés dans le quotidien de la famille Grant. L'intrigue prend le temps de s'installer gentiment, ainsi le lecteur comprend mieux le contexte et tout comme les habitants de Black Spring, nous nous habituons à Katherine... quitte à ne plus envisager le danger qu'elle représente. Jusqu'à ce que des adolescents décident de s'en mêler.

J'ai retrouvé l'influence de Stephen King dans la façon de construire l'histoire, de décrire les scènes marquantes et dans le profil des personnages. Mais rassurez-vous l'auteur a sa propre patte originale.

Les personnages de la famille Grant sont sympathiques mais j'ai eu surtout de l'affection pour Tyler, le fils aîné. Globalement, je n'ai pas forcément été attachée aux autres, ni même aux "méchants" car la véritable héroïne c'est bel et bien Katherine. Elle a un fort charisme et on s'attache curieusement à elle malgré le fait qu'elle ne parle pas et que nous ne sommes pas depuis son point de vue. Les idées développées sont bonnes et bien plus profondes qu'elles n'y paraissent au premier abord. Au travers de Katherine, pourtant vieille de plusieurs siècles, l'auteur traite de plusieurs thématiques très modernes. J'ai particulièrement apprécié le fait qu'on ne sait pas toujours ce qui relève réellement de la malédiction ou bien des conséquences naturels des actes des personnages.

Un peu comme dans Dôme du maître King, le fait de vivre en huis-clos (même si Black Spring reste ouverte au monde), exacerbe le pire chez les gens et on retrouve les mêmes genre d'abus par les personnes de pouvoir et surtout le terrifiant effet de foule dont la bêtise me glace toujours autant d'effroi.


A la moitié du roman, les choses commencent à déraper. Certaines scènes étaient vraiment flippantes et prenantes. Des rebondissements sont très bien trouvés et j'ai été soufflée par des conséquences sur lesquelles je ne peux pas m'attarder sous peine de vous gâcher le plaisir.


La fin, pourtant grandiose, m'a laissé un peu sur ma faim. Soit l'auteur en a trop dit sur Katherine soit pas assez. Dans les remerciements, l'auteur nous indique qu'il a profité de la traduction de son roman en anglais (à la base il est néerlandais) pour modifier la conclusion... sans nous dire en quoi elle diffère !


En résumé cela a été une très bonne lecture, bluffante, prenante et terrifiante. Les idées sont vraiment originales et la réussite tient beaucoup au personnage de Katherine.Mon année de lecture commence très bien ! Je vais surveiller cet auteur de près.
Lien : https://dryade-intersiderale..
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MON DELIRIUM:
« Brillant et totalement original » dixit le grand Stephen King sur la couverture…. Ok, allons voir ça de plus près. Au bout d'une cinquantaine de pages on sait déjà tout, ou presque. Intrigue et indices sont dévoiler. J'ai peur de m'ennuyer par la suite. C'est pas comme s'il restait 500 pages. Et pourtant je n'ai pas vu le temps passé. Il faut dire que l'auteur est assez fort pour nous faire croire qu'on a déjà tout appris. Alors même si l'histoire n'a pas un rythme de croisière fou fou, on se surprend à s'investir auprès de cette communauté hors du temps. On espérait presque que derrière cette sorcière il n'y aurait rien de surnaturelle. Tellement on a envie de croire que la simple folie humaine alimenterait les pires cauchemars… Et pourtant…

Cependant je n'ai pas envie de retenir la fin. Trop ouverte à l'imagination, elle laisse un gout d'inachevée. En remerciement l'auteur nous apprend qu'il existe une autre version finale. Initialement écrite en néerlandais (langue maternelle de l'auteur) l'histoire prendrait elle une autre tournure? Avis aux lecteurs bilingues pour le découvrir.
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Excellente lecture que ce roman d'horreur original et prenant ! C'est le premier roman d'un auteur néerlandais et franchement chapeau ! Ce livre est écrit avec beaucoup de maitrise, tellement qu'on ne dirait pas du tout un premier roman.

L'histoire de Hex est pour le coup très intrigante : l'action se situe dans une petite ville nommée Black Spring. Celle-ci a la particularité d'être hantée par Katherine, une sorcière exécutée il y a plusieurs siècles sur la place publique. Celle-ci a les yeux et la bouche cousus et déambule dans la ville. Elle peut apparaitre n'importe où et n'importe quand et personne ne peut la toucher sous peine de mourir d'un arrêt cardiaque.

La première scène du livre est absolument géniale : une famille dine tranquillement pendant que la sorcière se tient immobile à côté d'eux. Afin de ne pas diner avec vue sur la sorcière, le père lui jette un torchon sur la tête. Et pour rendre le contexte moins glauque, la famille a même donné un petit surnom à la sorcière : Mamie. J'ai beaucoup ri dans ce premier chapitre qui présente la situation avec ironie tout en rendant le lecteur très mal à l'aise.

J'ai adoré l'ambiance de ce roman et cette histoire de sorcière. C'est glauque, effrayant et en même temps on s'attache aux personnages et même à la sorcière (oui oui!). Les habitants ne peuvent pas quitter Black Spring plus de deux semaines sans avoir des pensées suicidaires. Autant dire que Black Spring est une véritable cage pour les habitants qui sont condamnés à vivre et mourir là. C'est une ville étouffante et on comprend parfaitement l'agacement des adolescents face à l'autorité de la ville qui ne fait rien pour que cette malédiction cesse.

Si le thème principal du roman est la sorcière et sa malédiction, l'histoire de Hex est aussi avant tout une histoire d'amour familial entre un père et son fils. On s'attache beaucoup à la famille de Steve que l'on va suivre durant tout le roman. Ils apparaissent comme les personnages les plus sensés de Black Spring. Les autres personnages étant assez antipathiques et caricaturaux.

L'histoire gagne en puissance au fur et à mesure que les chapitres défilent pour nous amener à un final en apothéose. J'ai adoré la fin, à la fois belle et affreuse. Pour ma part je la trouve parfaite !

En bref : Lecture parfaite pour Halloween (même si je n'ai pas réussi à me retenir pour la lire haha), Hex ravira les fans de romans d'épouvante à la Stephen King par son atmosphère lugubre et ses personnages prenants et attachants. Vraiment une HEXcellente lecture (désolée je me sentais obligée de la faire)! Un joli coup de coeur !
Lien : https://repairedeslivres.wor..
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Il s'agit d'un roman qui nous raconte l'histoire d'un village hanté par une sorcière, l'originalité étant que cela se passe à l'époque actuelle. Les habitants d'une petite ville à proximité de New-York, Black Spring, se sont habitués aux apparitions quotidiennes d'une vieille sorcière, Katherine van Wyler, qui malgré son apparence effrayante, elle a les yeux et la bouche cousus, semble inoffensive tant que l'on respecte certaines règles, ne pas la toucher et ne pas l'écouter. Tout une organisation s'est mise en place autour d'elle, avec par exemple une application pour notifier les apparitions de la sorcière et sa localisation. On suit plusieurs habitants de la ville, notamment une famille, dont les enfants vont dérégler l'équilibre précaire dans lequel se trouvait la ville.

J'ai bien aimé, un bon roman horrifique qui prend son temps pour basculer dans l'horreur. J'ai particulièrement apprécié suivre une histoire de ce style ancrée dans le monde contemporain, ce que j'ai trouvé original (notamment avec la question comment pourrait-on utiliser la technologie dans une ville hantée).
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Dans une petite bourgade nommée, Black Spring, une sorcière, bouche et yeux cousus se balade, ce qui habite cette ville et voit Katherine ne peuvent plus en sortir sous peine d'envie de suicide, l'histoire était glauque, mais de quoi se faire des frayeurs une fois les lumières éteintes.

Tout d'abord, le livre est très long à démarrer. La sorcière ne fait que de se balader sans ne rien faire la plupart du temps sauf si on la provoque (un peu comme un être humain sauf qu'elle a des pouvoirs en plus.) . Les personnages sont stupides et ennuyeux et se font à celle-ci en gardant leur petit secret au monde entier. Ils préviennent de la présence de celle-ci via l'application Hex. On a malgré cela les jeunes qui sortent du lot parce que jeunesse oblige, ils veulent trouver une solution pour sortir de cet endroit pour vivre ailleurs et pour cela protocole oblige (personne ne doit provoquer ou faire quelques expériences que ce soit.) ils vont le faire en secret malheureusement comme dans souvent dans le groupe se cache un mouton noir, violent, obsédé qui va toucher et humilier Katherine (cela m'a surprise qu'on puisse aussi facilement faire quoi que ce soit à un fantôme.) et chacun va en subir les conséquences ...

Une petite morale de l'auteur pour la fin, il écrit :"nous n'apprendrons décidément jamais" sous-entendus les êtres humains de Black Spring sont fautifs de ce qui est arrivé (dans le passé) et arrive (dans le présent) parce que comme disait Winston Churchill : "Un peuple qui oublie son passé se condamne à le revivre". Quant à l'épilogue je n'ai pas été surprise, mais certaines questions demeurent, une suite serait elle prévue ?
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