Les écureuils de Central Park sont tristes le lundi

Dans la trilogie Pancol on dévore "Les yeux jaunes des crocodiles", on se laisse prendre doucement dans "La valse lente des tortues" et on regrette de ne pas avoir fait l'écureuil en économisant l'argent du dernier tome !

A moins d'apprécier le personnage d'Hortense (gamine capricieuse, futile, hautaine,...) et de Gary, ce dernier volet est à éviter. Pour ma part ces deux personnes m'agaçaient prodigieusement.

Les Muchachas qui ont suivi ont été une belle déception aussi (avec une suite qui n'en est pas).

Bref c'est très commercial comme démarche !

Dernier tome des aventures de Joséphine, et malgré une trilogie chaque tome est différent.

Dans ce dernier épisode Joséphine n'est plus au centre de l'histoire. Nous l'avions connu apeurée dans les yeux jaunes des crocodiles, plus téméraire dans la valse lente des tortues, ici nous la retrouvons recroquevillée sur elle-même, comme repartie à zéro dans son travail sur elle même. Cette dernière partie de la trilogie va nous permettre de suivre son introspection finale, son questionnement intérieur pour lui permettre enfin de prendre en main les rênes de sa vie. Mais comme je l'ai dit, elle ne sera pas au centre du roman, car nous allons suivre de plus près les autres protagonistes de l'histoire et assister à leur métamorphose. Chacun va vivre des aventures, bonnes ou mauvaises, et se questionner sur sa vie et ses choix. Même Hortense si sûre d'elle n'échappera pas à cette simple mais inévitable question : "suis-je vraiment heureuse dans ma vie?"
Tantôt posant un regarde tendre sur les amours de Zoé, la minute d'après nous verra courroucé face à une Henriette plus vil que jamais.

Ces personnages que nous avons vu grandir et appris à aimer vont lentement construire leur vie rêvée, et nous serons heureux de les quitter en les sachant prêt à enfin savourer un bonheur bien mérité.

K.Pancol nous a livré ici une trilogie qui sonne juste, chacun pouvant se retrouver dans les questionnements des protagonistes. Il est facile de se plonger et de s'attacher à ces histoires de vie tant le travail d'écriture et la richesse des personnages ont été soignés.

C'est avec une certaine appréhension que je me suis plongée dans ce troisième et dernier (??) volet des aventures de Joséphine et ses filles, au vu des critiques plutôt négatives que j'avais pu lire à son sujet, mais ayant lu les deux premiers, je ne pouvais pas ne pas le lire.
Et bien je dois dire que, malgré quelques longueurs notamment les passages concernant l'histoire de Petit Jeune Homme que j'ai trouvés un peu ennuyeux, j'ai pris du plaisir à lire ce roman.
Il faut dire que les personnages sont très travaillés, personnalité, physique, vocabulaire, tout y est pour vous donner l'impression de les connaître vraiment. On se retrouve forcément dans l'un d'entre eux.
Bref, une agréable lecture estivale!!!

Dans ce livre on se perd facilement de Paris à Londres en passant par Édimbourg et New York, on a plusieurs points de vues, Joséphine Cortès une veuve qui passse le plus honorifique des diplômes de France, elle travaille principalement sur le XIIème siècle, elle a un eu un grand succès littéraire qu'elle va essayer de retrouver grâce à un petit cahier trouver sur la vie de Carry Grant dans une poubelle.
Son amie Shirley Ward fille cachée de la reine en couple caché avec Oliver qui se trouvera être le professeur de piano de son fils, elle vit pour son fils Gary même si elle lui a caché l'existence de son père Écossais Duncan McCallum.
En gros, Joséphine a ses difficultés avec sa vie et ses enfants.
Son amie Josiane mère d'un enfant surdoué Junior qui a un petit crush pour Hortense en couple avec Marcel ex de la mère de Joséphine Henriette qui en veut énormément à son ex, elle formente un complot avec l'aide d'un enfant Kevin Moreira dos Santos et de Bruno Chaval ex de sa petite-fille Hortense et qui a travaillé pour son ex.
Le mari de la soeur morte de Joséphine, Philippe avocat qui a eu des sentiments pour elle, en pleine crise économique et son fils Alexandre qui aide une sans-abri.
Enfin ses enfants, Hortense vit en colocation à Londres, elle travaille dans le monde de la mode très liée à Gary Ward qui aime bien les écureuils et Zoé qui a l'amour de la cuisine et un coup de foudre pour son Gaétan.
Le point de vue aussi de sa concierge Iphigénie qui travaille un peu chez Joséphine et qui craint qu'on la renvoie.
On passe d'un sujet à l'autre avec beaucoup d'humour ce qui rend la lecture de ce pavé aisée.

Qu'est-ce que ça se lit bien, qu'est-ce que ça se lit vite !
Je retrouve avec ce troisième tome la plume de Katherine Pancol qui est toujours aussi fluide et rapide à lire. Oui, il y a des citations un peu faciles, du déjà-vu. Et alors ? ça détend, ça ne prend pas la tête, ça fait du bien !

Je retrouve également les différents personnages et l'on suit leur vie de manière agréable. J'ai aimé revoir notamment Joséphine (même si elle m'agace parfois), Philippe, Shirley. J'ai appris aussi à en aimer certains qui m'avait déplu, notamment Junior, le bébé surdoué.
Hortense étant assurément le personnage que j'avais le plus en horreur dans les précédents romans, le fait que le roman s'ouvre sur elle était un point plus que négatif… Mais il s'est avéré que je l'ai mieux comprise dans ce volume.

Quelques défauts :
- des longueurs vers les 3/4 du livre, je dois admettre que j'ai sauté quelques lignes. Mais la fin reprend du rythme.
- plusieurs fois, je n'ai pas été d'accord avec certaines théories scientifiques, historiques, religieuses.

Reste un doux moment de lecture tout-de-même !

~ Plumes fém. 2020 : plus de 600 pages
~ Challenge Féminin 21 : titre : plus de 7 mots

Je viens enfin de terminer la trilogie de Katherine Pancol et j'ai vraiment beaucoup aimé.

Les personnages on s'y attache follement. Hortense qui m'horripilait dans les précédents tomes devient extrêmement touchante. On finit par se dire qu'elle a vraiment trouvé la clé du succès et qu'elle n'avait pas tort d'agir comme elle le faisait parce que tout simplement c'est elle, Hortense Cortès, une fille qui ne se laisse pas attendrir mais qui n'a pas mauvais fond pour autant ( ça dépend avec qui ) et sa franchise est juste délicieuse.

On s'éloigne un peu de Joséphine dans ce dernier tome, on a parfois envie de la brutaliser, on ne comprend pas bien pourquoi elle se tient éloignée de Philippe son grand amour. Est ce que dans la vraie vie des gens ne sont pas ensemble à cause de non-dits ?

Et puis malgré les passages invraisemblables comme Junior le plus que surdoué qui à trois ans parle, et étudie comme un forcené ( va jusqu'à rentrer dans la tête des gens à distance, oui là c'est trop bien sûr ), ce livre vous fait prendre de la hauteur parce qu'il vous fait voir les choses différemment. On se dit qu'on a trop tendance à croire des choses sur les autres, on affabule et plus on reste dans son coin sans se parler ou si peu et plus on invente des énormités.

On réalise avec Hortense qu'il suffit parfois d'y croire pour réaliser de grandes choses, de mettre le négatif de côté. Il y a quelques longueurs dans le livre mais cela ne le rend pas moins agréable.

J'ai vraiment aimé lire cette trilogie. C'était pétillant et coloré comme les couvertures !

J'avais commencé cette trilogie il y a de cela quelques années, j'avais été intriguée par l'écriture mais découragée par la grosseur de l'oeuvre. J'ai repris cette lecture cet été et je reste avec le même sentiment. Je suis charmée par les personnages, ils sont parfois drôles, parfois cruels, parfois émouvants mais jamais banals. Par contre, je finis par m'ennuyer. Les descriptions sont interminables et le déroulement de l'histoire est d'une lenteur effroyable...je suis contente de l'avoir lu mais je ne pourrai le conseiller à mes jeunes lecteurs.

Parler des trois tomes, de cette saga familiale dont l'épicentre est la gentille Joséphine c'est un peu comme effleurer la marguerite.
Le premier tome "Les yeux jaunes des crocodiles" j'aime un peu et puis beaucoup, le temps que s'écoule ma lecture le long de ses presque 700 pages. le deuxième tome "La valse lente des tortues" j'aime passionnément et le troisième tome "Les écureuils de Central Park sont tristes le lundi", que j'espère être le dernier (mais avec l'imagination débordante de Katherine Pancol ne sait-on jamais...), j'aime, mais, pas du tout.
Je commence à me lasser de ces liens abracadabrants avec la reine d'Angleterre, de ces bons sentiments qui transpirent à chaque page. Et surtout, ce que je regrette, c'est que la belle Hortense qui dans les deux premiers tomes était une vraie calculatrice machiavélique soit devenue, en quelques coups de baguette magique, une fausse méchante et que son amitié d'enfance avec Gary ait virée à 90° degré en histoire d'amour.
Trop c'est trop ! Ma lecture terminée (J'essaye toujours de terminer un livre commencé et, pire, je ne peux m'empêcher de lire tous les tomes d'une saga entreprise), j'ai, malgré moi, poussé un petit "ouf" de soulagement !

Je n'ai malheureusement pas été portée par l'histoire. C'est un peu dommage car le titre et le résumé du livre avait pourtant l'air prometteur.

C est avec impatience que j ai démarré le dernier volet de la saga toute heureuse de retrouver tous les personnages auxquels je m'étais attachée. Donc tout y est , le style, les personnages, les histoires... mais malgré tout le filon est éculé... ça manque de renouvellement... et une fin qui n en est pas vraiment une pour se laisser l opportunité de faire un nouveau tome c est dommage... c'est celui que j'ai le moins aimé des trois.