Le début (5 première pages) est bien écrit. Mal édité (fautes de frappes gênantes) et le contenu est banal.
Ce livre est une colère non dégérée, non digérable à des fins non salutaires de rendre marginal une population fragile et en manque de repère.
Il n'est pas correct de mentir sur ses plus profondes inspirations, aspirations ni sur son jugement de la Terre qui ne convient pas à un style d'écriture accessible et accrocheur destiné à un public fragilisé. C'est de l'appellation à la haine.. sans se révolter. On fait quoi on se retourne dans son lit ? Ce livre n'expose aucune solution, ne construit pas de monde, excusez moi du terme, mais il ne sert à rien.
Il est foncièrement interdit de laisser plâner le doute quant à la bienveillance de l'être humain lambda et la présomption d'innocence est un concept de droit pénal qui avant tout, ne cherche pas la preuve que l'humain est coupable mais la preuve que l'humain est innocent. Et après on s'attaque aux faits. Et le droit (qui comporte quatre sources en Belgique dont la jurisprudence , je ne connais pas le droit Français) juge le fait. Pas la personne. Ainsi est fait le droit. Pas la justice. . Je pense Monsieur Peck, que vous avez été lésé par une ou plusieurs personnes dans votre vie, victime d'un harcèlement que vous avez remis sur le compte de votre couleur de peau, alors que cela n'avait rien avoir. Je trouve le racisme hors-contexte, le titre était pourtant bien choisi pour parler d'harcèlement.
Vous vous êtes perdu.
Ca arrive. Mais n'accusez pas l'Etat à tort et à travers, vous parlez de la France comme en parle l'extrême droite, comme une seule et même personne.
Je crois cerner que vous prônez la diversité pourquoi avez-vous placé la France (personnifiée) comme votre agresseur?
Je ne vous connais pas bien, même après ce livre piètrement lu.
Etait-ce le but caché ?
Bien à vous,
Respectueusement,
Arrassa Khadjene
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Je suis fatigué d'éduquer, d'être patient, de faire bonne mine contre mauvaise fortune, alors que je suis confronté à un racisme dégradant (conscient ou inconscient). Je suis fatigué d'être pédagogue ; je suis fatigué de retenir ma réponse brutale, alors qu'une apostrophe censée être drôle vient d'être émise, énième micro-agression déguisé me sous une "bonne foi" infantile. Je ne veux plus gérer l'inconfort de la stupidité d'un moment. (24)
Face au cynisme ambiant, personne ne risque plus vraiment sa vie pour une cause, à part quelques anarchistes d'une autre époque.
La démocratie, c'est la paix en Europe mais la guerre ailleurs. Confortablement installés dans un arrondissement sécurisé, nettoyé quotidiennement par des éboueurs " étrangers " , alors que le reste du monde gémit. Ignorez-vous vraiment le prix de votre bien-être ? Ou faites-vous semblant ?
Les politiques zombifiés, soumis aux puissants, ne sont plus que des mini-capitaines essayant de rassurer les bonnes gens des première et deuxième classes sur le Titanic quant au fait qu'ils maîtrisent bien la troisième classe et qu'il n'y aura pas d'émeutes - promis - pendant que le bateau s'enfonce de plus en plus vite dans la mer froide.
Le racisme ? Juste une partie de la topographie. Car tout est connecté. La recherche de superprofits qui écrasent forcément un autre ailleurs, la destruction de la planète, l'exploitation des plus faibles, la haine de l'autre, la consommation à outrance, quel qu'en soit le prix (encore une fois payé par d'autres), tout cela, comme le miroir est brisé, rend négligent et indifférent.
" Jusqu'ici tout va bien", vous dites-vous, alors que le monde dévale étage après étage vers le fond.
Ne vous méprenez pas, il ne s'agit ni d'une mise en discussion, ni d'une tribune, ni de l'ouverture d'un forum quelconque. Je n'ai aucun dialogue à amorcer. Le temps pour cela est passé. Je ne suis plus disponible. Arrêtez une bonne fois de demander aux victimes de résoudre vos problèmes. (23)
À une poignée de semaines du premier tour de l'élection présidentielle, la campagne se fait encore attendre. Peut-être d'ailleurs n'aura-t-elle pas lieu ? Et si les campagnes à l'ancienne, c'était le passé ? En attendant, les monstres s'ébrouent sur nos écrans. Mener la contre-offensive n'est pas aisé, c'est pourtant nécessaire. Écoutons Serge Klarsfeld ou bien l'historien Laurent Joly, entendons le cinéaste Raoul Peck. Tous trois, à leur manière, nous arment face aux vendeurs et vendeuses de néant.
Sur un tout autre registre, restons en alerte face aux appétits voraces des Gafam. La question des droits voisins, bien que peu traitée par les médias, est avant tout une question de démocratie.
Enfin, puisqu'au bout de ces quelques semaines, il y aura malgré tout un vote, « À l'air libre » poursuit ses débats thématiques. Cette semaine, comment améliorer le pouvoir d'achat – plutôt pouvoir de vivre – des Françaises et des Français.
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