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EAN : 9782207159064
196 pages
Denoël (13/04/2022)
3.57/5   91 notes
Résumé :
César et Alexandre, deux losers magnifiques, et le clébard sans nom qui leur colle au train, sur la piste d'un accident maquillé en meurtre maquillé en suicide (pas forcément dans cet ordre). Une virée funky entre Twin Peaks et Bukowski dans une Amérique périurbaine préapocalyptique sous l'oeil impavide et miséricordieux du dieu Elvis...
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Critiques, Analyses et Avis (25) Voir plus Ajouter une critique
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Nicolas Pegon a choisi comme titre de sa BD, celui d'une chanson du King, Elvis Presley, à savoir Hound Dog de 1956. D'ailleurs l'album s'ouvre sur les paroles du magnifique refrain :
You ain't nothin' but a hound dog
Cryin' all the time
Well, you ain't never caught a rabbit
And you ain't no friend of mine
avec sa traduction :
T'es rien qu'un chien de chasse
Toujours à chialer
T'as jamais chopé de lapin
Et t'es pas mon pote.
Ce polar social va ainsi se dérouler avec l'apparition récurrente d'Elvis devenu pour le coup un dieu pour Alex, l'un des deux compères, ce dernier le voyant apparaître dans ses rêves et de belles planches lui sont consacrées. Une sorte de fil rouge qui se termine avec une question d'Elvis…
Si les premières pages paraissent n'avoir aucun lien entre elles, certains des éléments vont ensuite réapparaître au fil de la BD.
Tout démarre vraiment avec le réveil de César, un matin, avec auprès de son lit un chien venu de nulle part, un chien quelconque, pataud, pour qui il aura cette réflexion « Dire que ce truc descend du loup… ». Ce chômeur hypocondriaque vit en colocation avec un gars accro aux jeux vidéo qui, bien évidemment ne sait comment le chien est arrivé là, tout occupé qu'il est à cramer tout un village. César n'aura de cesse de retrouver le propriétaire du chien et c'est avec Alex, tout aussi paumé que lui qu'ils partent mener l'enquête dans cette petite ville américaine de Saint-Louis. Ils finissent par le trouver mais il est mort, dans des circonstances non élucidées. Voilà donc nos deux compères, qui jusque-là trompaient leur solitude en se retrouvant parfois autour d'une bière, chacun dans son monde bien à lui, prêts à jouer les détectives.
Accident, meurtre ou suicide ? La découverte de la vérité sera au-delà de toute supposition, mais le prix à payer pour cette résolution s'avère très lourd… trop lourd…
Mais plus que l'intrigue elle-même, c'est l'ambiance, glauque et sombre à souhait, la présence outre nos deux losers, de personnages tout aussi improbables et décalés, à la vie tout aussi terne et sans relief qui caractérisent ce roman graphique, portrait d'une Amérique désenchantée et assez désespérée.
Difficile cependant de ne pas s'attacher à ce personnage de César qu'on devine fragilisé, lorsqu'on le voit errer, pour des douleurs au bras, de généraliste en spécialistes, et vouloir coûte que coûte trouver quelqu'un pour s'occuper du chien, ne voulant en aucun cas l'abandonner. Il va ainsi en dernier recours se rendre à la SPA et l'accueil et les quelques pages consacrées à cette visite sont à la fois absolument hilarantes et effrayantes de vérité. En effet, l'association n'ayant plus de place, la très « sympathique » hôtesse d'accueil finira par conseiller à César « Vous pouvez toujours l'abandonner sur le bord de la route, c'est ce que les gens font en général »…
J'ai beaucoup aimé la maîtrise graphique de Nicolas Pegon dans la représentation des personnages, leurs traits de caractère soulignés par le noir, bien exprimés sur leurs visages. Quant aux couleurs ocre et brun alternant avec les gris et bleu, elles parviennent à merveille à peindre cette Amérique peu réjouissante que l'auteur a voulu rendre perceptible dans Hound Dog.
Je remercie sincèrement Lecteurs.com et les éditions Denoël Graphic pour cette belle découverte !

Lien : https://notre-jardin-des-liv..
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Après une nuit bien arrosée, César en plein rêve de son dieu Elvis, se réveille interloqué, un chien bedonnant et flasque lui renifle les pieds.
A qui est le clébard, that is the question ?
" Quand on pense que ce truc descend du loup !"
Avec Alex, son pote de galère, ils vont mener leur petite enquête.
Ils ont comme point de départ, la certitude que ce clebs doit appartenir à un gros con...
A l'instar du Big Lebowsy des frères Coen, Hound dog de Nicolas Pegon
nous immerge dans une Amérique périurbaine avec deux losers magnifiques. Cette BD bien allumée swing comme Hound dog la chanson d'Elvis Presley et se lit comme un polar. Son scénario à la Twin Peaks et son graphisme m'ont bien emballé. Hound dog, ça a du chien, je recommande !
Je remercie Babelio, Masse critique et les édtions Denoël graphic pour la découverte.
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Un homme est mort de façon suspecte. Cesar et Alexandre, deux chômeurs, mènent leur propre enquête en parallèle avec la police. La bande dessinée commence de façon étrange, une réunion dans une agence publicitaire pour la campagne d'une marque de whisky, avant que l'histoire ne commence véritablement.

Le dessin est en trait épais, réguliers, avec des aplats de couleurs intenses, de grandes surfaces de couleurs lourdes et saturées, un style réaliste, péremptoire, pas de détails inutiles, à la façon de Brüno (Tyler Cross). Ce style s'accorde parfaitement au récit, j'aime beaucoup.

Très inspiré du cinéma des Frères Coen, c'est un polar pas du tout innocent, un polar qui est avant tout une critique de la société, décrivant une Amérique profonde, sombre et désoeuvrée. Cesar et Alexandre, sont deux symboles de cette Amérique pathétique et décadente, un hypocondriaque, un mystique, “des survivants”, comme ceux que la publicité veut leur faire croire. L'auteur joue sur les symboles de cette culture, la consommation, la religion, le showbiz, les apparences, les façades cachant un grand vide culturel. Dieu apparaît dans leur rêves sous l'apparence d'Elvis Presley, logique, ce sont les nouvelles icônes de cette nouvelle culture où règne l'hypocrisie du consumérisme.

Hound Dog est une bande dessinée imposante par son style et sa grande force, subtile dans sa narration, pleine de détails à traduire, de second degré à dépouiller, et critique et génialement cynique dans le fond. Un coup de maître pour un auteur qui n'a pas encore un CV immense, mais qu'il faudra suivre avec une grande attention.
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Après Nicolas Dehghani et son « Ceux qui brûlent » sorti l'an passé, son camarade des Gobelins et cofondateur du collectif CRCR, Nicolas Pegon, s'attaque lui aussi au polar urbain dans un ouvrage a priori déroutant mais carrément jubilatoire paru ce printemps aux Éditions Denoël Graphic.

C'EST L'HISTOIRE D'UN MEC …

Les premières séquences s'enchaînent en apparence sans lien entre elles : on assiste ainsi au brainstorming d'une agence de pub pour le relooking d'une bouteille de whisky, à un show d'Elvis période las Vegas et au réveil du héros de l'histoire : César. Malgré son prénom impérial, celui est un laissé pour compte du rêve américain. Chômeur, dans la cinquantaine, célibataire, il vit en coloc avec un jeune accro aux jeux vidéo et à la réalité virtuelle. Ce dernier s'abrutit en « dézinguant » des viets, César lui ne peut que constater sa décrépitude physique : il perd ses cheveux, prend du bide et ressent des douleurs inexpliquées au bras qui l'empêchent de le bouger. Pour oublier, il s'étourdit de bières, d'antalgiques et de somnifères. Erre de médecin en médecin aussi. Bref, il existe mais ne vit pas.

MON CHIEN STUPIDE

Le grain de sable dans ce quotidien plutôt désespérant, va être l'arrivée imprévue d'un « hound dog » (chien de chasse) venu d'on ne sait où qui va suivre César comme son ombre. Il faut dire qu'ils sont plutôt bien assortis : le premier est quasi mutique, le second n'aboie presque pas et est tout aussi mal proportionné et bedonnant que son nouveau maître… Alexandre (tiens, tiens, un autre prénom prestigieux), le voisin, va se joindre à son ami pour essayer de retrouver le propriétaire du chien. Lui, il a des visions : Dieu lui parle et prend l'apparence du King. Et il a visiblement raté sa vocation ou regardé trop de séries policières car il s'improvise enquêteur pour le meilleur … mais surtout pour le pire !
C'est donc une histoire âpre et désenchantée à la John Fante. Les personnages sont souvent en plans rapprochés et cadrés en plongée. Comme écrasés. On ne voit quasiment jamais le ciel dans les vignettes. le graphisme souligne à l'encan la désespérance ambiante : malgré les aplats de couleur, le noir domine ; les teintes sont crues et les traits taillés à la serpe à la manière d'un Brüno dans « Tyler Cross » ou « L'homme qui tua Chrys Kyle ». D'ailleurs, comme dans ce dernier ouvrage, la mythologie américaine est mise à mal : ici pas de glamour mais une description au scalpel des petites gens victimes de la malbouffe, de la pollution et de l'omniprésence de la société de consommation, des armes et de la publicité. On retrouve d'ailleurs des attributs iconiques américains (dinners, stations-services vintage, gratte-ciels, maisons en bois, forêts, panneaux publicitaires et même les couleurs du Mac do en couverture …) mais, à y bien y regarder, ces lieux jamais nommés sont universels et certains plans dans lesquels apparaissent des barres d'immeubles font penser aussi aux banlieues françaises … la déprime aussi est mondialisée !

DU COTE DES FRERES COEN

Pourtant, on rit beaucoup en lisant cet album. « Houndog », c'est, en effet, également le titre d'une des chansons les plus emblématiques et rythmées du rock des années 60 immortalisée par le King et sa sémillante chorégraphie. le refrain est placé en citation inaugurale et on a ainsi dès l'exergue un « tube » au tempo joyeux qui nous trotte dans la tête. Ensuite parce que Pegon, rompu à l'animation, adopte un découpage varié, trépidant, surprenant parfois, et très cinématographique en jouant du gaufrier avec maestria.
Ensuite parce, dès que l'ambiance est un peu trop glauque, survient une scène plus légère - telles celles des rêves dans lesquels apparait Elvis- qui rappellent les séquences oniriques de « The Big Lebowski » ou celles du chien. Enfin, parce que l'auteur met en scène toute une galerie de personnages déjantés (mention spéciale à la voisine survivaliste bodybuildée !) qu'on croirait sortis de « Fargo ». le duo principal donne lieu à de savoureux échanges comme, par exemple, lorsqu'après avoir entendu une énième version du rêve d'Alexandre dans lequel Elvis lui demande d'être un nouveau Noé, César demande à son ami « il t'a pas demandé de construire un bateau ? » et que ce dernier rétorque « Bah, si, mais bon j'ai déjà du mal avec une étagère Ikea … ». Enfin, l'on goûte aussi bien sûr à la résolution progressive de « l'énigme » qui permet de comprendre à postériori l'hétérogénéité des séquences inaugurales et invite d'emblée à une savoureuse relecture …

« Houndog » est donc une excellente surprise : un album totalement maîtrisé tant sur le fond que sur la forme, moins polar que drame social, jamais larmoyant, divertissant et plus profond qu'il n'y paraît par son jeu sur la sémiotique et les stéréotypes ! A consommer sans modération car à la différence du whisky « Pale Horse » il ne vous vaudra pas de gueule de bois mais une bonne dose de rire (jaune !)
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Je tiens à remercier Babelio pour son opération Masse critique et les éditions Denoël graphic pour cette découverte.

Un matin, César, américain moyen hypocondriaque et un paumé, découvre un chien au pied de son lit. L'animal le regarde, battant sa queue pour montrer sa satisfaction. Seulement voilà, César n'a pas de chien.
Que fait ce chien dans sa chambre ? À qui est-il ? Et surtout son propriétaire est-il mort de mort naturelle ?
En compagnie d'Alexandre, tout aussi paumé mais dans un autre genre, il va essayer de résoudre ce mystère, mais surtout de se débarrasser du cabot.
Moins poétique qu'un Bukowski pur jus mais tout aussi glauque, Hound Dog plonge le lecteur dans cette autre Amérique, toujours nostalgique du King, où le chrome des Cadillac a terni, et où la misère a remplacé la magie.
Polar burlesque, fresque social déprimante, histoire d'anti héros ? L'album repose entièrement sur la grande maîtrise graphique et narrative de Nicolas Pegon. On appréciera plusieurs cases que n'auraient pas renié un Big Lebowski à son meilleur. le lecteur portera également son attention à trouver le fil conducteur de chacune des séquences qui composent le récit (la première par exemple étant la bouteille de whisky)
Un album à contempler plus qu'à lire.
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critiques presse (7)
Bibliobs
30 janvier 2023
Dans « The Big Lebowski », « le Duc » et son pote Walter étaient à la recherche de leur tapis. Dans « Hound dog », qui emprunte à l’ambiance du film des frères Coen, César et Alexandre sont à la recherche du propriétaire d’un chien arrivé dans le salon du premier comme par enchantement.
Lire la critique sur le site : Bibliobs
LaTribuneDeGeneve
18 août 2022
Le Français imagine une enquête par des personnages en perdition dans «Hound Dog».
Lire la critique sur le site : LaTribuneDeGeneve
Sceneario
18 juillet 2022
Une écriture assez sobre et elliptique, mais qui vise assez juste. On ne s'attache pas forcément aux deux héros, mais on peut être touché par cette ambiance ou l'on devine, quelque part, la lente musique d'Angelo Badalamenti qui nous hypnotise !
Lire la critique sur le site : Sceneario
Telerama
16 mai 2022
Une histoire dense, marquante, pétrie d’étrangeté et d’un humour (très) noir, dans la droite ligne des auteurs que ce trentenaire révère : Derf Backderf, Charles Burns et Mezzo. À suivre de près !
Lire la critique sur le site : Telerama
BDGest
10 mai 2022
Hypnotique, intriguant, mais surtout diablement efficace ce Hound Dog permet de découvrir le talent de Nicolas Pegon. Avec un tel univers et une telle aisance dans la narration, nul doute que cet artiste n'a pas fini de surprendre.
Lire la critique sur le site : BDGest
LesInrocks
17 avril 2022
Nicolas Pegon signe un drôle de polar dans une Amérique déprimée où s’invite un étrange chien abandonné.
Lire la critique sur le site : LesInrocks
LigneClaire
17 avril 2022
Erreur, suspense bien tendu, écriture soignée et cadrage efficace. Un premier album fort, étonnant et dans lequel on plonge pour une longue apnée de qualité. Chaude ambiance garantie.
Lire la critique sur le site : LigneClaire
Citations et extraits (7) Voir plus Ajouter une citation
Comment tu reconnais un vrai connard ? Il aime les chiens.
Pas foutu de s’entendre avec le reste de l’humanité, le connard se persuade que c’est quand même un type bien parce qu’il adore les chiens.
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- Ça vous arrive de vous lever le matin, ébloui par une lumière blanche ?
Le corps qui se met en marche, la cervelle enflée qui pèse sur vos globes oculaires.
- Heu, oui, comme tout le monde.
- La mâchoire lourde qui baigne dans une flaque de bave.
Juste fatigué de ne rien faire.
Ne vous êtes-vous jamais dit…
Pourquoi suis-je absent pour goûter le sommeil et bien conscient des maux de l’éveil ?
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C’est quoi l’intérêt d’acheter un clebs si c’est pour l’attacher là toute la journée et casser les couilles à tout le monde ?
Commenter  J’apprécie          302
Il y a un scientifique japonais qui a réussi a faire un steak haché avec des excréments humains. Ça reste beaucoup trop cher à fabriquer, j'te rassure. Enfin, apparemment c'est sans risque. Avec tout les bons nutriments et tout. Va pas me dire que l'homme n'est pas carnivore. Tous ces efforts pour transformer sa merde en viande. C'est qu'on doit vraiment aimer ça.
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Dire que ce truc descend du loup…
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Video de Nicolas Pegon (1) Voir plusAjouter une vidéo
Vidéo de Nicolas Pegon
Il y a César et Alexandre, deux paumés de première classe, l'un obsédé par son corps qui se détraque, l'autre hanté par les apparitions du spectre d'Elvis. Il y a ce chien sans nom, pénible, assez immonde, qui leur colle au train. D'où sort-il ? Que veut-il ? Ce n'est pas clair. Pour tenter de s'en débarrasser, les deux losers se lancent à la recherche de son propriétaire. Dans une Amérique crépusculaire, périurbaine et préapocalyptique, entre Twin Peaks et Bukowski, leur quête les mène à une impasse : le maître du chien se serait pendu en mettant le feu à sa maison. Meurtre, suicide ou accident ? Les clebs aboient et la caravane cale. Mais les tragédies, comme les emmerdes, volent en escadrille. Il va encore y avoir mort d'homme. Les armes parlent et le dieu Elvis continue à chanter : « T'es rien qu'un chien de chasse/ Toujours à chialer/ T'as jamais chopé de lapin/ Et t'es pas mon copain » (Hound Dog, 1956).

Pour son entrée dans le grand bain de la BD, Nicolas Pegon – qui a publié en 2019 Les Os creux, la tête pleine à l'enseigne Réalistes, créée par Ugo Bienvenu — réussit un récit comme peu d'auteurs français sont capables d'en produire, précis, personnel, inattendu et jamais démonstratif. Ses teintes de fin du monde et son humour impavide contribuent à donner à cette tragicomédie le poids et l'épaisseur d'un blues lent et irrésistible comme un glissement de terrain. Rien de surprenant à cela, quand on sait que cette musique est au coeur de ses préoccupations comme en atteste One After the Other, docu-fiction en animation sur le bluesman américain Grant Sabin qu'il a écrit et réalisé chez Miyu Productions.

Nicolas Pegon s'est formé au graphisme à Estienne, puis au cinéma d'animation aux Gobelins. Il est réalisateur de courts-métrages, de clips et de publicités au sein du collectif CRCR. La bande dessinée est son jardin de moins en moins secret.
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