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3,69

sur 2927 notes

Critiques filtrées sur 2 étoiles  
Mon erreur aura été de lire ce livre après m'être délectée avec la saga Malaussène. Ces ouvrages ne sont en rien comparables, et Chagrin d'école m'a paru bien plat après la découverte de l'envolée lyrique de Daniel Pennac dans ces précédents romans... Un peu déçue donc...
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Je me suis vraiment accrochée en attendant un déclic qui n'est malheureusement jamais venu ... Je n'ai pas trouvé beaucoup d'intérêts à ce livre et pourtant j'aime beaucoup Daniel Pennac.

Soit disant c'est un livre sur les cancres en partant du vécu de l'auteur mais je n'y ai trouvé que très peu de réflexions sur ce sujet. C'est certainement un livre qui s'adresse plus aux profs qui pourront y trouver des thèmes qui leurs parlent. Il y a beaucoup d'anecdotes sur son expérience en tant que professeur mais pour moi ce n'était pas le sujet (du moins pas celui vendu par la 4ème de couverture)...

Bref je l'ai fini mais j'avoue que je l'ai beaucoup lu en diagonale. J'ai ressenti pas mal d'ennui à la lecture de ce livre qui est une succession de chapitres très courts qui n'ont pas forcément de lien conducteur entre eux...

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Mon édition de Chagrin d'école ne comportant pas de texte sur la 4ème de couverture et ne m'étant pas renseignée plus avant sur ce récit, je pensais entamer un roman relatant l'enfance d'un cancre, ses mésaventures sur les bancs de l'école, une histoire dans laquelle j'espérais entrer et me laisser emporter. Au lieu de quoi, j'ai en réalité eu entre les mains un essai autobiographique sur l'école, ses dysfonctionnements en tant qu'institution, les vécus et ressentis des élèves (en particulier les cancres), leur place à l'école et dans la société, le rôle des professeurs… un essai à la thématique intéressante, mais que j'ai trouvé long, ennuyeux ; le propos tourne en rond et le texte aurait pu aisément être raccourci d'une centaine de pages. Certains passages sont intéressants pourtant, en particulier dans les deux dernières parties. Mais arrivée à ce stade, j'étais tellement lassée que je n'ai pas su leur accorder l'attention méritée… J'en ressors avec une frustration de n'avoir pas réussi à entrer dans ce texte. Frustrée aussi de n'avoir su apprécier ce premier livre du pourtant si célèbre Daniel Pennac. Afin de me faire un avis plus complet, et comme cela m'a été recommandé, je me laisserai sûrement tenter par la saga Malaussène ! Merci à mes comparses de lecture commune pour nos échanges.
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Quelle perte de temps ce livre sincèrement...
Je n'ai pas adhéré à l'histoire... Ça part dans tous les sens puis l'histoire mon dieu qu'elle est ennuyante à lire j'ai l'impression de tourner en boucle !
C'est dommage car c'était un livre offert par mon arrière cousine...
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Voici un livre intéressant sur le principe, que je m'attendais à aimer parce que Daniel Pennac, c'est les Droits du lecteur (et La fée carabine) et que j'ai lu sans plaisir.
L'auteur s'est-il perdu en voulant faire un livre sérieux ou est-ce moi qui ai un vécu scolaire trop différent ? Est-ce le côté essai qui bien que partant de l'autobiographie s'inscrit dans une temporalité précise ? J'ai bizarrement trouvé ce livre... daté, désuet. Un peu bavard pour rien même si tout n'est pas mauvais.
En fait, Daniel Pennac a réussi à me mettre dans la situation du prof qui écrit un bulletin de notes avec des appréciations guère satisfaisantes bien plus qu'à me faire ressentir de l'empathie pour le cancre !
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J'aime beaucoup le Pennac-clown, auteur de la série Malaussène. Quand il tombe ce costume pour celui de professeur, je le trouve bien trop sérieux. Il devient en plus un brin suffisant et donneur de leçon, l'abnégation toujours à la pointe du crayon genre Robin des Bois de l'éducation. « les profs, ils me prennent la tête » dixit Maximilien. Moi aussi parfois.

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Livre intéressant mais un peu décousu : les chapitres s'enchaînent sans logique apparente.
Pennac revient à la fois sur sa pratique de prof et sur ses années d'élève-cancre : comment le fait d'être un cancre a influé sur sa pédagogie et sur sa façon d'appréhender la relation avec ces élèves en échec scolaire, de chercher les clés pour les « déverrouiller » et leur faire aimer l'école.
Une succession d'exemples, d'anecdotes et de flashbacks… un portrait à multiples facettes du cancre.
Quelques réflexions intéressantes mais pas de « magie » à la lecture de ce roman-essai : je préfère la fantaisie des autres romans de Pennac.
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Très déçue !
Déjà le titre : "Chagrin" sans "s". A l'école, il me semble que chacun connait bien des malheurs et donc, on a tous vécu des chagrins.
J'ai lu un amalgame de vécu mais qui m'ont laissé indifférente tellement c'est banal. Une écriture parlée, une espèce de dialogue avec le lecteur sauf que le lecteur ne peut pas en placer une. Je m'attendais effectivement à un témoignage mais je reste sur ma faim. de plus, rien n'est croustillant même les mots sont basiques.
Lirais-je un autre Pennac?
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Daniel Pennac met le lecteur dans la peau des cancres et explique ainsi les parcours et les ressentis des élèves qui ont des difficultés à l'école. L'auteur se prend lui-même en exemple puisqu'il n'était pas un bon élève du tout. L'idée est intéressante mais je n'ai pas vraiment réussi à accrocher au livre. Je l'ai trouvé trop décousu et répétitif. de plus, l'auteur reste trop superficiel dans ses analyses.
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Il faudrait inventer un temps particulier pour l'apprentissage. le présent d'incarnation par exemple. Je suis ici, dans cette classe, et je comprends enfin ! Ca y est ! Mon cerveau diffuse dans mon corps, ça s'incarne.
Quand ce n'est pas le cas, quand je n'y comprends rien, je me délite sur place, je me désintègre dans ce temps qui ne passe pas, je tombe en poussière et le moindre souffle m'éparpille.
Seulement, pour que la connaissance ait une chance de s'incarner dans le présent d'un cours, il faut cesser d'y brandir le passé comme une honte et le futur comme un châtiment.
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