- Ah ! Raymondin, c'est pour mon malheur que je t'ai rencontré, c'est pour mon malheur que j'ai aimé ta grâce, ta beauté et tes manières courtoises, puisque tu m'as si indignement trahie ! Bien que tu aies manqué à ta promesse en cherchant à me voir un samedi, je t'avais pardonné, puisque tu ne l'avais révélé à personne, et Dieu te l'avais pardonné aussi. Hélas, mon ami, maintenant, notre amour est changé en haine, nos joies en larmes et en pleurs.