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Amos Daragon tome 1 sur 12
EAN : 9782266149341
190 pages
Pocket Jeunesse (05/03/2008)
3.95/5   236 notes
Résumé :
Amos Daragon, un brillant garçon de douze ans, devient malgré lui le premier élu de la nouvelle génération des porteurs de masques. Grâce à ses pouvoirs sur les éléments et aidé de Béorf Bromanson, un jeune béorite capable de se transformer en euros, Amos parcourt les contrées étranges peuplées de créatures légendaires, à la recherche des masques de pouvoir.Amateurs d'aventure, de magie et de mythologie, plongez sans attendre dans l'univers fantastique de ce héros u... >Voir plus
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Critiques, Analyses et Avis (50) Voir plus Ajouter une critique
3,95

sur 236 notes

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Zollin a ajouté 9 livres

laurebouquine a ajouté à ses livres
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Olga et le Machin qui pue
AstridGridelwald666 a ajouté une critique
Olga et le Machin qui pue de Elise Gravel

Olga est vraiment drôle daprès moi. le machin qui pu s'apelle Bof car il le dis tout le temps. Olga vent devenir Zoologiste plus tard. Je suis d'accord avec elle les humais m'énerve un peu d'éfois. Olga ma fais changer d'avis il faut agir maitenat
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Les aventures de Tintin, tome 20 : Tintin a..
Une nouvelle critique sur un de vos livres par hOUMUS
Les aventures de Tintin, tome 20 : Tintin au Tibet de Hergé

Ce n'est pas l'histoire en elle même que j'aime, à chaque fois que je relis cet album (souvent les histoires d'Hergé sont tirées par les cheveux et difficilement crédibles), mais tous les détails, les gags, les petites histoires inclues. Un Tibet mystérieux, dépaysant, documenté. Beaucoup de personnes ont du êtres sollicitées mais Hergé seul à signer. Dommage.
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AstridGridelwald666 a ajouté à ses livres à lire
Olga: Par-Dessus la Tete! par Gravel
Olga: Par-Dessus la Tete! de Elise Gravel
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AstridGridelwald666 a ajouté à ses livres en cours
Olga, on déménage par Gravel
Olga, on déménage de Elise Gravel
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Une nouvelle citation sur un de vos livres par leslecturesdetiph
Le Petit Prince de Antoine de Saint-Exupéry

Les hommes n'ont plus le temps de rien connaître. Ils achètent des choses toutes faites chez les marchands. Mais comme il n'existe point de marchands d'amis, les hommes n'ont plus d'amis. Si tu veux un ami, apprivoise-moi !
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Antoine de Saint-Exupéry
leslecturesdetiph a ajouté une citation de Antoine de Saint-Exupéry
Tu te jugeras donc toi-même, lui répondit le roi. C'est le plus difficile. Il est bien plus difficile de se juger soi-même que de juger autrui. Si tu réussis à bien te juger, c'est que tu es un véritable sage
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Le Petit Prince
Une nouvelle critique sur un de vos livres par leslecturesdetiph
Le Petit Prince de Antoine de Saint-Exupéry

Sur l'aspect extérieur du livre, il y a un vrai travail à mettre en avant, plusieurs points esthétiques appréciables :
- la couverture du livre, vernis et douce
- les pages d'une qualité supérieure douces également au toucher avec une impression des caractères et des illustrations nette, un plaisir pour les mains et les yeux
- les diverses aquarelles de l'auteur qui sont superbement mises en avant tout au long du livre, qu'elles soient en couleur ou en noir et blanc
Le livre peut paraître cher de prime abord, mais la qualité et le rendu final rendent ce prix tout à fait justifié. C'est un travail remarquable de la part de Gallimard pour cette collection Folio. Il s'agit d'un livre dont nous pouvons être fiers en tant que lecteur de tenir dans nos mains.

Relire ce livre de façon plus adulte a été un véritable coup de coeur pour moi. Notre vision des choses change, notre perception des textes aussi. Ce roman d'Antoine de Saint-Exupéry est fort.

Il est fort puisqu'il met en évidence le fossé entre la vision des enfants et celle des adultes. La différence de perception à la lecture, s'applique aussi dans l'histoire.

Il est fort puisqu'il parle d'une rencontre, celle d'une vie, celle qui nous marque à tout jamais.

Il est fort puisqu'il dénonce les vices de l'homme, les vices vus de la part du Petit Prince, je pense à sa visite de diverses planètes, à sa rencontre avec : le roi imbu de sa personne, le vaniteux, le buveur, le businessman, ...

Il est fort puisque dans la façon de fonctionner du Petit Prince, il faut aller à l'essentiel, chaque chose, chaque objet, chaque objectif à un sens, il faut le respecter, ne pas se perdre.

Il est fort puisqu'il nous prouve qu'il faut profiter de ce qui nous entoure, qu'un rien peut représenter un tout pour quelqu'un. Qu'une chose peut être précieuse aux yeux de certains même si elle peut paraître insignifiante aux yeux des autres.

Il est fort puisque l'imagination des personnages nous montre qu'aucune barrière n'est un obstacle.

Il est fort.

Cette chronique va s'arrêter ici. Ce n'est peut être pas la plus constructive sur ce livre, mais elle aura le mérite d'exister, d'être.
Lien : HTTPS://LESLECTURESDETIPH.WO..
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Le Petit Prince
Une nouvelle critique sur un de vos livres par leslecturesdetiph
Le Petit Prince de Antoine de Saint-Exupéry

Sur l'aspect extérieur du livre, il y a un vrai travail à mettre en avant, plusieurs points esthétiques appréciables :
- la couverture du livre, vernis et douce
- les pages d'une qualité supérieure douces également au toucher avec une impression des caractères et des illustrations nette, un plaisir pour les mains et les yeux
- les diverses aquarelles de l'auteur qui sont superbement mises en avant tout au long du livre, qu'elles soient en couleur ou en noir et blanc
Le livre peut paraître cher de prime abord, mais la qualité et le rendu final rendent ce prix tout à fait justifié. C'est un travail remarquable de la part de Gallimard pour cette collection Folio. Il s'agit d'un livre dont nous pouvons être fiers en tant que lecteur de tenir dans nos mains.

Relire ce livre de façon plus adulte a été un véritable coup de coeur pour moi. Notre vision des choses change, notre perception des textes aussi. Ce roman d'Antoine de Saint-Exupéry est fort.

Il est fort puisqu'il met en évidence le fossé entre la vision des enfants et celle des adultes. La différence de perception à la lecture, s'applique aussi dans l'histoire.

Il est fort puisqu'il parle d'une rencontre, celle d'une vie, celle qui nous marque à tout jamais.

Il est fort puisqu'il dénonce les vices de l'homme, les vices vus de la part du Petit Prince, je pense à sa visite de diverses planètes, à sa rencontre avec : le roi imbu de sa personne, le vaniteux, le buveur, le businessman, ...

Il est fort puisque dans la façon de fonctionner du Petit Prince, il faut aller à l'essentiel, chaque chose, chaque objet, chaque objectif à un sens, il faut le respecter, ne pas se perdre.

Il est fort puisqu'il nous prouve qu'il faut profiter de ce qui nous entoure, qu'un rien peut représenter un tout pour quelqu'un. Qu'une chose peut être précieuse aux yeux de certains même si elle peut paraître insignifiante aux yeux des autres.

Il est fort puisque l'imagination des personnages nous montre qu'aucune barrière n'est un obstacle.

Il est fort.

Cette chronique va s'arrêter ici. Ce n'est peut être pas la plus constructive sur ce livre, mais elle aura le mérite d'exister, d'être.
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LE 13/01/2020
Aurélie Jeannin
MagicSunMan007 a ajouté une citation de Aurélie Jeannin
Qu'est-ce que l'histoire retiendrait ? Y a-t-il plus imprécis qu'elle ? Elle est une broyeuse approximative qui creuse des sillons grossiers. C'est ça, aussi, qui me fait souffrir. L'histoire ne dit jamais ce qui se joue vraiment. Elle manque de justesse et de finesse. A la fin, elle dirait sous doute : Il est parti. Ils sont partis. Elle dirait cela de notre père, de mon fils et de mon frère. Elle omettrait les quand, les comment, les pourquoi. Les bonnes raisons et les souffrances. Elle ne dirait pas comment cela s'était passé et le mal que cela avait causé. Elle ne saurait pas dire les intonations, le contexte, les mots précis. Après quelle journée, quelle semaine. Elle tairait les détails. Je le comprends, elle ne peut pas s'encombrer. Mais je la déteste pour cela. Demain, dans longtemps, on ne retiendrait qu'une chose. Or, ce n'est pas ça, la vérité.Qu'est-ce que l'histoire retiendrait ? Y a-t-il plus imprécis qu'elle ? Elle est une broyeuse approximative qui creuse des sillons grossiers. C'est ça, aussi, qui me fait souffrir. L'histoire ne dit jamais ce qui se joue vraiment. Elle manque de justesse et de finesse. A la fin, elle dirait sous doute : Il est parti. Ils sont partis. Elle dirait cela de notre père, de mon fils et de mon frère. Elle omettrait les quand, les comment, les pourquoi. Les bonnes raisons et les souffrances. Elle ne dirait pas comment cela s'était passé et le mal que cela avait causé. Elle ne saurait pas dire les intonations, le contexte, les mots précis. Après quelle journée, quelle semaine. Elle tairait les détails. Je le comprends, elle ne peut pas s'encombrer. Mais je la déteste pour cela. Demain, dans longtemps, on ne retiendrait qu'une chose. Or, ce n'est pas ça, la vérité.Qu'est-ce que l'histoire retiendrait ? Y a-t-il plus imprécis qu'elle ? Elle est une broyeuse approximative qui creuse des sillons grossiers. C'est ça, aussi, qui me fait souffrir. L'histoire ne dit jamais ce qui se joue vraiment. Elle manque de justesse et de finesse. A la fin, elle dirait sous doute : Il est parti. Ils sont partis. Elle dirait cela de notre père, de mon fils et de mon frère. Elle omettrait les quand, les comment, les pourquoi. Les bonnes raisons et les souffrances. Elle ne dirait pas comment cela s'était passé et le mal que cela avait causé. Elle ne saurait pas dire les intonations, le contexte, les mots précis. Après quelle journée, quelle semaine. Elle tairait les détails. Je le comprends, elle ne peut pas s'encombrer. Mais je la déteste pour cela. Demain, dans longtemps, on ne retiendrait qu'une chose. Or, ce n'est pas ça, la vérité.Qu'est-ce que l'histoire retiendrait ? Y a-t-il plus imprécis qu'elle ? Elle est une broyeuse approximative qui creuse des sillons grossiers. C'est ça, aussi, qui me fait souffrir. L'histoire ne dit jamais ce qui se joue vraiment. Elle manque de justesse et de finesse. A la fin, elle dirait sous doute : Il est parti. Ils sont partis. Elle dirait cela de notre père, de mon fils et de mon frère. Elle omettrait les quand, les comment, les pourquoi. Les bonnes raisons et les souffrances. Elle ne dirait pas comment cela s'était passé et le mal que cela avait causé. Elle ne saurait pas dire les intonations, le contexte, les mots précis. Après quelle journée, quelle semaine. Elle tairait les détails. Je le comprends, elle ne peut pas s'encombrer. Mais je la déteste pour cela. Demain, dans longtemps, on ne retiendrait qu'une chose. Or, ce n'est pas ça, la vérité.Qu'est-ce que l'histoire retiendrait ? Y a-t-il plus imprécis qu'elle ? Elle est une broyeuse approximative qui creuse des sillons grossiers. C'est ça, aussi, qui me fait souffrir. L'histoire ne dit jamais ce qui se joue vraiment. Elle manque de justesse et de finesse. A la fin, elle dirait sous doute : Il est parti. Ils sont partis. Elle dirait cela de notre père, de mon fils et de mon frère. Elle omettrait les quand, les comment, les pourquoi. Les bonnes raisons et les souffrances. Elle ne dirait pas comment cela s'était passé et le mal que cela avait causé. Elle ne saurait pas dire les intonations, le contexte, les mots précis. Après quelle journée, quelle semaine. Elle tairait les détails. Je le comprends, elle ne peut pas s'encombrer. Mais je la déteste pour cela. Demain, dans longtemps, on ne retiendrait qu'une chose. Or, ce n'est pas ça, la vérité.Qu'est-ce que l'histoire retiendrait ? Y a-t-il plus imprécis qu'elle ? Elle est une broyeuse approximative qui creuse des sillons grossiers. C'est ça, aussi, qui me fait souffrir. L'histoire ne dit jamais ce qui se joue vraiment. Elle manque de justesse et de finesse. A la fin, elle dirait sous doute : Il est parti. Ils sont partis. Elle dirait cela de notre père, de mon fils et de mon frère. Elle omettrait les quand, les comment, les pourquoi. Les bonnes raisons et les souffrances. Elle ne dirait pas comment cela s'était passé et le mal que cela avait causé. Elle ne saurait pas dire les intonations, le contexte, les mots précis. Après quelle journée, quelle semaine. Elle tairait les détails. Je le comprends, elle ne peut pas s'encombrer. Mais je la déteste pour cela. Demain, dans longtemps, on ne retiendrait qu'une chose. Or, ce n'est pas ça, la vérité.Qu'est-ce que l'histoire retiendrait ? Y a-t-il plus imprécis qu'elle ? Elle est une broyeuse approximative qui creuse des sillons grossiers. C'est ça, aussi, qui me fait souffrir. L'histoire ne dit jamais ce qui se joue vraiment. Elle manque de justesse et de finesse. A la fin, elle dirait sous doute : Il est parti. Ils sont partis. Elle dirait cela de notre père, de mon fils et de mon frère. Elle omettrait les quand, les comment, les pourquoi. Les bonnes raisons et les souffrances. Elle ne dirait pas comment cela s'était passé et le mal que cela avait causé. Elle ne saurait pas dire les intonations, le contexte, les mots précis. Après quelle journée, quelle semaine. Elle tairait les détails. Je le comprends, elle ne peut pas s'encombrer. Mais je la déteste pour cela. Demain, dans longtemps, on ne retiendrait qu'une chose. Or, ce n'est pas ça, la vérité.Qu'est-ce que l'histoire retiendrait ? Y a-t-il plus imprécis qu'elle ? Elle est une broyeuse approximative qui creuse des sillons grossiers. C'est ça, aussi, qui me fait souffrir. L'histoire ne dit jamais ce qui se joue vraiment. Elle manque de justesse et de finesse. A la fin, elle dirait sous doute : Il est parti. Ils sont partis. Elle dirait cela de notre père, de mon fils et de mon frère. Elle omettrait les quand, les comment, les pourquoi. Les bonnes raisons et les souffrances. Elle ne dirait pas comment cela s'était passé et le mal que cela avait causé. Elle ne saurait pas dire les intonations, le contexte, les mots précis. Après quelle journée, quelle semaine. 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Demain, dans longtemps, on ne retiendrait qu'une chose. Or, ce n'est pas ça, la vérité.Qu'est-ce que l'histoire retiendrait ? Y a-t-il plus imprécis qu'elle ? Elle est une broyeuse approximative qui creuse des sillons grossiers. C'est ça, aussi, qui me fait souffrir. L'histoire ne dit jamais ce qui se joue vraiment. Elle manque de justesse et de finesse. A la fin, elle dirait sous doute : Il est parti. Ils sont partis. Elle dirait cela de notre père, de mon fils et de mon frère. Elle omettrait les quand, les comment, les pourquoi. Les bonnes raisons et les souffrances. Elle ne dirait pas comment cela s'était passé et le mal que cela avait causé. Elle ne saurait pas dire les intonations, le contexte, les mots précis. Après quelle journée, quelle semaine. Elle tairait les détails. Je le comprends, elle ne peut pas s'encombrer. Mais je la déteste pour cela. Demain, dans longtemps, on ne retiendrait qu'une chose. Or, ce n'est pas ça, la vérité.Qu'est-ce que l'histoire retiendrait ? Y a-t-il plus imprécis qu'elle ? Elle est une broyeuse approximative qui creuse des sillons grossiers. C'est ça, aussi, qui me fait souffrir. L'histoire ne dit jamais ce qui se joue vraiment. Elle manque de justesse et de finesse. A la fin, elle dirait sous doute : Il est parti. Ils sont partis. Elle dirait cela de notre père, de mon fils et de mon frère. Elle omettrait les quand, les comment, les pourquoi. Les bonnes raisons et les souffrances. Elle ne dirait pas comment cela s'était passé et le mal que cela avait causé. Elle ne saurait pas dire les intonations, le contexte, les mots précis. Après quelle journée, quelle semaine. Elle tairait les détails. Je le comprends, elle ne peut pas s'encombrer. Mais je la déteste pour cela. Demain, dans longtemps, on ne retiendrait qu'une chose. Or, ce n'est pas ça, la vérité.Qu'est-ce que l'histoire retiendrait ? Y a-t-il plus imprécis qu'elle ? Elle est une broyeuse approximative qui creuse des sillons grossiers. C'est ça, aussi, qui me fait souffrir. L'histoire ne dit jamais ce qui se joue vraiment. Elle manque de justesse et de finesse. A la fin, elle dirait sous doute : Il est parti. Ils sont partis. Elle dirait cela de notre père, de mon fils et de mon frère. Elle omettrait les quand, les comment, les pourquoi. Les bonnes ra
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LE 12/01/2020
Le Petit Prince
Une nouvelle critique sur un de vos livres par theobservor
Le Petit Prince de Antoine de Saint-Exupéry

livre incontournable pour les uns
livre génial pour les autres
le seul livre à emporter sur une ile déserte
bref...autant de lectures que de lecteurs
autant de lectures que de transpositions à sa vie personnelle
autant de lectures que de fantasmes
livre de poésie pure
livre pour enfant
le "oui-ou"i de la littérature pour quelques uns
le livre de quelqu'un , qui confronter à la dure réalité invente autre chose.
un livre "auberge espagnole", chaque y découvre ce qu'il veut y trouver...ou pas et c'est bien ainsi
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Le Petit Prince
Une nouvelle critique sur un de vos livres par theobservor
Le Petit Prince de Antoine de Saint-Exupéry

livre incontournable pour les uns
livre génial pour les autres
le seul livre à emporter sur une ile déserte
bref...autant de lectures que de lecteurs
autant de lectures qu
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Premier tome d'une série en comportant une douzaine dont les cinq premiers prennent la poussière depuis un moment maintenant chez moi, c'est avec plaisir que je me suis lancé dans la lecture de ce dernier. Ce roman initiatique nous présente un jeune garçon au nom (sans surprise) d'Amos Daragon âgé de 12 ans. Plein d'esprit celui-ci va être pris dans une histoire qui le dépasse mais qui va lui permettre de sortir avec ses parents de la misère dans laquelle ils vivaient depuis sa naissance. Les nombreuses références mythologiques tout au long du roman sont intéressantes et ne pourront qu'inciter les jeunes lecteurs à se tourner vers de nouveaux horizons. Bien que le style soit simple, le rythme est entraînant ne laissant guère le temps au lecteur de s'ennuyer. Pour conclure, c'est ici un excellent premier tome parfait pour débuter la fantasy pour les plus jeunes tout en étant d'assez bonne qualité pour satisfaire les plus âgés. Je vais de ce pas attaqué la suite curieux de voir comment Amos va évoluer tout au long de la saga.
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Premier d'une douzaine de tomes, nous découvrons donc ici Amos Daragon, jeune garçon plein de coeur et d'esprit, qui va découvrir sa destiné de porteur de masque. Ces porteurs que l'on pensait disparus sont chargés d'assurer l'équilibre entre le bien et le mal aidés en cela par des objets porteurs d'une magie sacrée, les fameux masques de puissance associés à leurs pierres de puissance. Il va commencer par aider ses parents à échapper aux griffes de l'immonde seigneur Edonf avant de réaliser sa première vrai mission qui va lui donner l'occasion de rencontrer son futur grand ami Beorf.

Dans un monde qui mélange et nous présente différentes mythologies, ce roman jeunesse intelligent nous attache rapidement à son personnage principal. Dans un style simple mais jamais simpliste, il nous raconte une histoire vivante et pleine de références intéressantes qui constitue à mon avis une remarquable introduction à l'univers de la fantasy pour nos chères têtes blondes, tout en restant agréable à lire pour les vieilles barbes comme moi. Je lirais donc la suite avec plaisir.
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La première fois que j'ai entendu parler de l'auteur ce fut par les journalistes qui ventaient sa plume. Plus tard, j'ai appris que c'est l'éditeur qui avait commander ces livres jeunesse à saveur fantastique. Alors je me suis lancé, j'ai essayé de lire ce roman jeunesse qui voulait ressembler à Harry Potter mais l'auteur manque grandement d'imagination. Pour moi c'est une véritable cochonnerie littéraire, l'auteur fait du grand n'importe quoi. Autant Harry Potter est intelligent, subtil, une véritable toile d'araignée autant Amos Daragon fait dans le genre copier coller. La psychologie des personnages est simpliste et je vous dit j'en ai lu même pas la moitié tellement j'ai trouvé cela mauvais.
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Un petit livre initiatique pour la jeunesse

Depuis quelques temps, j'ai des amis et parents qui me demandent quoi offrir à leur bambin d'une douzaine d'années pour lire de la Fantasy. Alors bon, conseiller le Seigneur des Anneaux ou le Hobbit... Cela fait de moi une vieille ringarde. Et puis, vous comprenez, c'est déjà sorti en DVD ou au cinéma alors franchement on ne va pas faire lire quelque chose qu'on a déjà lu. Ben non, où avais-je la tête ? (*range sa saga de Percy Jackson). Pour la saga des Chevaliers d'Emeraude ? Trop jeune et puis vous avez vu la taille des bouquins?

Et oui, c'est cela de vouloir conseiller. Mais j'avais encore un joker à utiliser, une saga connue où les livres ne font pas dix mille pages : Amos Daragon. mais je ne l'avais pas lu. Donc... Et bien oui, on va le lire les enfants, parce que je ne vais pas dire que c'est bien sans le connaître. Il faut du solide !


Et bien, après avoir terminé le Porteur de masques (parce qu'Ewilan, c'est trop girly), je peux vous dire que pour commencer franco une saga, c'est pas mal. En effet, nous suivons la jeunesse d'Amos qui est un garçon dont la vie n'est pas très gaie (puisqu'il vit dans un Comté où le seigneur est tyrannique) mais qui sait se débrouiller. Au détour d'une plage, il rencontre une sirène qui, avant de mourir, lui refile un trident magique et une mission.

Et bien, nous voilà partis avec Amos et ses parents (et oui, on n'est pas dans les Pokemon) découvrir le monde et ses injustices. Brian Perro reprendra des bases mythologiques pour nous faire découvrir les créatures. Et surtout, il montrera qu'avec beaucoup de bonne volonté, de l'audace et des amis, on peut venir à bout de tout. Si ça c'est pas un bon tome initiatique, je ne m'y connais pas !

Lien : http://labibliodekoko.blogsp..
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Citations et extraits (25) Voir plus Ajouter une citation
— Dans cette bourse, nous avons exactement six pièces d’or. Est-ce suffisamment payé pour l’odeur d’une soupe que nous n’avons même pas goûtée ?
L’aubergiste, ravi, se frotta les mains.
— Mais oui, bien sûr, jeune homme ! Ce sera parfait !
Amos approcha la bourse de l’oreille du gredin et fit tinter les pièces.
— Comme nous avons respiré l’odeur d’une soupe que nous n’avons pas mangée, dit-il, eh bien, vous voilà payé avec le son des pièces que vous n’empocherez jamais !
Barthélémy éclata d’un rire puissant.
— Je crois bien que ce garçon vient, devant mes yeux, d’acquitter sa dette et celle de ses parents !
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Mon nom est Amos Daragon! Je désire parler à quelqu'un!
Comme il n'y avait toujours pas de réponse, Amos poussa doucement le battant, jeta un regard circulaire dans la pièce et y pénétra lentement. [...]

Aussitôt, un ours au pelage blond bondit sur lui en hurlant de rage et, d'un seul coup de patte, le poussa à l'extérieur de la maison. En moins d'une seconde, la bête était sur lui et l'écrasait de tout son poids. Comme l'ours s'apprêtait à lui lacérer le visage avec ses griffes tranchantes comme des lames de rasoir, Amos mit la main sur son trident d'ivoire et le pointa sur la gorge de l'animal. Chacun menaçant de tuer l'autre, les deux combattants arrêtèrent de bouger. Les abeilles, maintenant prêtes au combat, s'étaient regroupées dans un nuage juste au-dessus de la tête de l'ours. Amos comprit rapidement que l'animal exerçait un pouvoir sur les insectes. La bête grognait des ordres à son armée volante. Pour éviter le pire, il fallait maintenant essayer d'entamer un dialogue...
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Voyez ma jambe droite, elle est presque paralysée à cause de l' enflure. J'ai compté exactement cinquante-trois piqûres. Par contre, je n'ai rien sur la jambe gauche, pas la moindre trace d'une attaque d'insectes. Ces abeilles savaient très bien ce qu'elles faisaient et elles ont concentré leurs forces pour me priver de ma jambe. Un ennemi au sol est un ennemi vaincu ! Ces petits démons connaissaient la façon de me jeter par terre.
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La baie des cavernes

Le royaume d’Omain était un endroit magnifique. On y trouvait une petite ville aux rues bien ordonnées et surplombées par un château de pierres sombres. De hautes montagnes aux sommets toujours enneigés encerclaient la cité. Une large et longue rivière, qui prenait sa source dans les neiges éternelles, descendait les versants en cascades pour couler directement jusqu’au centre de la ville, dans la vallée.

Il y avait, à Omain, un petit port de pêcheurs rempli de frêles embarcations aux couleurs éclatantes. Lorsque le silence de la nuit tombait sur le marché aux poissons, tous les citoyens s’endormaient au son des vagues de l’océan. Chaque matin, c’est en suivant la rivière que des dizaines de pêcheurs levaient la voile triangulaire de leur bateau de bois pour aller jeter lignes et filets dans la mer.

Les rues d’Omain étaient en terre battue. On s’y promenait uniquement à pied et à dos d’âne. Tous les habitants de la ville étaient pauvres, à l’exception du seigneur Édonf qui habitait le château. Celui-ci régnait en maître sur ce coin de paradis et obligeait chaque famille à verser d’énormes redevances pour la gestion du royaume. Tous les mois, à la pleine lune, la garde personnelle du seigneur descendait en ville afin d’y encaisser l’argent des impôts.

Si un citoyen était incapable de payer, il était immédiatement jeté dans une cage de fer pour être exposé aux regards de tous, en plein centre du marché. Sans nourriture et sans eau, subissant le froid ou la chaleur et les moustiques, le malheureux pouvait rester là plusieurs jours, voire même plusieurs semaines. Les habitants de la ville savaient qu’un séjour dans la cage se terminait souvent par la mort du prisonnier. Aussi, s’efforçaient-ils de régler scrupuleusement leurs redevances au seigneur.
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L’eau était effectivement bouillante. La main rouge comme un homard, le seigneur dansait sur place en maudissant tous les dieux du ciel. Ses pieds frappaient violemment la terre. Il hurlait :
— Vite ! vite ! de l’eau froide ! Vite ! de l’eau glacée !
Un des gardes d’Édonf, qui se trouvait dans la petite grange pour en effectuer l’inspection, accourut vers son maître afin de le secourir. Sans hésiter, il saisit son bras et, croyant le soulager, replongea sa main dans la marmite. Les larmes aux yeux, Édonf s’écria :
— LÂCHE MA MAIN, IDIOT ! LÂCHE MA MAIN OU JE TE FERAI PENDRE !
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Bryan Perro lit un extrait d'Amos Daragon dans le cadre du Salon International du Livre de Québec, avril 2015
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