Alors que de la Reynie nettoie Paris de des graines misères, La marquise rumine son esprit de vengeance. Qu'on ait démanteler sa cour des miracles lui reste en travers de la gorge et elle va continuer à se battre.
Voici donc la conclusion de l'aventure de la cour des miracles. de la Reynie a été efficace, La marquise s'est battu jusqu'à la folie, et son père sera le dernier grand coestre.
Une aventure dynamique, pleine d'action et de coups d'éclats. Parfaitement rendu par le dessin incisif de Maffre.
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Histoire sombre et dramatique d'un épisode resté fameux ; l'éradication de la cour des miracles par La Reynie sous Louis XIV. Anacreon et Rohan se sont échappés des geoles du roi. Marquise aussi, s'est enfuit. Vu la faiblesse de son père, elle réussit à se faire élire reine de la cour et décide de passer à l'attaque avec sa bande. Rohan suit de loin cette femme devenu puissante et enragée.
Mais sa lutte contre la police naissante est inégale. La Reynie, le plus humain de tous, saura les briser. Des personnages durs, violents, sans concession.
La vie est courte en ce temps la, dans ces endroits la.
Le dessin est net, précis, détaillé.
une histoire avec des personnages peu sympathiques mais puissante.
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Piatzszek imagine un très beau récit de capes et d'épées, assez original, au final. Mais c'est aussi une oeuvre sur le respect et même l'amour parfois. Cette bande dessinée est un très bon récit d'aventure historique qui nous replonge dans la grande tradition du genre. Julien Maffre fait des merveilles sur les pages de cette bande dessinée. C'est beau à voir. C'est fort bien rythmé. Certains passages sont incroyables. Nous y avons des moments grandioses et parfois spectaculaires. Maffre fait des cadrages parfois assez osés. Il a su très bien retranscrire cette période historique.
Lire la critique sur le site : Sceneario
La cour des miracles est une saga sombre et brutale s'inscrivant dans les bas-fonds de la France du XVIIème siècle. Grâce à des personnages denses, un décor très bien restitué et une tension allant crescendo, cette trilogie mérite largement le détour.
Lire la critique sur le site : BDGest
Prends donc ma guitare, Esculape. En jouer à calmé mes hémorroïdes. Si ça ne guérit pas tes malades, ça ne les tuera point.