Poser la question de la crise environnementale et sociale comme fragilisation du toucher, c'est critiquer la valorisation de l'emprise plutôt que l'être en prise. C'est l'envisager comme ce qui affecte notre expérience esthétique et sensible de la nature et du monde. On suggérera alors que c'est en mobilisant des expériences sensibles et poétiques que I'on pourra soutenir une
écologie non seulement de réparation mais de fondation.
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Penser une éthique alimentaire.