La Maison des morts

je suis décue je m'attendais a une histoire fantastique pleine de peur et d'aventure mais a la place je trouve une histoire banale d'amoure entre deux adolescents qui n'ont meme pas 16 ans c'est pathetique, ca avait l'air d'une histoire enfantine par momont apres y'a clara et toby qui font du spectacle a la chapelle c'est honteux l'auteur est tombé aussi bas ne respecte pas la religion
dans c'est une histoire d'enfants qui ont etaient enlevé par je ne sais qui il est question de matrone qui dirige un etablissement ou elles hebergent les enfants apperement defiscients a ce que j'ai compris ils sont des futurs monstres donc ils sont repartis dans des dortoirs numrotés; y'a dortoir 4 qui abrite toby, ashley "le petit pretre" will " j'ai adoré will dailleurs il m'a vraiment fait pleuré " et louis intello. apres on s'apercois qu'ils y'a de nouveaux enfants qui viennent; clara la rousse celle qui aime faire du spectacle elle va avoir une aventure amoureuse avec toby fantasmer sur un avenir beau comme celui des sirenes
j'ai pas aimé les personnages; sauf will qui etait adorable j'ai presque pleuré pour lui. toby est un ado introverti toute la misere du monde ne le fait pas pleuré il s'en fous du sors des autres mais comme meme il a ete ebranlé par ce qui va arrivé a will
enfin ce livre manque beaucoup d'elements l'idée etait bien mais ca na pas etait bien developpé; l'auteur s'est concentré uniquement sur l'histoire d'amour houloupoulou et a gaché tout c'est un flop malheureusement

Au départ, je ne voulais pas noter ce livre parce que "pas fait pour moi". Je tenais à commenter ici surtout pour prévenir ceux qui s'attendent à une ambiance horreur/fantastique : ce n'est pas du tout le cas ici. C'est clairement une romance avec un contexte original.
Et si je ne tenais (de base) à ne pas noter ce livre, c'est parce que les romances ne sont pas du tout faites pour moi. Mais à la réflexion, j'ai tout de même des points à soulever.

Le personnage principal est hyper problématique. Disons-le clairement, il m'a gonflé une grande partie du récit. Et qu'on s'entende : il a le droit d'être problématique. (On se ferait sacrément chier dans nos fictions si tout était lisse.) Seulement voilà, ses pensées ne sont pas remises en question un seul instant. On se contente de passer à autre chose et de continuer l'histoire.
Pour donner des exemples :
- le dortoir se fout clairement de la gueule du garçon qui croit en Dieu alors que ce dernier ne fait de mal à personne.
- le gros se fait bizuter (vous savez, ce petit garçon gros qui montre tout le temps sa raie, c'est bien connu), mais c'est de sa faute, il est stupide. (Spoiler : non, le harcèlement ne doit jamais être écrit sous forme de "boarf, on s'en fout".)
- La fille moche est méprisée parce que moche, sauf dans une scène où le héros se rend compte, je cite "qu'elle n'est pas si moche que ça. [...] Elle n'a simplement pas encore changé de visage."
Et une citation pour la forme :
"Je ne peux pas m'en empêcher. Je me demande comment font les filles pour ne pas être obsédées par le sexe. Par quel miracle arrivent-elles à se contrôler ?"
(Ai-je vraiment besoin de préciser en quoi cette citation est problématique ?)
J'ai même été surprise en me rappelant que ce livre a été écrit par une autrice. Bref, vous imaginez bien que s'attacher à un ado qui raisonne comme une savate n'est pas aisé.

Le début de la romance sort un peu de nulle-part. le héros se demande comment la fille (qu'il méprise au début par un "elle est même pas jolie d'abord !"... quand je vous disais qu'il était stupide) peut l'aimer... et franchement moi aussi. Il n'a rien qui le distingue des autres.

POURTANT... la fin m'a profondément touchée. C'est comme si toutes les émotions que je n'avais pas ressenti jusqu'à présent me sautaient au visage. Et je trouve ça fichtrement dommage de devoir attendre la dernière partie du livre pour ressentir quelque chose. Je me suis forcée à terminer justement parce que certains commentaires disaient que la fin rattrapait le tout. Et je suis plutôt d'accord. Dommage, je le répète, de devoir se forcer à lire pour y arriver.

Dernière chose et mini spoil : vous n'aurez clairement pas toutes les réponses en refermant le bouquin et vous avez intérêt d'aimer les fins ouvertes pour apprécier entièrement ce livre. C'est mon cas : je n'ai rien contre les questions sans réponse et les fins ouvertes (ça fait travailler mon imagination), mais je peux comprendre que ce ne soit pas le cas pour tous.

Alors bon ..... Première déception avec cette auteure. Je n'ai pas aimé du tout ce roman. Je m'attendais à bien mieux et je suis malheureusement restée simple spectatrice du déroulé !

Je commence à me lasser je pense des intrigues où des enfants ou ados sont les « héros » ou bien tout simplement les personnages principaux....

Comme la plupart j'ai été attirée par sa sublime couverture en hard back. L'histoire m'a un peu moins convaincu mais il reste bon dans l'ensemble. Je ne me suis attachée a aucun des personnages de par leur personnalité plutôt "fade". En bref je recommanderais peut être ce livre pour la tranche ados mais pas pour adultes. Je rajouterai tout de même que la plume de l'auteur est agréable.

Un roman que j'avais eu à Noël, mais qui a beaucoup traîné dans ma Pile à lire, car j'ai lu beaucoup d'avis mitigés... Et franchement, je ne suis pas fan de cette lecture...

L'histoire est celle d'une maison sur une île déserte, remplie de jeunes attendant leur mort prochaine. Arrachés à leur famille dès leur diagnostic, ils passent leur temps à craindre le moindre symptôme. Ce jour-là, ils savent qu'ils seront éloignés des autres pour ne jamais les revoir... Cependant, dans le dortoir 4, Toby et ses copains trompent l'angoisse comme ils peuvent. Une petite nouvelle va faire son arrivée dans la maison et cela va redonner de l'espoir à notre Toby...

Je dois dire que je n'ai pas vraiment été fan de l'histoire. Au départ, j'ai eu du mal à rentrer dans ma lecture, puis je n'ai pas trop compris où l'auteure voulait en venir. Et finalement, je ressort un peu déçu. Je trouve l'histoire intéressante de cette maison remplie d'enfants qui vont mourir. Cependant, je relève deux défauts au déroulé de l'histoire. Tout d'abord, je trouve que l'on finit ce roman alors qu'il nous reste encore des questions sans de véritable réponse. Ensuite, je n'ai pas trop compris l'intérêt d'une romance, car elle prend trop le pas sur le reste de l'intrigue. Donc je suis déçue de ma lecture finalement, j'en attendais plus...

La fin est une déception, car comme je te le disais, il me reste des questions sans réponses et cela m'a dérangé sachant que c'était un one-shot. Bref, cela m'apprendra à me baser seulement sur la couverture du roman pour le chosir !

Toby est un jeune homme qui attend de mourir en compagnie de jeunes ayant la même maladie que lui. Il n'a pas vraiment d'espoir d'en sortir, car il sait que son destin est déjà définis. Cependant, une petite nouvelle va lui faire reprendre goût à la vie, ce qui va le changer un peu, car il va vouloir découvrir le monde autour de lui. Comme tu le sais, je ne me suis pas attachée à ce personnage, que je n'ai pas eu l'impression de comprendre. Je n'arrive pas à me mettre à sa place... Il m'a manquée quelque chose pour que je l'apprécie vraiment.

Comme Toby, je ne me suis attachée à aucun des personnages de ce roman. Je n'ai pas réussi. J'ai eu l'impression de voir leur vie se déroulait sans pouvoir vivre leurs aventures avec eux, comme j'aime le faire lors de mes lectures habituellement.

Le style d'écriture est peut-être ce qui m'a un peu éloignée du récit finalement. J'ai eu l'impression d'être tenu à l'écart de cette lecture par l'auteure et cela m'a dérangée. Pourtant, j'avais beaucoup aimé la trilogie publiée par la même auteure... Je ne sais pas encore si je lirais ces autres romans après celui-ci...

En général, une déception pour cette histoire pas assez développée à mon goût...
Lien : http://www.fifty-shades-dark..

La couverture du livre et son titre m'ont direct interpellée.
Concernant ma lecture, j'ai un avis assez mitigé. J'ai trouvé que les 2/3 du livre était lent, avec peu d'actions mais malgré tout je sentais le poids de l'intrigue et c'est ça qui m'a encouragée à lire la suite. Je ne regrette pas d'avoir poursuivi ma lecture car j'ai vraiment accroché avec le dernier tiers du livre et ses rebondissements. Un peu déçu car certaines interrogations sont restées sans réponse comme la nature de la déficience , la description du sanatorium trop succincte, et d'autres encore.
Ce huis clos est vraiment très bien écrit, dans un style fluide, mais aussi sacrément bien ficelé !

Une oeuvre d'art ce roman, bouleversant, émouvant, des centaines d'adjectifs pour décrire ce livre, la morale de cette histoire nous dit que peut importe qu'on soit en bonne santé ou porteur d'une maladie mortelle, il faut toujours savourer les bons moments avec le sourire car la mort peut venir nous chercher à n'importe qu'elle moment comme ce fus le cas de Clara et Toby, deux âme soeur demeurant sur la plage côte à côte mais heureux.
C'est le meilleur livre que j'ai lu à présent...

Avant de me lancer dans cette lecture, je connaissais Sarah Pinborough (Contes des Royaumes, 13 minutes) de nom (et réputation) surtout grâce à la lecture de Mon amie Adèle dont j'en garde un très bon souvenir. du coup j'étais curieuse de la voir sur un autre registre que celui du thriller, puisque La Maison des morts est plus dans le genre science-fiction/romance/young adult. L'histoire est celle de Toby qui découvre, après un test sanguin, que sa vie ne sera plus jamais la même. Il est atteint du gène du Deficient, et se retrouve emmené de force dans un manoir obscur, sur une île déserte, où d'autres enfants comme lui y vivent. Surveillés par des infirmières, ils ne peuvent en ressortir. Replié sur lui-même, Toby attend la mort en luttant pour ne pas sombrer dans le désespoir. Mais quand arrive une nouvelle patiente, il se met alors à espérer… L'univers SF joue beaucoup sur l'ambiance du récit, sans pour autant en faire quelque chose de lourd à lire. Toby est un garçon fascinant dans la vision qu'il a de sa condition. Autour de lui, ça joue aux durs, ça passe le temps en faisant les quatre cent coup tout en ayant une attitude presque désinvolte. Toby, lui, est à la fois amorphe (dormant toute la journée), mais continue de défier l'autorité des lieux à sa manière. Il en va même à explorer la demeure la nuit sans que personne ne le remarque. L'arrivée de Clara retourne son quotidien avec son énergie presque anormale dans ses lieux. le lien qui se créait entre eux est joli et nourri par les sentiments de chacun. Ensemble, ils s'amusent, défient les murs de leur demeure, finissant même par vouloir autre chose pour leur vie. le casting secondaire est moins intéressant puisqu'on y trouve des personnages parfois un peu trop stéréotypés (le gros dur, la bonne poire, l'intellectuel, etc.) mais s'accordent assez bien entre eux. Il y une notion de fraternité qui se forme assez vite parmi certains groupes. le seul reproche que j'ai, est que j'aurais aimé avoir plus d'informations concernant les Deficient, par exemple. Au niveau de l'écriture, c'est très loin d'un Mon amie Adèle, mais vu le contexte de chaque récit, ce n'est pas étonnant. Néanmoins, l'auteure arrive à créer un univers intéressant regroupant des notions SF, de romance, de young adult et de thriller aussi ! L'édition par Milady est juste magnifique. Couverture rigide et brillante, impression de qualité, tout est réuni pour que l'ouvrage rende bien dans notre bibliothèque. En conclusion, La Maison des morts est déroutant en bien des façons, puisque Pinborough mélange plusieurs genres littéraires pour offrir une petite leçon de vie bien construite. On y voit des parallèles avec les changements adolescents. Un petit moment de lecture bien sympathique adressé à tous.
Lien : https://lireenbulles.wordpre..

Le titre et la couverture sont on ne peut plus trompeurs.
Le titre renvoie à une histoire de fantôme, quant à la couverture , bien que très jolie, elle subodore un récit adolescent ou bien au mieux jeune adulte.
Il n'en est rien.
C'est l'histoire toute simple de deux adolescents, qui coincés dans un pensionnat-mouroir car atteints d'une maladie futuriste qui se déclenche quand ça lui chante chez certains individus dépistés, attendent de mourir en essayant d'avoir un semblant de vie. Et tout change quand ils vivent leur présent à court terme ensemble, et s'imaginent une possible vie à long terme à deux.
On pourrait regretter que les détails de ce futur un brin post-apocalyptique ne soient pas donnés, mais cela n'apporterait rien de plus au récit, voire même cela nous en détournerait du coeur même.
Un récit magnifique, tout en simplicité dans la forme et le fond, mais dont la formulation et la lecture est nécessaire.
La petite larme de fin était pour ma part au rendez-vous.

C'est une lecture jeunesse qui ne m'a pas forcément plus, j'ai trouvé qu'il y avait beaucoup de longueur et qu'à contrario certains sujets étaient peu abordés. Il est vrai que j'ai terminé ma lecture avec beaucoup de questions sans réponses. En effet nous ne savons pas quelle est la maladie qui les touches, comment cela est arrivé, le passé reste secret et cela est un peu dérangeant.

De plus étant un livre jeunesse j'ai trouvé certains sujets mal abordé, voire péjoratif. Par exemple, sur le thème de la religion où les adolescents se moquent ouvertement d'un de leurs camarades croyant, de plus ils sont limite violent avec lui et le harcèlent, et à aucun moment l'auteur fait comprendre que cela n'est pas bien. Et j'oublié, si vous cherchez un livre qui fait peur passait votre chemin, vous n'aurez même pas un frisson.

Le seul point positif pour moi est la fin que j'ai trouvée belle et touchante, cela rattrape un peu ma lecture mais je suis très déçu.
Lien : https://lalectricedyslexique..