La Maison des morts

Mouais... Pas mauvais mais pas folichon non plus.

On suit des adolescents (des garçons pour la majorité) enfermés dans une grande maison, surveillés par la Matrone, des infirmières et quelques profs. Toby, le personnage principal, reste éveillé la nuit et pourtant... il ne sait pas grand chose. Ou alors ne prend pas la peine de nous expliquer. On doit attendre quelques chapitres pour savoir que ces enfants sont des Déficients, ce qui veut dire... aucune idée puisque ce n'est pas expliqué ! J'ai été vraiment agacée par le manque d'explications quant à leur maladie : on sait tous que leur état se détériore à un moment et quand les infirmières le remarque, hop ! Pendant la nuit, le malade est emmené par celles-ci au Sanatorium, d'où personne ne revient jamais (que se passe-t-il avec les corps ? Mystère). Ce n'est qu'à la page 300 et quelques qu'on apprend que ça fait environ cent ans que les gens dits déficients sont reconnus et mis à l'écart et c'est à peu près la seule chose que nous découvrons du monde extérieur.

Et puis un jour arrive Clara. Clara qui ne prend pas non plus ses somnifères donc se retrouve à errer dans la maison la nuit avec Toby. Je me suis dit "aah, enfin un rebondissement !". Eh bien non. On a droit à une histoire d'amour mièvre entre ces deux-là.

Je n'ai pas été emportée par l'histoire. Pourtant, il y a des scènes émouvantes vers la fin, mais ça n'a pas pris avec moi. Ça m'a juste laissé un goût de "Ouais ok" et quand j'ai refermé le livre, je me suis faite la réflexion que dans quelques semaines, j'aurais déjà oublié l'avoir lu.

La petite déception de mon bilan lecture est peut-être ce roman qui n'était pas à la hauteur de mon imagination. Pourtant bien écrit et avec une histoire émouvante, La maison des morts m'a induite en erreur par son titre. Moi qui voulais un roman fantastique, il faut dire que du fantastique il n'y en a pas. Plutôt suggéré, et présenté comme une dystopie l'histoire met en scène, sur une île déserte, un sanatorium où des enfants aux gênes déficients sont mis au ban de la société dans l'attente...de mourir.
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De leur diagnostique nous ne savons rien si ce n'est que la maladie peut se déclarer jusqu'à la majorité et que personne n'en réchappe. D'abord frustrée de ne rien savoir, j'ai réalisé que ce n'était pas le plus important, mais la façon dont ces enfants/ados vont occuper le reste de leur vie au sein de l'institution. Toby le protagoniste, à l'arrivée de Clara, fend son armure de solitaire pour découvrir l'amour. Avec une fin bouleversante et ce malgré un rythme plutôt lent, ce roman m'a prise au dépourvu, mais reste toutefois une bonne lecture.
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Très belle histoire, je découvre l'écrivaine par ce roman et je n'ai pas été déçu, je vais essayer son autre roman trilogie voir ce que cela peux donner la revisite de nos contes classiques.


L'histoire se passe sur une île étrange à l'ambiance glauque ou des gamin infecté sont envoyés pour finir leurs jours


Je pense que si j'avais découvert cette histoire plus jeune j'aurais été encore plus conquis, mais malgré tout les personnages attachants et leurs histoires à réussir à me convaincre et à le scotcher du début à la fin.


Le dernier tiers du livre reste le plus gros point fort de l'histoire et fera monter le niveau d'émotions et de compassion pour nos protagonistes.

Une super histoire qui ne m'a pas laissé sur la faim

On débarque dans le dortoir 4, en compagnie de Toby, le héros, de Wil, de Louis et Ashley. On comprend que les enfants ont été emmenés ici parce qu'ils sont "Déficients", à savoir porteurs d'un gène qui déclenche une maladie mortelle avant leurs 18 ans. Alors dès qu'un enfant est dépisté, il est enlevé à sa famille et vient finir ses jours ici, sur cette île, dans cette maison gérée par Matrone et les infirmières...

Les rivalités entre dortoirs vont bon train, c'est le concours de celui qui mourra le moins vite. Et puis un jour, des nouveaux arrivants débarquent. Parmi eux, Tom, qui viendra rejoindre le dortoir 4, et Clara, une fille. Qui cassera d'abord bien les pieds de Toby, à être tout le temps dans ses jambes, à, comme lui, ne pas prendre ses "vitamines" le soir...

La Maison des Morts, c'est une dystopie pour jeunes adultes assez réussie bien que le côté "société" ne serve en fin de compte, selon moi, que de cadre à une grande, belle et tragique histoire d'amour entre Toby et Clara.

Je ne sais pas si j'aurais fait le même choix que Clara, ou pris les mêmes décisions que Toby, en tous cas, sous ses allures légères, cette histoire m'a beaucoup émue.

Un bon roman d'amour, à la sauce SF.

Je n'ai pas beaucoup lu d'oeuvres "jeunesses". Dans une librairie, la couverture brillante, le titre obscur et les tours de pages noirs m'ont immédiatement intrigué. J'ai apprécié la lecture même si je trouve dommage de ne rien connaître de la maladie et que je trouve l'écriture avarde de détails et trop "cinématographique".

Ce livre, je le recommande vivement, j'ai été projeté tout de suite dans l'histoire et je ne voulais jamais arrêter ma lecture.
Je l'ai dévoré en trois jours à peine le lisant nuit et jour tellement, je ne pouvais attendre plus longtemps.
Nous avons un suspense remarquable avec des personnages qui sont tous attachants.

C'est un livre qui procure des émotions fortes et de la compassion vis-à-vis des personnages. J'ai ressenti beaucoup d'intrigues vis-à-vis de certains personnages et nous avions bien les explications au fur et à mesure de l'histoire.
Nous avons une histoire d'amour touchante et qui m'a fait pleurer.

Si vous êtes adepte des histoires bizarres avec de la romance et beaucoup de suspense, je vous recommande ce livre qui sera pour vous un livre dont on ne peut se séparer ne serait-ce qu'une minute.

J'ai vu passer ce roman il y a quelques années, mais je ne me souvenais plus du tout du résumé. Une chose est sûre : je ne m'attendais pas à une telle histoire. Je pensais que ce serait plus sombre et en fait, c'est une simple histoire d'ado…

Toby vit dans la Maison des morts avec d'autres de ses camarades parce que, comme eux, il a été diagnostiqué Déficient. Il attend donc que sa maladie se déclare pour être emmené à l'étage du sanatorium et ne plus jamais revenir. Les gosses sont entourés de quelques professeurs, d'infirmières et de la directrice surnommée Matrone : tous se montrent froids et surveillent l'état général des enfants.
Lorsque de nouveaux pensionnaires arrivent et notamment la fougueuse Clara, le quotidien des jeunes et surtout de Toby est chamboulé.

Je me suis ennuyée dans cette lecture. Il ne se passe rien. On suit la vie des pensionnaires et les batailles de coqs entre dortoirs. La nuit, Toby évite de prendre ses somnifères et déambule dans le manoir. Clara en fait autant et le pousse à sortir explorer l'île sur laquelle ils vivent. On pourrait se dire qu'ils découvrent des endroits intéressants, mais non. Ils passent leur temps à se tripoter dans la grotte qu'ils ont découverte.

J'ai bien aimé les personnages que j'ai trouvés sympathiques ; enfin, c'est le cas de tous les pensionnaires, mais pas des employés de la maison des morts. Néanmoins, ça ne sauve pas l'histoire. Il n'y a qu'un passage qui m'a émue et m'a presque fait changer d'avis : celui avec Will. Mais là encore, ce n'était pas suffisant.

La fin était prévisible : les résultats du second test de Toby et de Louis, tout comme l'issue de l'histoire d'amour entre Clara et Toby. Par contre, cette conclusion m'a exaspérée au plus haut point !
Je n'ai pas aimé cette lecture.
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La Maison des Morts est un roman qui m'a beaucoup touchée.

A commencer par l'ambiance, elle est assez lourde et pesante, ce qui nous plonge immédiatement dans l'histoire. En effet, les enfants vivent dans une maison, isolés de tous, en attendant de savoir s'ils vont mourir. Ou plutôt, quand, ils vont mourir. Dans ce manoir, les adolescents forment des liens forts, puisqu'ils ont tous ce gène en commun, cela les lie plus que vous ne pouvez l'imaginer.

L'autrice manie une forme d'humour assez noir, que j'ai grandement apprécié. Etrangement, cela apporte une forme de légèreté au roman. Cependant, le point de vue "grossier" et un peu "sale" de Toby au début du roman, m'a mis très mal à l'aise. Disons, que connaître le point de vue d'un adolescent pré pubère sur le bonnet de sa voisine ne faisait pas parti de mes priorités. J'aurai probablement voulu avoir plus de réponse quant à ce qu'il se passe dans cette maison, l'origine de la maladie... Mais rester dans le flou est peut-être ce qui fait le charme de ce livre?

Le développement du scénario est assez lent, mais ce n'est pas dérangeant, car grâce à cela, je n'ai pas du tout pu anticiper la fin; je me suis fait mener par le bout du nez.

Tout au long de la seconde moitié, se développe une romance, très rafraîchissante et innocente. L'histoire d'amour entre les deux adolescents est très touchante, puisque l'on s'attendrait à ce que l'un deux meurt à tout instant.

Le dénouement final m'a bouleversée et je crois même avoir lâché une larmichette lors de ma première lecture. Je suis restée bluffée par cette histoire, et vous invite à le lire!
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Un objet livre qui ne manque pas de charme, un résumé qui nous fait partir sur une île déserte ou des jeunes sont séquestrés en attendant leur mort, des enfants possédant un gène.
Ils doivent très isolés! On viendra les chercher en pleine nuit lors de l'apparition des premiers symptômes…
Ceux qui partent ne reviennent jamais !

Toby est dans le dortoir numéro 4, il va se rebeller en vagabondant la nuit, il se liera d'amitié avec un autre pensionnaire et ils feront de nombreuses découvertes.

Des jeunes qui vivent ensemble, des rivalités, des amours, des jugements, c'est très très « jeunesse » ça m'a freiné…

Les 3/4 du livre c'est le quotidien de ces jeunes et il ne se passe pas grand chose, c'est dommage parce que dans le fond ça vendait du rêve à la lecture du résumé, et finalement je suis déçue.
De nombreuses choses manquent cruellement de développement!

Le final aurait pu être intéressant mais il y a de nombreuses questions en suspens, j'aurai voulu un épilogue pour avoir, le Après de leur aventure.
La fin reste belle est pleine de sentiments mais malheureusement ce livre n'a clairement pas comblé mes espérances.

C'est dommage et malheureusement je ne vous le conseille pas, mais ce n'est que mon avis.

de nombreux mystères planent sur cette maison des morts... Pourtant, après une lecture laborieuse, ponctuée par une romance convenue, aucune réponse ne m'est apparues.
Il est plutôt plaisant (même si frustrant) lorsque le doute plane encore en fermant le livre. Avoir une fin ouverte réussie dépend du contexte et du traitements du récit. Il faut que l'auteur nous glane quelques réponses concernant des intrigues secondaires ou bien qu'il nous mène en bateau, nous offrant la solution à un problème majeur pour le réfuter par la suite.
Ici, il n'y a que celle île déserte et ces enfants malades (et, mon dieu! Ca aurait pu tellement en jeter !). Les questions se multiplient au fil des pages : Où vont-il réellement lorsqu'ils sont emmenée dans ce fameux sanatorium ? Quelle est cette maladie qui les oblige à se retrouver ainsi isolés ? Qui est la Matrone et quel est son rôle dans toute cette histoire ? Et bien d'autres interrogations s'ajoutent encore...

C'est dommage, l'ambiance est prenante au début, presque étouffante, mais les chapitres deviennent répétitifs. L'ambiance pesante de ce huis clos tombe à l'eau.
Au niveau de la construction des personnages, les promesses ne sont pas tenues... Ils sont prometteurs, abordent des sujets sensibles tel que l'oubli, la maladie, la solitude ou encore la nécessité d'avoir une famille, même si construite de toute pièce. Mais rien n'est approfondis et on comprend vite que les nombreux personnages sont superficiels.
Et cette romance... Lorsqu'on ne s'y attend pas (et que, comme moi, on n'est pas friand du genre) c'est une déception de plus. Elle n'apporte pas de valeur ajoutée, si ce n'est une pointe d'action qui ne m'a pourtant pas permis de me prendre au jeu.

C'est pour moi un roman qui manque de corps. L'impasse est trop vite faite sur tout ce qui aurai pu avoir un poil de profondeur. Mais peut-être que je suis passés complètement à côté et que cette histoire pourrait plaire aux amateurs d'histoires d'amours et d'ambiances mystérieuses.