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EAN : 9782355221286
176 pages
Zones (31/01/2019)
3.98/5   66 notes
Résumé :
« Macron, c’est moi en mieux », confiait Nicolas Sarkozy en juin 2017. En pire, rectifient Michel Pinçon et Monique Pinçon-Charlot. Huit ans après Le Président des riches, les sociologues de la grande bourgeoisie poursuivent leur travail d’enquête sur la dérive oligarchique du pouvoir en France.
« Macron, c’est moi en mieux », confiait Nicolas Sarkozy en juin 2017. En pire, rectifient Michel Pinçon et Monique Pinçon-Charlot. Huit ans après Le Président des ri... >Voir plus
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Toujours le mot qui blesse! Pour ceux qui ne sont pas les premiers de cordée, pour la France d'en bas, pour ces...fainéants (08/09/2017)...


L'ABC d'E.Macron :

A comme argent et amis.
- Suppression de l'ISF:
La réforme de l'ISF fut votée en 2017 au lieu de 2019, pour remercier les ultra riches, au pouvoir, qui l'ont aidé. E.Macron déclare : "C'est même une mesure de gauche que de le supprimer."
C'est faux! L'ISF avait rapporté 5,4 milliards d'euros, en 2017.
L'IFI, son remplaçant ( impôt sur le fortune immobilière) ne rapportera que 800 millions, un manque à gagner de 4,6 milliards...

- Défiscalisation des revenus du capital, le PFU:
Le PFU ou Flat Tax revient à faire payer 14% aux salariés , alors que les plus riches ne paieront que 12,8%... Car cet impôt forfaitaire pour les plus riches, serait de 30%.
Or c'est une manipulation, puisque ce PFU englobe le prélèvement social, la contributions de solidarité et le prélèvement de solidarité ( la CRDS et la CSG), soit 17,2%...


B comme banques:
En 2008, E.Macron est embauché par David de Rothschild ( oui, la Banque Rothschild), grâce à Serge Weinberg, président d'Accor. Macron côtoie le président du MEDEF, le PDG de Nestlé. E.Macron vient de l'ENA, et ce qui compte, c'est le réseau qu'on s'y crée....( le PDG de Généraliste, Business France, le groupe Havas...)
E.Macron doit renvoyer l'ascenseur!


C comme combines:
- En avril 2015, le groupe Havas avait obtenu les faveurs de Bercy, alors qu' E.Macron était ministre des finances...
- 16 novembre 2016, E.Macron annonce sa candidature à la présidence de la république française ( avec quel argent?)
Il a toujours refusé de publier la liste de ses donateurs...


M comme Macronie, mépris ou magouilles:
- Il fut le plus dépensier des candidats: 16 millions d'euros!
29042 euros de frais de maquillage.
14000 euros de coaching vocal.
Soutien d'En Marche: 80 grandes entreprises
( LVMH, Total, Vinci, SFR, la banque Lazard ...)


Au delà du mépris dont témoignent les petites phrases du président, pour "ceux qui ne sont rien", c'est la réalité d'un projet politique profondément... inégalitaire !

Il est vrai que les pauvres étant des millions, les détrousser peut contribuer à enrichir les 640 000 personnes appartenant au 1% des Français, les plus riches!
Les ultra riches?
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Véritable pamphlet écrit totalement à charge contre notre président actuel. Il n'y a que très peu d'idées développées, voir aucune, et on s'attaché essentiellement à nous montrer les liens extrêmement serrés depuis des années entre Emmanuel Macron et les hauts dirigeants de ce monde.

Livre qui ne présente qu'un faible intérêt mais qui ravira certainement les opposants de Macron de la première heure.
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[Lecture encouragée par l'excellente critique de l'ami Franz, que je salue et remercie]

Dans cet essai court, très factuel, extrêmement lisible, et rédigé sur le vif de l'actualité du début des manifestations des « gilets jaunes », le couple de sociologues de la haute bourgeoisie française montre qu'Emmanuel Macron est le Président des ultra-riches : « des » devant s'entendre ici non seulement comme « représentant des... », « élu par le concours des... » ou « défendant uniquement les l'intérêt des... » mais comme « incarnant organiquement la classe des ultra-riches ».
En effet, grâce à trois décennies d'études sociologiques sur cette classe qui, rappelons-le, exerce une violence symbolique aussi inégalée que l'est l'étendue de ses pouvoirs, dans le but de la conquête de privilèges toujours nouveaux et sans cesse accrus au détriment de la majorité de la population, les Pinçon ont pu décliner un grand nombre d'aspects qui, par-delà la personnalité de l'homme, indiquent qu'il est, de cette classe sociale, l'émanation, voire l'instrument et la créature.
Parmi ces aspects, l'on a noté successivement :
- son langage, caractérisé par le mépris des autres (ch 1 : « Le méprisant de la République »),
- ses actions législatives concrètes en faveur des plus nantis, qui dépassent largement la suppression bien connue de l'ISF (ch. 2 : « Un "pognon de dingue" pour les riches »),
- les circonstances de son élection (ch. 3 : « Un président fort mal élu »),
- l'historique de son évolution personnelle, formation et carrière (ch. 4 : Un candidat hors système ? »),
- sa « base socio-spatiale » par alliance (ch. 5 : le Touquet : bienvenue à Macron-Plage),
- sa connivence avec les patrons des médias, incomparablement supérieure à celle de ses prédécesseurs (ch. 6 : « Une créature médiatique »),
- son nouvel entourage politique : une Assemblée moins représentative que jamais, un gouvernement de millionnaires (ch. 7 : « La caste au pouvoir : le personnel politique de l'oligarchie »),
- sa réalisation de la symbolique monarchique (ch. 8 : « Sous les ors de la République, les appartements du roi »),
- son action politique à l'encontre des défavorisés, dont la ponction des retraités n'est que l'exemple le plus connu (ch. 9 : « Prendre aux pauvres pour donner aux riches »),
- son incitation à la fraude fiscale par le maintien et le renforcement d'une exception remarquable au fameux principe de la séparation des pouvoirs (ch. 10 : « Et pendant ce temps-là, les fraudeurs fiscaux peuvent dormir tranquilles »),
- ses méfaits écologiques (ch. 11 : « Sous les belles paroles du "champion de la Terre", une imposture écologique »).

Le matérialisme historique marxien prend depuis la révolution néolibérale une tournure beaucoup moins théorique, plus concrète, paradoxalement plus identifiable à des personnes que jamais. Si son avant-dernier avatar, me semble-t-il, a été le surgissement des fascismes (y compris le soviétisme), à savoir l'invention de systèmes par lesquels une bureaucratie hypertrophiée de parti unique, nationaliste et militariste a « géré », c-à-d. dévié ou canalisé la lutte des classes – une lutte à somme nulle – le néolibéralisme a ceci de véritablement révolutionnaire : d'avoir compris que, une fois le communisme liquidé, l'antagoniste de classe de la finance mondialisée, c'est l'État lui-même, non une forme de gouvernement ni des politiques spécifiques. Pour peu que celui-ci soit démocratique, l'ennemi est la démocratie même, sans état d'âme. Ainsi, pour la première fois en France, mais non dans d'autres pays qui, depuis bientôt trente ans, donnent des exemples délétères, un jeune homme a été très tôt choisi et préparé à accéder à la magistrature suprême de la République en faisant l'impasse non seulement d'une carrière politique et d'une structure de parti, mais de toute expérience préalable de mandat électif. La cooptation dans des postes-clés par des instances non élues donc fort opaques, la puissance d'un très rapide et efficace montage financier et médiatique, associé à une loi électorale plutôt atypique dans le monde mais commune dans son incitation à l'abstentionnisme, ont rendu caduque le modèle du suffrage et de la fidélisation de la « base », et sont en passe de faire de même de bien d'autres traditions étatiques et démocratiques. Dès lors, l'on s'autorise à penser à une lutte frontale contre la gouvernance étatique tout entière, en particulier par la suppression inédite d'une portion congrue de la fonction publique, qui a pour mission, avant même l'éventuel maintien de l'état-providence, de mettre en oeuvre toute politique publique, même réactionnaire, même irréversible, même suicidaire. Avec un État ainsi réduit à l'impuissance, privé déjà de sa politique monétaire, de beaucoup de ses actifs (par les privatisations), de sa prérogative de médiateur et de régulateur entre les classes sociales en conflit, de sa capacité de planification et d'investissement public (la dette publique étant déjà privatisée), il est évident que la puissance de l'argent aura évacué tout autre forme de rival organisé. Reste la rue, qui, historiquement, ne brilla jamais guère pour son organisation... Emblématiquement, dans ce livre qui assiste à leur baptême, les auteurs n'annotent des manifestations des « gilets jaunes » qu'une collection de slogans, plus ou moins heureux : je doute qu'après 19 semaines d'action l'on puisse en retirer bien davantage – sauf du côté opposé naturellement, du côté répressif qui s'est considérablement organisé et aguerri.
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Leurre de gloire.
Inféodé aux ultra-riches, le président de la République française Emmanuel Macron a dévoyé les principes démocratiques élémentaires en se faisant élire par défaut avec une campagne présidentielle financée par des donateurs soucieux d'un retour sur investissement rapide et fructueux. Zélé, Macron supprimera l'impôt de solidarité sur la fortune dès 2017 mais pas seulement, devançant les désirs de ses maîtres payeurs avec de multiples cadeaux fiscaux. Ainsi l'assurance-vie qui s'élève à 1 500 milliards d'euros n'est plus imposable au titre de la fortune alors que les produits financiers représentent 90 % du patrimoine des plus nantis. Avec la création du prélèvement forfaitaire unique, Macron et consorts ont quasiment défiscalisé les revenus du capital. Ils auront eu à coeur aussi de supprimer l'exit tax conçue pour lutter contre l'évasion fiscale et de blanchir dans la foulée les fraudeurs avec l'instauration d'un « droit à l'erreur ». La fraude fiscale est évaluée à 100 milliards d'euros par an alors que le déficit de l'Etat français est de 80 milliards. Enfin, la baisse programmée de l'impôt sur les sociétés, passant de 33,3 % à 25 % devrait représenter une baisse de 11 milliards d'euros de rentrées fiscales. de tels chiffres donnent le tournis, s'épanchant à l'envi dans l'abstraction ; ils demanderaient à être relativisés pour devenir compréhensibles. Néanmoins, les deux sociologues enquêteurs, soucieux d'étayer leur propos, savent aussi fourbir leurs phrases afin de pourfendre l'hypocrisie des discours officiels : « Zéro contrainte pour les plus riches qui doivent ne connaître qu'une « société de confiance » et bénéficier de la générosité des contribuables sans avoir de comptes à rendre tandis que pour les plus pauvres la défiance à leur égard est au coin de chaque mesure, de chaque aide ou de chaque droit ». Cette gabegie financière est savamment orchestrée par des élus « obligés » où la collusion est permanente quand les conflits d'intérêt constituent la norme. Toute cette mascarade pourrait passer comme une lettre à la Poste (tant que le service public demeure) si le chef de l'Etat pouvait s'empêcher de jeter de l'huile sur le feu avec des « macronades » à répétition, aussi vulgaires qu'elles se veulent châtiées. Il est comme ça le Manu, usant des saillies verbales selon son bon plaisir, ponctionnant le gueux, cassant le pauvre, limogeant le fonctionnaire, chassant, bâfrant, s'épatant aux frais de la princesse, sous les ors de la République. Adoubé par Nicolas Sarkozy, traître et menteur patentés : « Macron, c'est moi en mieux », le président des Français actuel ne comprend probablement plus ce qui lui arrive avec la révolte des gilets jaunes. L'enquête des Pinçon est salutaire. En synthétisant les faits et gestes d'un homme qui se rêve monarque et d'une clique à la solde, elle pointe les dangers encourus par une démocratie bafouée. Alors que l'urgence climatique devrait monopoliser toutes les énergies, que la lutte contre les injustices devrait sous-tendre toute action politique, la dilapidation et le mépris règnent sans partage pour le plus grand malheur des générations à venir.
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Parce qu'Emmanuel Macron conteste l'étiquette de « président des riches » qu'on lui attribue, les sociologues Michel Pinçon et Monique Pinçon-Charlot se proposent de démontrer, à partir des faits, la réalité de son projet politique profondément inégalitaire : multiplication des mesures en faveur des plus riches, payées par les classes populaires. Chronique d'une guerre de classe.
(...)
Cette enquête démontre « par des moyens sociologiques, en croisant le contenu de sa politique sociale et économique avec sa trajectoire sociobiographique et le maillage oligarchique de son pouvoir » qu'Emmanuel Macron est bel et bien le président des ultra-riches. Si chaque mesure politique prise depuis son élection pourrait, plus ou moins, être défendue isolement et avec une mauvaise fois certaine, celle-ci ne résiste pas à l'étude de l'ensemble qui trahit une claire volonté d'enrichir les très riches aux dépends des plus pauvres et ne laisse aucun doute sur la réalité de cette guerre de classes. La mise en lumière des faits et gestes, leur interconnexion est cruelle. le vernis soudain s'effrite. Ne reste plus qu'à puiser dans cette mine d'arguments irréfutables et chiffrés pour empêcher les traditionnels éléments de langage de le reconstituer.

Article complet sur le blog.
Lien : https://bibliothequefahrenhe..
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critiques presse (2)
LaCroix
15 février 2019
Mélangeant sans complexe science et polémique, Michel Pinçon et Monique Pinçon-Charlot explorent les « connivences oligarchiques » du président de la République.
Lire la critique sur le site : LaCroix
LeMonde
05 février 2019
Dans Le Président des ultra-riches, leur nouvel essai, Michel Pinçon et Monique Pinçon-Charlot observent en badauds l’entre-soi de la bourgeoisie face aux « gilets jaunes ».
Lire la critique sur le site : LeMonde
Citations et extraits (26) Voir plus Ajouter une citation
Les provocations d’Emmanuel Macron sont cohérentes : elles expriment à la fois la personnalité d’un dominant convaincu de sa supériorité et la violence d’une politique de classe. Car, sous les mots, il y a la réalité d’une action : une offensive lancée face aux classes populaires et aux acquis de leurs luttes, où les premières sont désignées comme des coupables à mater et les secondes comme des fardeaux à supprimer. 
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Le postulat paradoxal de cette destruction en règle du droit du travail, c’est que la fluidification des licenciements va doper l’embauche. Qu’en pense la science économique dominante ? Interrogée précisément, elle peine à répondre, ainsi que s’en amuse Frédéric Lordon : « Certains se souviennent peut-être de cette stupéfiante émission de C dans l’air du 26 juin où la présentatrice lit benoîtement une question d’internaute : “Y a-t-il des exemples de dérégulation du droit du travail ayant permis de réduire le chômage et la précarité des salariés ?” Grand silence frisé, tout le monde se regarde. Et puis Raymond Soubie, dans un demi-borborygme : “Euh non…” Le 21 septembre, au 7-9 de France Inter, la science économique en majesté avec Philippe Aghion. Question : “Y a-t-il un lien prouvé et démontré entre la facilité à licencier et la facilité à embaucher ?” Réponse aux avirons : “Je pense qu’il y a eu des études, je ne peux pas vous dire quelle étude, mais enfin c’est prouvé, c’est établi.” La science donc, un peu bafouillante, mais la science : il doit y avoir “une étude” quelque part, mais on ne sait plus où on l’a mise, ni même si elle existe, peu importe en vérité : “C’est prouvé.” Ah mais flûte, voilà qu’on a retrouvé une “étude”, du Conseil d’analyse économique, dont Aghion fut membre de 2006 à 2012, et qui dit ceci : “Il n’y a pas de corrélation démontrée entre le niveau de protection de l’emploi et le chômage.”
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Aux think tanks et aux clubs s’ajoutent, dans la fabrique de l’influence, les cabinets de lobbying qui pullulent autour des assemblées parlementaires. À Bruxelles par exemple, le lobby de la finance emploie quelque 1 700 salariés dans divers clubs et associations, soit quatre fois plus que de fonctionnaires européens chargés de la régulation financière. L’AmCham, qui regroupe cent quarante-cinq des plus grosses entreprises américaines implantées en Europe parmi lesquelles les géants Boeing, Monsanto, McDonald’s ou General Motors, est l’un des plus puissants lobbies d’entreprises nord-américaines en Europe.

Pour la petite histoire, ses archives indiquent que le 8 octobre 2013 de 13 heures à 15 heures, « Emmanuel Macron, secrétaire général de la présidence de la République française, a rencontré les leaders d’AmCham France pour discuter des perspectives économiques françaises et de l’agenda de réformes du gouvernement français.
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E.Macron a évoqué le 14 octobre 2017, dans une interview au Spiegel, une France soi-disant "paralysée par l'envie"...
Ainsi, se mobiliser pour défendre ses conditions matérielles de vie ( logement, salaire, pouvoir d'achat...) est renvoyé quand il s'agit des classes populaires, du côté du vice, de la cupidité ou de la mesquinerie.
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Quelques milliers d’ultra-riches en « costard sombre » ce n’est pas le peuple, ce n’est pas la France, c’est une petite minorité. On ne peut pas les laisser, ces factieux à Rolex, ces casseurs en col blanc, continuer à piller nos vies.
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