Après plus d’un siècle de centralismes, la normalisation et l’enseignement de langues telles le catalan, le corse, le breton, l’alsacien ou l’occitan semblent des questions relativement simples que les états pourraient régler dans le cadre de propositions comme celles du Conseil de l’Europe.
L’auteur montre qu’il n’en est rien. à l’échelle du continent européen, ces langues sont beaucoup plus variées qu’on ne le pense usuellement. Elles expriment des ... >Voir plus