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Disons le d'emblée, ce n'est pas le meilleur Preston and Child que j'ai pu lire. La première partie m'a beaucoup plus passionnée que la seconde. Les batailles navales et ce capitaine de l'armée chilienne qui s'enfonce dans sa colère et sa vengeance ne m'ont que peu intéressée. Mais les plumes des auteurs restent qualitatives et puis on le retrouvera avec plaisir dans d'autres aventures... de préférence, celles où Pendergast est présent !
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Ce livre est loin d'être une des meilleures collaborations de Preston & Child. A de rares exceptions près, il manque de rythme et les personnages ne sont pas attachants.
Résultat: j'ai eu beaucoup de mal à entrer dans l'histoire
La suite "A comme Apocalypse" est heureusement bien meilleure et peut se lire indépendamment :)
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L'expédition de l'extrême, une course contre la montre. Des risques inconsidérables pour être le premier. Cette mystérieuse météorite n'est malheureusement pas facile à approcher et tout va vite virer au cauchemar.
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Le début est long entre 150/200 pages puis lorsqu'on est bien dans l'histoire on a envie se savoir quel est le secret de la météorite. Il manque notre inspecteur Pendergast pour résoudre l'affaire mais Eli Glinn le remplace parfaitement. L'histoire m'a fait voyager.
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Eh bien je n'arrive pas à savoir si j'ai aimé ou pas.
J'ai pris ce livre sans reflechir dans un Emmaüs
pensant que c'était un livre avec leur personnage principal Pendergast. Pas du tout. C'était un livre d'aventure qui ressemblerait à un film catastrophe. Très intense. C'est bien écrit, mais loin de ce à quoi je m'attendais comme livre. Je reste mitigé entre les personnages plus ou moins caricaturaux et une fin…etonnante
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Une météorite de 25 000 tonnes, la plus imposante jamais trouvée sur terre, dotée de propriétés explosives, est encastrée dans le sous-sol de Desolacion, île inhospitalière située au sud du Cap Horn. Pourquoi pas ? Puisque c'est bien à la chute de ce type de caillou que les scientifiques imputent la disparition des dinosaures. Informé de son existence, Palmer Lloyd, 3ème homme le plus riche du monde, collectionneur de trésors soustraits plus ou moins légalement au patrimoine de l'humanité, décide de monter une expédition pour aller rafler l'unique et inestimable objet, au nez et à la barbe des autorités chiliennes. Mégalomane, il construit dans la vallée de l'Hudson, le Lloyd Museum dont la vocation est de faire ressembler le New York Museum à un cabinet de curiosités.


La dotation financière étant illimitée, les meilleurs experts mondiaux, donc américains selon Preston & Child, sont recrutés. La solution retenue pour transporter le caillou est la cale d'un bateau au fond de laquelle il sera déposé. Compte tenu de sa taille, le seul bâtiment envisageable est un superpétrolier. Qu'à cela ne tienne, Palmer Lloyd achète un tanker flambant neuf, le Rolvaag, maquillé en épave pour ne pas attirer l'attention.


Il s'agit d'un roman d'aventures qui aurait pu être excellent en raison de l'idée de départ et des personnages créés, mais qui s'avère, hélas, décevant à cause de son manque de vraisemblance, notamment dans la course maritime opposant le Rolvaag et un bâtiment chilien aux confins de l'Antarctique, mais également et surtout dans son épilogue La fin est modeste et irréaliste par rapport à l'ambition du projet, et largement prévisible. Les histoires personnelles, psychologies et motivations des principaux protagonistes, sont quant à elles,  esquissées et analysées superficiellement. Il reste une histoire nerveuse, rapide, qui se lit facilement en retenant l'attention du lecteur sans qu'il ait envie de l'interrompre.
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Bienvenue à bord du Rolvaag ! Non, nous ne partons pas en croisière mais en expédition aux confins du monde, là où l'air est plus froid que la mort. “Pour faire quoi ?” me demandez-vous en enfilant votre doudoune. Pour trouver ce qui serait la plus grosse météorite jamais tombée sur Terre et en faire la pièce maîtresse du musée d'un millionnaire un brin égocentrique.

Pour réaliser cette tâche, le millionnaire signe un contrat avec EES, une entreprise spécialisée dans la réalisation de tâches qui semblent impossibles. C'est simple: EES n'a jamais échoué. Cela grâce, notamment, à Eli Glinn, tête pensante d'EES et ancien militaire, obsédé par la peur de l'échec.

Vous vous en doutez, l'existence de la météorite s'ébruite, et EES devra faire face à quelques difficultés.
Ça a l'air bien non ? Et pourtant...qu'est-ce qu'on se fait chier !

Ce que je viens de vous résumer dans le paragraphe ci-dessus, ce sont les 300 premières pages. Je n'exagère pas. Oui, un livre ce n'est pas qu'une intrigue, un scénario, c'est un ensemble. Bien. Regardons donc les autres points: les personnages et leurs développements, et le rythme par exemple.

Catastrophique.
On le sait: un livre de Preston & Child possède toujours un rythme assez lent (série de Gideon Crew mise à part). Prendre le temps de poser l'intrigue, nous présenter les personnages, de nous emmener en aventure en douceur et d'instaurer une ambiance. Ça ne me dérange pas, Preston & Child est mon duo d'auteurs préféré. Je sais à quoi m'attendre. Mais ici, c'est mou. Une partie de petits chevaux chez mamie le dimanche à 15h a plus de rythme que ce roman.

Attendez-vous également à des termes nautiques toutes les 15 lignes. Oui c'est un livre sur un bateau. Mais c'est trop, ça casse le rythme qui a déjà du mal à trouver son point de patinage pour démarrer: avec ces ajouts superflus le livre ne fait que caler. Mais en tout cas ça a du positif: vous serez un plus grand marin que le capitaine Haddock lui-même à la fin de ce bouquin !

Parlons rapidement des personnages: ils sont bons sans être transcendant. Mais il faut admettre qu'hormis Eli Glinn (qu'on retrouve dans la série Gideon Crew), éventuellement Palmer Loyd -le millionnaire-, et Sally Britton -la capitaine-, j'ai déjà oublié les autres personnages depuis longtemps. Petit point bonus (c'est ironique) pour les pseudos romances clichées au possible, amenées avec la délicatesse d'un éléphant dans un magasin de porcelaine. Ce n'était vraiment pas nécessaire.
Bien que le développement des personnages soit correct, je n'ai pas réussi à émotionnellement embarquer avec eux.
On notera tout de même qu'Eli Glinn sauve le roman à lui tout seul.

Une petite citation hors contexte avant de passer à la conclusion ? “Gardez votre or, señor, et mettez le dans le coño de la putain qui vous sert de mère”

CONCLUSION:
C'est douloureux de devoir dire du mal d'auteurs que j'adore. J'ai essayé d'apprécier ce roman en passant outre le manque d'informations supplémentaires sur Eli Glinn: c'était ma raison de lire ce livre. J'ai essayé d'aimer ce livre pour ce qu'il était et non pour le prequel de la série Gideon Crew pour lequel je le prenais. Mais il n'y avait rien à faire. Il fallait se rendre à l'évidence: le bateau prenait l'eau, je devais lâcher ce livre le plus vite possible.

J'ai mis plus de trois semaines à lire ce livre -dont deux à repousser la lecture-, plus d'un mois à réaliser cette critique -dont trois semaines à repousser l'écriture car je savais que ce serait négatif et je ne voulais pas être trop méchant. Quand on termine un livre et qu'on a l'impression d'être libéré d'un poids ce n'est pas normal.

Cependant, tout n'est pas sombre: c'était un bon roman d'aventure, mais sans rien de plus. Sans aucun des petits plus que je retrouve habituellement chez Preston & Child.

Ce livre c'est comme être happé par un film en zappant un samedi après-midi de pluie: on regarde jusqu'à la fin par respect et pour savoir si ça va devenir intéressant à un moment tout en s'endormant à moitié devant. Et finalement -comme le dit Palmer Loyd page 497 -le film se termine et on se fait remarquer dans un élan de lucidité tardive: “M'en fous”.
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les ingrédients pour un bon p'tit roman d'aventure sont là, mais les cuistots n'en tirent qu'une bouillie insipide proche des horreurs industrielles. C'est mou, fade, approximatif et superficiel.
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l'intrigue ne partait pas mal du tout : si l'on peut regretter un milliardaire mégalomane et un scientifique de terrain un poil stéréotypés (j'ai d'ailleurs surnommé Palmer Lloyd « Hammond » la moitié du temps dans ma tête), l'aventure – car on est un peu à la frontière entre le thriller et l'aventure – se met plutôt bien en place au début, avec pas mal de petites et grandes énigmes, qui servent des motivations à la fois scientifiques et personnelles pour les différents personnages. On est introduit à la science des météorites, et si j'ai regretté quelques passages un peu abscons avec des explications qui n'auraient pas été perdues sur moi, ce n'est pas trop mal expliqué et détaillé, même si je n'ai pas trop d'idée à quel point ça peut être réaliste.

Les personnages en eux-mêmes ne sont pas tous non plus à jeter, il y en a même certains que j'aimais plutôt bien ou que je trouvais particulièrement intéressants – Eli Glinn et son souci pathologique du détail et des statistiques appliqués, le capitaine Sally Britton que l'on nous présente tout de suite comme un peu mystérieuse, hautaine et réservée mais loin d'être cruelle ; ou bien même le « méchant » de l'histoire qui semble renfermer de sombres secrets… Hélas toutes ces promesses ont été, à mon avis, loin d'être exploitées suffisamment – si les différents caractères nourrissent des séquences d'action très mouvementées l'ensemble m'a également paru parfois un peu forcé, et surtout un peu creux. Ceci dit, ça se lit bien, malgré quelques longueurs dans l'avancement du scénario ici et là je ne me suis pas non plus ennuyée.

Par contre, la fin m'a agacée. Comme je l'ai déjà dit plusieurs fois ici j'ai absolument horreur que les auteurs prennent la tangente dans les quelques dernières pages et s'écartent totalement et brutalement de leur postulat/genre de départ. Je ne vous en dirais pas plus pour ne pas tout vous gâcher, et aussi parce que sur tout le livre cela fait un peu office de détail – encore qu'à mon avis c'est toute la fin qui a été un peu bâclée, l'intrigue pas franchement assumée, et pas juste la conclusion finale. Mais ça m'énerve et à chaque fois que ça m'arrive je sors du livre avec une mauvaise impression toute fraîche alors que je n'ai pas forcément détesté le reste !

Je vous parlais également du style, un peu plus haut. Je ne peux décemment pas clamer que ce livre a été écrit avec les pieds ou que le vocabulaire souffre de rachitisme, non, dans l'ensemble c'est plutôt pas mal, mais encore une fois après ma précédente lecture de ces mêmes auteurs il me manque quelque chose, j'ai l'impression d'avoir perdu un peu en qualité.
Lien : https://croiseedeschemins.wo..
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C'est un roman monumental ! Des moyens énormes, des enjeux gigantesques à l'image de l'astéroïde monstrueux qui est l'objet de la quête de cette équipe de chercheurs.Dans l'esprit du Piège de l'Architecte! Un des meilleurs romans du duo américains.
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