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3,4

sur 160 notes

Critiques filtrées sur 1 étoiles  
Ce roman est certes une satire originale de l'urbanisation et de la construction à tous crins, apparue dans nos cités depuis quelques années et qui ne fait qu'empirer...
Il m'a fait réfléchir à ce que je constate autour de moi, et je me suis prise à penser que ma petite maison quatre façades, loin du centre, avec les contraintes que cela engendre, surtout quand l'âge vient, est peut-être préférable à la promiscuité et aux nuisances d'un appartement en ville, même confortable...
Cela dit, je n'ai pas apprécié la manière dont cette question est présentée dans le roman. C'est parfois drôle, mais généralement froid comme le béton, et mathématiquement organisé comme un plan d'immeuble.
Dès la première ligne, on sait que ça va tourner mal. Les personnages, les situations sont énumérés à la queue leu leu. Les longues descriptions des faits font oublier les personnages qui sont des pions dans l'histoire, et jamais des personnes envers qui on puisse éprouver la moindre empathie.
Rien de passionnant, rien d'émouvant...
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Le rêve d'habiter dans un immeuble neuf qui a remplacé un ancien manoir en centre ville tourne au cauchemar. Présentation un peu à la "Perec" dans "La vie Mode d'Emploi" mais on reste sur sa fin. Les chapitres d'exposition sur la communication des promoteurs immobiliers, l'attitude des agents immobiliers, les syndics sont intéressantes et amusantes, j'ai noté les références faites à d'autres livres sur le sujet, mais après??? On ne saura jamais pourquoi tout est allé de travers. Les mesures prises par les habitants sont délirantes et j'avoue que j'ai terminé le livre par curiosité mais en lisant en diagonale. L'écriture de Bernard Quiriny est fluide mais cela ne suffit pas. Déçue.
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L'affaire mayerling
Mais que c'est long ! Cet immeuble qui en fait voir de toutes les couleurs à ses habitants. D'abord la construction de ce repaire du mal : qui vend , qui fait les travaux, qui achète, qui rouspéte. Puis qui s'y installe : ribambelle de noms et de maux, qui souffre de quoi, qui a le plus de problèmes dans son chez lui. On s'y perd, on confond, on se lasse...
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Une affaire sans intérêt.
Style lourdingue.
Décrochage après lecture laborieuse d'une quarantaine de pages.
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Euh ...
Alors là, ça m'arrive rarement de m'ennuyer autant en lisant un bouquin ....
J'ai été au bout espérant un retournement, quelque chose enfin ... Bernique !
Je m'attendais pas à un chef d'oeuvre, mais enfin, à une intrigue ? Non mais y en a pas en fait, c'est juste lent, pas vraiment amusant, et ça fout l'endormiscite !
Bon, vous vous doutez bien, jle recommande pas vraiment, y a trop de trucs beaux à lire dans la vie pour s'encombrer de rien !
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