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4,13

sur 1104 notes

Critiques filtrées sur 3 étoiles  
Depuis que j'ai lu L'empathie, je surveille du coin de l'oeil l'auteur. Il me fallait donc découvrir ce qu'il en était de ce second roman.

Il faut que je reconnaisse que je suis un peu déçue. Si l'écriture reste formidable et assez prenante, et si le scénario dans ses grandes lignes est réellement très bon et intéressant. J'ai eu plus de mal avec les détails. Un certain manque de réalisme m'a frappée.
J'ai trouvé que les personnages avaient une chance incroyable, toujours là au bon moment, ou alors la chance de retomber rapidement sur la personne recherchée… et ici il y en avait de trop à mon goût, ce qui a nuit à la crédibilité de ce roman.

Je n'ai pas non plus apprécié les sauts entre les différentes époques. J'ai trouvé ça trop abrupt.
Et puis certaines choses sont laissées de coté et traitées de façon succinctes, donc pas assez détaillées pour moi et d'autres tirent un peu en longueur.

Je vais continuer à surveiller l'auteur car il a un grand potentiel, et je me suis peut être arrêtée sur des petits détails car j'en espérais sans doute trop en commençant ce roman.
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Merci à Babelio et aux Editions Robert Laffont pour « Fermer les yeux » d'Antoine Renand. (Un confinement étant passé par là, j'ai reçu le roman 2 mois plus tard que prévu. Mais il a fini par arriver et cela vaut bien un chaleureux remerciement).
L'histoire se situe entre l'Ardèche et l'Ain. Trois personnes vont s'unir pour retrouver un tueur en série et ainsi, innocenter un homme en prison depuis quinze ans : Dominique Tassi, un gendarme à la retraite, Nathan, un jeune écrivain qui interview des tueurs en série et Emma, une jeune avocate.
J'avoue que, durant ma lecture, je me suis trop attachée aux défauts de ce roman, tant sur la forme que sur le fond, pour vraiment réussir à accrocher. Dès les premières pages, je n'ai pas réussi à fermer les yeux (oui, facile) sur l'écriture qui un peu trop basique à mon goût. Les personnages, en plus d'être relativement convenus, manquaient de profondeur. La pointe de la plume, selon moi, n'était pas assez fine pour dessiner plus les détails, les contours et les ombres. Cela ajouté à l'intrigue, cela avait un arrière-goût des séries policières régionales et on aurait pu titrer « Meurtres mystérieux en Ardèche ». Au programme, la chasse à un violent prédateur, agrémentée de quelques moments de romance (l'attirance sans surprise entre deux des personnages). Il serait utile de notifier que, compte tenu des scènes de violence, l'histoire qui va suivre est réservée à un public/lecteur averti.
Le scénario et certaines situations m'ont fait souvent tiquer ou hausser le sourcil, par facilité ou manque de crédibilité… Pour qu'un polar ou thriller me tienne en haleine, que je m'enthousiasme pour une histoire, il ne suffit pas d'une intrigue originale ou des plus ténébreuses, d'un thème sociétal qui m'intéresse ou encore d'actions et d'adrénaline qui montent en crescendo au fil des pages au point d'avoir le rythme cardiaque qui s'emballe et défaille. Non, le style d'écriture est probablement la condition sine qua none pour permettre une fluidité de lecture, sans trop de soubresauts désagréables et pour trouver également de l'intérêt pour les personnages et ainsi, m'attacher à eux.
Malheureusement, gênée par le style, je suis restée à distance, sans réussir à m'y plonger, m'arrêtant plus sur les dialogues manquant de souffle, les mots employés et la technique utilisée.
De petites histoires ou flash-backs s'insinuent dans l'histoire principale. Technique qui permet de peaufiner les traits de caractères des trois personnages, tout en parsemant les pages, çà et là (et de bien entendu) d'un peu d'hémoglobine et de violence, pour satisfaire les âmes en mal de frisson.
Les évènements ne collent pas toujours ni à ce qu'on suppose/connaît d'une enquête policière ni aux caractères des personnages dépeints : les énormes défaillances de l'enquête de base menée par les gendarmes dont Tassi. Ce dernier, alcoolique et cancéreux, hanté par la mort de sa fille, qui va avoir la force de courser quelques méchants. Nathan, la trentaine et quasi imberbe, qui a déjà réussi à interviewer 16 tueurs en série et les faire parler (Dixit : « Racontez-moi, ça m'intéresse »). Oubliant ses phobies et tocs liés à un traumatisme des plus trashs dans son enfance (il n'a pas de chance non plus), il va même être capable, sans prévenir personne, quasi la fleur aux dents, revêtant la tenue du super flic valeureux, d'aller seul aux devants d'embrouilles des plus risquées. L'avocate Emma est plutôt secondaire, mais elle est belle et intelligente, et malgré la pression et le surcroit de travail liés au procès en cours, elle va entamer tout de même une relation amoureuse. On ne lui en demande pas plus à cette belle Emma.
L'auteur Renand, en fin de roman, lors des remerciements, explique que cette histoire était à la base un scénario écrit il y a quinze ans (soit à l'âge de 25 ans environ) et retouchée depuis. Cela peut expliquer les faiblesses de ce roman et je devrais être plus indulgente.
J'avoue ne pas avoir encore compris les raisons de cet emballement quasi collectif. Décidément j'ai dû passer à côté. Décidément je l'ai trop attendu, j'en ai trop attendu. (Peut-être ai-je dépassé mon quota de romans policiers et thrillers).
Au fur et à mesure des jours de confinement, alors que je guettais le facteur, je voyais le nombre de lecteurs de ce roman augmenter. Un peu envieuse, un peu frustrée de ne pas faire partie de ceux-là. Je fantasmais déjà sur ce moment de lecture (tout plaisir et évasion étaient bons à prendre pendant cette période particulière).
Une fois le déconfinement arrivé, j'eus l'agréable surprise de voir dans ma boîte aux lettres cette grosse enveloppe que je n'espérais plus… J'ai délaissé mes lectures en cours, impatiente de découvrir ce roman policier de ce nouvel auteur et de lâcher un ‘'wouahh'' de contentement… Mais, je l'ai attendu, attendu mais le plaisir ni les émotions ne sont pas venus. Je l'ai tant attendu que j'en ai peut-être été plus déçue.
Non pas que ce roman policier soit dépourvu de qualités (il suffit de lire la majorité des billets pour le comprendre). Arrivée aux 2/3 du roman, il est vrai que l'action et les rebondissements m'ont un peu plus intéressée. Mais arrivé aux dernières pages, j'ai dévissé… Je n'étais pas montée très haut, certes, mais quand même, ça fait un peu mal.
Le final (c'est-à-dire l'explication d'un bon nombre de haussements de sourcils face aux scènes et comportements incongrus au cours de l'enquête) ne tenait que sur sept pages (et deux principalement). Et au risque de spoiler encore un peu, je me permets de citer le commentaire d'un des protagonistes : « C'est une histoire abracadabrante »… Je n'aurais pas dit mieux.
La « clé de l'énigme » aurait mérité d'être plus détaillée pour être convaincante. Peut-être n'aurais-je pas alors refermé ce roman avec une pointe d'agacement. C'était comme si on recollait tous les morceaux d'un vase les uns aux autres pour obtenir un truc qui ne ressemble pas à un ersatz de vase mais qu'on devait s'en contenter. C'était comme si Poirot réunissait tous les suspects liés à l'enquête, la tension se lisant sur certains visages, et que regardant l'heure, il énonçait, tout de go, en pointant du doigt : « C'est vous, Colonel Moutarde, avec le chandelier, par pure jalousie ! ». Sur ce, il les laissait, tous médusés, pour aller déjeuner. Rideau…. (J'abuserais en ajoutant : d'autant plus médusés qu'il n'y avait pas de Colonel Moutarde dans la salle ni dans l'histoire).
J'exagère bien sûr mais j'avoue ma déception et ma frustration à ne pas faire partie de la grande majorité qui ont encensé ce thriller (et à me retrouver dans la catégorie des rares pinailleurs de service). Peut-être qu'aujourd'hui, avec quelques années d'écriture, d'expérience et de maturité (même en relations amoureuses), Antoine Renand réussirait à m'embarquer plus aisément dans son récit. Je vous laisse en juger par vous-même avec son second roman « Empathie » (édité en 1er). Je crois que, pour ma part, avec les impairs et les manques de « Fermer les yeux », je passe.
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Un petite fille disparaît , quelques heures plus tard , son corps affreusement mutilé est retrouvé , tenez vous bien , dans les bras d'un marginal du petit village , il n'a jamais été accepté par les habitants qui se connaissent tous .
Il est évidemment le coupable idéal même s'il clame haut et fort son innocence, il a trouvé le corps de la petite fille mais n'a rien à voir avec son horrible mort .
Tout est contre lui , il doit affronter la colère de la foule que plus rien n'arrête , il finira par avouer , des aveux contraints et forcés .
Quelques années plus tard , un autre crime est commis avec la même signature .
Cette fois le commissaire qui s'était occupé de la première affaire va reprendre du service et peut être réparer ses erreurs .
Je ne vous en dit pas plus pour garder le suspense , un roman à rebondissements qui se lit sans pouvoir arrêter .
Plusieurs enquêtes s'entrecroisent , facile à lire mais pour moi un gros bémol , les personnages de l'avocate et du psychologue profiteur sont trop parfaits .
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Ce récit se lit bien cependant je n'y ai pas trouvé à mon grand regret de côté page turner, il y a à mes yeux beaucoup de choses déjà vu comme l'enquêteur Tassi que nous suivons plus particulièrement qui suite à un accident de voiture perd sa fille, il devient dès lors alcoolique et mène donc des enquêtes plus qu'approximatives.

Une des affaires la plus retentissante sur laquelle il a enquêté concerne la disparition d'une tout jeune fille se nommant Justine, le corps de celle-ci est découvert lors d'une battue et très rapidement un coupable tout désigné par la découverte de ce corps et inculpé.

Tassi se retire du métier et 15 ans plus tard des disparitions de jeunes filles semblent se répétées, certains faits non communiqués sur le dossier de Justine se reproduisent, dès lors Tasse va mener son enquête sur ses nouvelles disparitions.

Il va convaincre Nathan qui est spécialiste des tueurs en série de l'aide sur cette enquête et ce duo est plutôt efficace, de même que l'avocate du présumé meurtier de Justine qui va tout faire pour que son client soit reconnu innocent dans cette affaire.

J'ai cependant trouvé quelques longueurs dans le récit et il m'aura manqué de profondeur pour être une bonne lecture, cela étant du au manque d'innovation pour moi dans ce récit.

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Je viens de terminer ce livre qui tient le lecteur en haleine jusqu'à la dernière page, comme le promettent les avis très positifs reproduits sur la couverture. Bien écrit dans un français très correct, il offre un portrait original et très foullé des principaux personnages. Un bon voire très bon livre donc.

Mais je me demande si je suis la seule à avoir été assez mal à l'aise pour devoir par moment refermer le livre pour souffler un peu. Parce que cette histoire ne cesse de rappeler des faits divers sordides d'une actualité récente. Comment ne pas y penser quand par exemple une enfant de 7 ans, décrite comme sage et prudente, accepte de suivre l'inconnu qui prétend lui montrer son chien. La référence à la réalité est même assumée quand, plaidant dans un procès assimilable à un procès en révision, l'avocate de la défense évoque Patrick Dills et Montigny-Lès-Metz.

J'ai apprécié ma lecture, mais j'aurais aimé être prévenue que cette oeuvre de fiction était par moment si proche de la triste réalité.

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Boire un peu trop, prendre la route en étant fatigué, fermer les yeux et provoquer la mort de sa petite fille. Un drame personnel et familial pour le policier Tassi.

Petit bond en avant. Tassi a divorcé, vit seul et est devenu alcoolique (qui osera lui jeter la première pierre ?). Une petite fille disparait par une journée ensoleillée. Tout le village se met en branle pour la retrouver. Hélas, si Tassi aperçoit puis arrête un homme qui porte la malheureuse victime dans les bras, il est déjà trop tard. le suspect est promptement arrêté et inculpé.

Grand bond en avant. Tassi a renoncé à l'alcool, il est retraité et profite comme il peut de son fils et de son petit-fils. Nouveau corps de jeune fille découvert. Stupeur, le corps porte les mêmes traces de torture que celui de la petite Louise assassinée 15 ans plus tôt.
Et si Gabin, l'homme envoyé en prison, était innocent ?
Tassi veut en avoir le coeur net. Il décide de mener une enquête, aidé de l'avocate de Gabin et d'un jeune profileur au passé torturé pour faire éclater la vérité.

Plusieurs surprises, un dernier retournement de situation et hop, l'affaire est bouclée.

Ai-je été séduite ? Bof, pas vraiment. J'ai trouvé que l'histoire était assez inégale. Les bonds dans le temps, l'apparition de nouveaux personnages ne sont pas vraiment bien amenés. Les évènements sont parfois survolés, ce qui nuit à l'attachement éventuel aux personnages. Si l'apparition de l'avocate dans le récit semble logique, celle du profileur sort un peu de nulle part.
Je dirais que le tout manque d'intensité dramatique.
Ce n'est réellement qu'au moment où le coupable fait son apparition dans le roman que je suis parvenue à bien me plonger dans l'histoire, c'est à dire fort tardivement.

Dommage.


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Ce thriller est fait pour les amateurs de sensations fortes, ceux qui apprécient les histoires de tueurs en série et d'erreurs judiciaires. Il y a tout cela et davantage dans ce roman traversé par des personnages complexes, blessés par la vie.
Nous sommes en 2005, et la petite Justine échappe à la surveillance des adultes. Lors d'une battue, tous la recherchent, parmi eux l'adjudant Tassi. Lorsqu'il trouve le corps de l'enfant martyrisée dans les bras de Gabin Lepage, un marginal, il est persuadé qu'il tient le coupable.
Quinze ans plus tard, alors qu'il a pris une retraite anticipée, il revient sur la scène et dénonce une enquête bâclée. Il va apporter de l'eau au moulin de la jeune et brillante avocate de Lepage qui instruit le procès en révision et dénonce les irrégularités de l'enquête. Tassi est bientôt aidé par Nathan Rey, un écrivain spécialisé dans les tueurs en série. Ce trio de choc va remonter plusieurs affaires de disparitions non élucidées, ils vont devoir affronter l'horreur, la manipulation et leur chemin sera semé d'embûches.

Le personnage de Tassi, qui trimballe un lourd passé, oscille entre bien et mal, ce qui lui donne une épaisseur humaine. Idem pour le jeune Nathan dont on ne découvre la terrible histoire que par bribes. Des personnages ambivalents donc attachants. Par contre, j'ai trouvé l'histoire d'amour entre la belle et brillante avocate et le jeune et célèbre écrivain plutôt convenue.
On sent que rien n'est lancé à la légère, tout est bien documenté, et l'histoire maitrisée et bien structurée.
Le lecteur est sans cesse maintenu en haleine par les rebondissements incessants de l'intrigue. C'est bien rythmé, les dialogues nombreux sont efficaces. Pourtant, même si l'écriture est fluide, on peut regretter son manque d'envergure. L'efficacité prime sur le style et c'est dommage.
Tout s'accélère dans les dernières pages, le lecteur est sous l'emprise, même si c'est assez énorme.
Mais, malgré quelques imperfections et facilités, ne boudons pas notre plaisir pour ce roman qui se lit d'une traite.
Je remercie les éditions Robert Laffont et Babelio pour cette lecture.
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Fermer les yeux
C'est vrai que la particularité de certains livres c'est qu'on y entre comme dans l'eau du bain…
Une certaine fluidité, quelques éléments de récits qui attisent la curiosité et incitent à vouloir connaître la suite.
C'est comme dans un « faites entrer l'accusé », on est hameçonné et on a du mal à éteindre la télé. J'avoue que ça a très bien fonctionné sur moi, du moins pour les quatre premiers chapitres.
Mais si on y regarde d'un peu plus près, ce qu'on a qualifié de fluidité s'apparente au fil des pages à une écriture sans grand relief, parfois même insipide, nous délivrant des dialogues d'une grande platitude, et ce qui avait au départ attiré la curiosité ne tarde pas à faire froncer les sourcils.
Le point de départ de l'énigme n'est pas sans rappeler l'affaire Richard Roman, berger marginal et coupable idéal qui défraya la chronique en 1988 et dont les éléments sont presque rapporté à l'identique dans ce récit.
Tout y est, le coupable idéal, un "parisien" marginal que personne n'aime, une enquête bâclée, une foule haineuse, un crime d'enfant sordide, des gendarmes qui "stimulent énergiquement" les aveux...
Dans le roman de Renan, le personnage central est un gendarme qui va mener l'enquête, découvrir le corps et recueillir les aveux. Outre la brigade de gendarmerie, le gendarme Tassi, alcoolique, secondé par son « adjoint » de fortune, l''écrivain-profiler raté et enfin la merveilleuse avocate fermement décidée à faire innocenter le coupable incarcéré depuis de longues années, constituent une galerie de portraits sans grande originalité qui au fil des chapitres se révèlent un peu « creux », sans véritable profondeur ni psychologie, des personnages pour lesquels le lecteur aimerait bien éprouver de l'empathie, sans vraiment y parvenir...
Et puis « Fermer les yeux » propose un scénario très convenu avec des passages un peu grand-guignolesques, frisant parfois le ridicule et des révélations survenant opportunément pour l'auteur, mais pas vraiment pour le lecteur… Et l'adrénaline dans tout ça ? Je trouve que le psychopathe adipeux armé de son tiser, c'est assez facile à rendre gore.
Bref, je referme ce polar qui s'est laissé lire sans déplaisir, distrayant certes mais à mes yeux surévalué sur les différents sites dédiés, ça c'est certain.
L'auteur est dit « prometteur ». Il signe là son deuxième roman policier. Tiendra-t-il sa promesse au troisième?
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Un enquêteur alcoolique, un auteur de polar et une avocate se battent pour faire sortir un innocent de prison.
Je suis bien rentrée dans ce roman : suspense, personnages tourmentés mais au fur et à mesure de ma lecture, j'ai eu l'impression d'un manque et je n'arrive pas à savoir quoi ; de la profondeur peut-être ? Un petit agacement aussi lorsque l'auteur explique la même situation vue par les différents protagonistes, surtout quand on connaît la fin de la scène lors de la première « vue ». Et je ne parle pas de la fin ! Je l'ai trouvé bâclée et un peu incohérente ainsi que l'épilogue complètement inutile. Mais je mets quand même trois étoiles car le suspense était là et l'envie de tourner les pages aussi.
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je découvre Antoine Renand avec fermer les yeux c'est un bon polar qui démarre intensément entre la descente aux enfers de Tassi gendarme et un meurtre odieux. Mais voila malgré mon attachement aux personnages et leurs vécues j'en voulais plus de surcroit je ne m'attendais pas à cette fin...
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