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EAN : 9782848052274
272 pages
Sabine Wespieser (24/08/2017)
3.69/5   47 notes
Résumé :
Je ne sais pas encore que cette cité a été dessinée par le même homme qui pensa l’immeuble dans lequel j’ai grandi. Je ne sais pas encore qu’une pierre de taille, fameuse, me relie à cet endroit. Je ne sais pas encore que, pour aller d’un endroit à un autre, il ne suffira pas de traverser la mer, il faudra traverser la guerre, entendre la lutte et voir se déployer dans des textes, dans des voix, une démente escalade de violence. Je ne sais pas encore que la drogue q... >Voir plus
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Critiques, Analyses et Avis (12) Voir plus Ajouter une critique
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Une nouvelle pépite...coup de coeur !!


Après "La petite danseuse de quatorze ans" d'Edgar Degas, de Camille Laurens, "Gabrïele" des soeurs Berest, sur l'épouse de Francis Picabia... me voilà transportée à Alger et dans les visions novatrices de l'architecte , Fernand Pouillon, dont je méconnaissais absolument l'ampleur de ses réalisations en Algérie, pendant 30 années...
Notre narratrice, Marie, de parents algériens, née à Paris, qui n'a jamais été au bled... se rend à Alger en 2009... Un coup au coeur en découvrant le fameux ensemble de logements pour les gens les plus modestes , "Climat de France" ...réalisé dans les années 50 par Fernand Pouillon; ce même Fernand Pouillon qui quelques années plus tard concevra à Meudon-La-Forêt [ raccourci en M.L.F !!] un bâtiment où l'auteure a passé sa jeunesse...Souvenirs, souvenirs ....entre le passé, l'adolescence de l'écrivaine, le passé plus lointain de la guerre d'Algérie, l'exil de ses compatriotes, la quête de la terre d'origine des parents....

Avec en alternance, un hommage vibrant à Fernand Pouillon, cet architecte engagé, humaniste, qui se retrouve être pour Marie Richeux, la passerelle incroyable entre deux pays, auxquels elle appartient, qui ont tant de plaies à panser !...

Je trouve cette histoire magnifique, redonnant espoir et foi dans les hommes de bonne volonté qui se battent pour leurs convictions et un idéal...ainsi que pour la réunion des peuples .

Ce récit est comme un patchwork multicolore... qui saute du présent de Marie, des gens de son âge aux années 50-60, entre La France, Alger et Meudon, les confidences des anciens émigrés, croisés dans sa jeunesse à M.D.F... Il se dit toutes les douleurs de la guerre, des assassinats, exactions ici à Paris comme à Alger , l'exil, la nostalgie du sol et des odeurs de l'enfance...

C'est aussi une très sensible et profonde réflexion sur l'architecture et le talent de certains à souhaiter ,concevoir et concrétiser comme Fernand Pouillon, des vrais lieux à vivre , même pour les plus modestes: l'importance d'un habitat qui allie la fonctionnalité, mais aussi l'esthétique, l'harmonie afin que les personnes s'y sentent bien... et vivent ensemble,
avec plaisir et convivialité....

A ce propos, je retranscris, parmi tant de passages soulignés, les deux extraits suivants, fortement significatifs :

"Fernand Pouillon imagine s'élever bientôt ici les immeubles d'une cité qui accueillerait dignement, et dans le mélange le plus complet, des êtres humains...pour longtemps, rajoute-t-il dans ses pensées. Au contraire de l'urgence qui préside à la réalisation d'autres grands ensembles,
mais complètement dans le sillon de ceux-ci, non seulement il entend que l'on puisse s'y projeter, y installer sa vie, tout comme il l'a fait à sa plus grande surprise, dans sa maison d'Alger. (...) Un immeuble est une musique." (p. 86)


"Avoir un chez soi est une minable aspiration. Humaine, certes, mais insuffisante, pense Fernand Pouillon en quittant le chantier presque désert de Climat de France. C'est à nous, à moi, l'architecte, de transformer ce besoin primaire en autre chose. Et plus la cellule sera chiche, et plus il me reviendra d'y faire rayonner quelque chose de grand. Il faut cesser
de revoir à la baisse le désir d'habiter. Chez soi n'est pas suffisant. Il faut vivre dans plus grand que chez soi. Il faut des palais pour les humbles. Mes palais. " (p. 59)

Autofiction très riche, émotionnellement comme intellectuellement. Ce récit , à la fois très personnel rejoint la "Grande Histoire" par le biais d'une personnalité emblématique: ici , il s'agit de cet humaniste, bâtisseur, Fernand Pouillon, dans un autre ouvrage, lu très récemment, avec le même enthousiasme et émotion, cela sera l'éditeur algérois, Edmond Charlot, qui permettra à sa jeune auteure de questionner, et de re-visiter l'histoire de la terre de ses parents, l'Algérie...hier et aujourd'hui !
[ cf. "Nos richesses", éditions du Seuil ]

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[****Petites parenthèses personnelles:
1- j'habite depuis 4 années à deux pas de Meudon -La- Forêt... Et j'apprends que Fernand Pouillon a imaginé et construit dans les Hauts-de-Seine, entre Montrouge, Boulogne-Billancourt et Meudon... Il me reste à aller voir tout cela de plus près !!]

2-J'ai prolongé l'enthousiasme de cette "pépite" par une liste exclusivement consacrée à "Fernand Pouillon, architecte de la pierre ... et architecte du Livre"... Car j'ai appris, en approfondissant mes recherches sur ce "bâtisseur", qu'il avait aussi créé sa maison d'édition pour publier de somptueux livres rééditant des grands ouvrages d'architecture, introuvables.... de 1974 à 1986...


voir aussi selon votre envie de poursuivre votre connaissance de Fernand Pouillon, le lien suivant :
http://tipaza.typepad.fr/mon_weblog/2014/05/l%C5%93uvre-alg%C3%A9rienne-de-fernand-pouillon.html]
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C'est un roman qui plonge dans la mémoire des uns et des autres. Ici et là-bas ; en Algerie et en France.
Le fil conducteur de ce texte, poétique, profond et lucide est un architecte, Fernand Pouillon ; c'est lui qui a imaginé deux cités, l'une à Alger et l'autre à Meudon-la-Forêt, en région parisienne. La romancière se souvient d'une nuit de chant dans sa cité, un chant pour guider l'âme du mort, Abdelkader, victime d'une overdose à l'âge de 33 ans. Malek le père d'Abdelkader est arrivé à Paris au début de la guerre d'Algérie: c'est dans cette ville où la guerre fait rage entre le MNA et le FLN qu'il rencontre Lucienne avec laquelle il va habiter dans un petit appartement près du métro Parmentier.

Lucienne a déjà un enfant, le bonheur sera encore au rendez-vous avec la venue au monde d'Abdelkader. C'est bien plus tard que le couple ira vivre à Meudon-la-Forêt. "Nous passons la journée à rouler dans Alger, nous nous arrêtons chez des amis, buvons des limonades, répétons nos prénoms, sommes bientôt tout en haut, dans le petit jardin de poussière qui entoure Notre-Dame-d'Afrique. Les mains sur la barrière, alors qu'Alger m'offre une de ses belles vues, je pense à la grande cité de Bab el-Oued comme à un amoureux laissé brutalement et dont je ne connaîtrais pas le nom. Je ne sais pas encore que cette cité a été dessinée par le même homme que celui qui pensa l'immeuble où j'ai grandi. Je ne sais pas encore qu'une pierre de taille, fameuse, me relie à cet endroit. Je ne sais pas encore que, pour aller d'un endroit à un autre, il ne suffira pas de traverser la mer, il faudra traverser la guerre, entendre la lutte et voir se déployer dans des textes et des voix une démente escalade de violence".

Roman sans chronologie, Climats de France brasse plusieurs haltes historiques pour interroger la folie des hommes et leur don d'installer indéfiniment le malentendu. Jacques Chevallier, ancien maire d'Alger, Fernand Pouillon, l'abbé Pierre, Germaine Tillion s'expriment dans ce roman : en peu de mots, ils restituent l'ambiance d'une époque révolue. "La cité se tient au croisement de la violence, de la résistance et de l'espoir sincère de la fraternité. (…) Les hommes travaillent déjà dans le petit jour. Il y a du vivable dans la guerre. Voilà ce que l'on apprend contre soi-même, loin des partitions simples, à soixante ans d'écart". de ses virées algéroises, Marie Richeux saisit la complexité d'un pays qui se cherche. "La guerre mais aussi celles qui ont suivi- la bataille économique des années quatre-vingts, les différents soulèvements kabyles, les années noires-sont sur toutes les lèvres tout le temps. En fait, il n'y a aucun répit, finis-je par me dire. Ni répit, ni repli."

Marie Richeux évoque également dans ce roman, avec des mots très forts, originaux et précieux, dénués de toute haine insensée, la violence terroriste qui frappe la France ces dernières années. Climats de France est un roman que parcourt une douce et belle clarté, telle celle qui existe en Afrique et qui manque terriblement à tous les exilés. Climats de France est un bijou qu'il faut posséder, lire et relire ; c'est une perle rare qui incite à devenir meilleur que soi-même..
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1997 : des chants de deuil résonnent. Marie, 13 ans les entend de sa chambre. L'âge du collège, l'âge des balades en forêt, avec un copain. L'âge où l'on se regarde, s'admire, doute de soi, dans ce grand miroir de l'entrée de l'immeuble. Miroir qui ne servira pas qu'à refléter une silhouette d'adolescente.

Elle habite à Meudon-la-forêt,  Résidence du Parc, cité nouvelle imaginée et mise en oeuvre par Fernand Pouillon. La construction s'étale de 1957 à 1962. 
1962 : indépendance de l'Algérie.
Résidence du Parc : 2635 logements.

1956 : Alger. Clairvoyants, les parents de Malek l'envoient en France. Jeune homme arrivé à Paris, il rencontre Lucienne, Française de France. Ils habitent à Paris, rue Parmentier.
 Un peu plus tard, Malek emménage avec sa famille dans la Résidence du Parc de Meudon-la-Forêt.

1957 : Fernand Pouillon achève enfin la fin de la construction de Climat de France à Alger.
5000 logements. 
Commande passée pour loger décemment celles et ceux qui vivaient dans les bidonvilles.
Un grand ensemble ambitieux qui s'érige sur des colonnes bordant une grande place. 

---------------------

Malek. Abdelkader. Marie. Trois générations qui ont cohabité. Deux familles voisines, natives de continents différents. 
Marie Richeux est en quête de comprendre ces bâtiments. Elle relie dans son livre les oeuvres architecturales de Fernand Pouillon érigées à Alger et à Meudon à quelques années d'intervalle. Mais surtout, elle donne sa voix à Malek qui est le lien entre ces deux pays, ces deux bâtiments, ces différentes générations. 
Un magnifique récit qui au-delà de l'aspect architectural dévoile la vie de Malek, sa réserve, son humilité, sa tragédie. le talent de l'auteur est de réussir à émouvoir en gardant une écriture sobre, sans pathos, tout en retenue.
Un livre qui m'a émue, qui m'a fait pleurer.

UN GROS COUP DE COEUR. MERCI.
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Marie Richeux anime l'émission « Par les temps qui courent » sur France Culture, émission qui fait partie de celles que j'écouterais bien régulièrement si les journées étaient un peu plus longues ! Après avoir publié un recueil de ses chroniques et un essai sur Achille, Sabine Wespieser vient donc de faire sortir le premier roman de la jeune auteure. Grâce à une rencontre en librairie, les voir et les écouter ensemble est une très belle illustration de ce que peut être la connivence entre un auteur et un éditeur, et cela fait vraiment plaisir et donne envie de lire ses livres, bien sûr.

Ce roman tourne autour de l'architecte Fernand Pouillon et de deux ensembles emblématiques qu'il a construits, l'un à Meudon-la-Forêt, l'autre à Alger. Marie Richeux, en voyage en 2009 dans la capitale algérienne, ressent une certaine proximité avec l'immeuble « Climat de France » qui domine la ville, et elle se rend compte qu'elle a grandi dans un ensemble bâti avec les mêmes idées, les mêmes souhaits, la même pierre. le roman enquête sur l'architecte mais aussi sur Malek, son voisin venu d'Oran, et devenu chauffeur de taxi à Paris. La guerre s'invite aussi dans le roman, jamais trop présente, puisque Malek est arrivé à Paris avant qu'elle ne débute, mais incontournable par les cicatrices qu'elle a laissée.

Les chapitres alternent les personnages et les époques, et on ne peut que se laisser porter par l'écriture très dense, musicale et sensible. Les années s'empilent comme des étages pour que l'immeuble de Meudon-la-Forêt prenne forme. Rêve d'architecte, construction, achat, emménagement, premiers voisins, enfants qui vont à l'école, voisin qui part travailler, visite d'amis, panorama de la fenêtre, souvenirs de pizzas devant la télé, d'amitiés, de disparitions, de deuils, construisent un appartement autant que la pierre. L'auteure s'est intéressée à la possibilité que l'endroit où l'on habite, notamment dans son enfance ou sa jeunesse, les voisins que l'on fréquentent, façonnent la personnalité autant que la vie familiale ou scolaire. Elle a aussi réfléchi à la mémoire et à ces bribes d'enfance inscrites dans la pierre.
Rarement la conception d'un roman sous forme de puzzle n'a aussi bien convenu au sujet choisi. Pour moi, les petites phrases courtes, parfois sans verbe, me séduisent un peu moins, mais ce texte a de grandes qualités, et plaira sans aucun doute à ceux à qui parlent les thèmes de l'architecture, de l'Algérie ou du « vivre-ensemble », qui prend ici tout son sens.
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Ce livre est un premier roman, et ce qui est intéressant, au-delà de cette étiquette « premier » est qu'il est écrit avec une plume singulière.
Ce roman nous plong dans le passé commun de la France et de l'Algérie par le biais d'un architecte qui construisit des cités de part et d'autres de la Méditerranée, des cités construites pour que des gens vivent, non pour qu'ils y soient parqués. La narratrice a vécu dans une de ces cités, son voisin de pallier, Malik, a connu les deux. Grâce à lui, elle raconte les souvenirs liés à ses lieux.
Ce n'est pas un catalogue, ce n'est pas un article érudit d'encyclopédie. Ce sont des brides de vie, saisies dans les méandres des souvenirs. La chronologie n'est pas linéaire, d'ailleurs, aurait-ce été utile ? Non. Il est des faits qui ne peuvent pas être racontés tout de suite, de but en blanc, il est une gradation dans ce récit, avec en point d'orgue, la fin de ce texte.
Il est aussi un fait que j'ai moi-même constaté. Il existe une chronologie historique d'un côté, une chronologie personnelle de l'autre, et les deux peuvent ne pas se rencontrer.
Une auteur à suivre.
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critiques presse (2)
Liberation
10 décembre 2018
Le «roman», de belle facture chez Sabine Wespieser éditeur, jette un éclairage cru sur une jeunesse enfouie dans les replis d’une mémoire collective. Plus que roman, il est initiation : celle de la narratrice, par sensations tenaces, impressions fugitives, et bientôt enquête chevillée au corps, entre les fêtes fragiles du Paris contemporain.
Lire la critique sur le site : Liberation
LeFigaro
15 septembre 2017
Marie Richeux suit les traces de l'architecte Fernand Pouillon sur les deux rives de la Méditerranée.
Lire la critique sur le site : LeFigaro
Citations et extraits (29) Voir plus Ajouter une citation
Je laisse derrière moi cet endroit dont on apprend plus tard qu'il se dit cité-dortoir. (...) Où vis-tu ? Meudon-La-Forêt. pour moi, mon frère, les amis de mon frère, quelques amis, il y a toujours dans cette réponse un mélange de fierté et de silence. Ce lieu d'où nous ne cesserons de partir pour grandir, nous ouvrir , aller au cinéma, découvrir des musées, a une identité propre dont nous nous réclamons quand nous n'y sommes pas, sans être en mesure d'en dire grand-chose. (...) Rentrer, c'est marcher vers les arbres. c'est faire l'expérience de toutes les perspectives y menant. (p. 68)
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- Le livre, tu vas le faire comment ?
-Je ne sais pas encore. Je voudrais raconter ça. Ces immeubles où j'ai grandi. Ce que c'est que vivre sur le même palier que quelqu'un. Je voudrais raconter comment l'Algérie s'est soudainement rappelée à moi. (...) Comment d'une vie sans lien entre les rives on passe à un tissu cousu serré. (...) je ne connais personne qui m'ait dit quoi que ce soit sur ce pays. Je voudrais raconter comment cet immeuble s'élève pourtant entre autres sur la guerre d'Algérie et l'exil. Et dire que j'y ai passé vingt ans, sur le même palier que toi. Je voudrais dire la puissance d'un palier, qui me fait découvrir un jour que tu es né là-bas. (p. 48)
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Fernand Pouillon imagine s'élever bientôt ici les immeubles d'une cité qui accueillerait dignement, et dans le mélange le plus complet, des êtres humains...pour longtemps, rajoute-t-il dans ses pensées. Au contraire de l'urgence qui préside à la réalisation d'autres grands ensembles, mais complètement dans le sillon de ceux-ci, non seulement il entend que l'on puisse s'y projeter, y installer sa vie, tout comme il l'a fait à sa plus grande surprise, dans sa maison d'Alger. (...)
Un immeuble est une musique. (p. 86)
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Fernand Pouillon dit avoir eu l'idée d'un monument, et c'est un monument qui naît sur les plans. "L'inverse du mépris. l'élévation. " On reconnaît cela aux premiers calculs, aux premiers dessins. alors le travail allège les poids qui affaissent ses épaules. (...)
Il en va des choses comme avec les gens. Ceux dont on sent qu'ils nous accompagneront nous accompagnent. ( p.61-62)
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Elle me raconterait l'histoire autrement et me consolerait, peut-être, de n'avoir à entendre que si peu de voix de femmes. A Alger, à Paris, sur le chantier de Meudon-La-Forêt, au ministère du Logement, dans les bureaux de l'architecte, leurs voix me manquent. (p. 122)
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