"Le rêve de Jérémie" est le 3ème tome de la série "les pauvres aventures de Jérémie" mais au moment de l'emprunter à la bibli je ne le savais pas. Je n'ai donc pas lu les volets précédents, ce qui n'a en fait aucune importance. En effet, "le rêve de Jérémie" se lit très bien indépendamment.
Comme à son habitude, Sattouf propose un récit très ancré dans le quotidien, où il ne se passe finalement rien d'extraordinaire mais qui se révèle très addictif. Cela grâce à son grand sens de l'humour et à son dessin si reconnaissable, expressif et dynamique.
Les personnages participent à la réussite de la B.D, ils sont extrêmement sympathiques et très attachants malgré leurs travers.
Derrière les péripéties rigolotes, il y a aussi une pointe d'émotion et des thématiques intéressantes qui sont abordées à travers les différents personnages. Jérémie a des angoisses liées à la peur de s'engager dans la vie commune, Jean-Jacques se pose des questions sur son avenir professionnel tandis que sa soeur a des envies de maternité. Des thématiques qui interpelleront les trentenaires qui sont souvent concernés par ces problèmes et qui pourront rappeler des souvenirs à d'autres.
C'est donc avec plaisir que j'ai lu cette B.D. Cela faisait quelques temps que je n'avais pas lu de Sattouf. Ce 3ème volet m'a donné envie de me remettre à lire des ouvrages de lui, à commencer par les 2 premiers tomes de cette série.
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Jubilatoire ! Les aventures de trois compères. 2 garçons et la soeur de l'un deux. Boulot, pétard, musique, embrouilles. Personnage de Jérémy timide et attachant. Comment vivre avec une fille riche surtout quand son meilleur ami rêve de l'emmener dans la boîte d'échangistes d'à côté. Drôle, moderne, du bonheur quoi !
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Dernier tome des aventures de Jérémie qui a évolué depuis le dernier tome.
Il a rencontré une jeune fille avec qui il est sur le point de s'installer. Elle est très très douée, très très très riche et Jérémie a parfois un peu de mal à s'y faire, surtout que ses amis ne sont pas toujours tendres avec lui.
J'ai bien aimé la part d'histoire consacrée à Sandrine, je dois avouer que j'ai ri et que sa relation avec ses collègues n'a pas été sans me rappeler certaines choses.
C'est toujours assez vulgaire, c'est toujours puéril mais on ne peut nier que ce tome est peut-être un peu moins potache que les précédents.
Ce n'est pas de la grande BD mais ça se laisse lire (et ça va sans doute vite s'oublier)
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Ça y est, Jérémie s'est casé, avec une fille super jolie et super riche en plus ! On pourrait croire que cela suffirait à apaiser ses angoisses, mais non !
Jérémie reste égal à lui-même en nous faisant rire avec son tempérament de "loser" gentil. Quel dommage qu'il n'existe pas d'autres aventures de Jérémie, je m'étais vraiment attachée à ce personnage.
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Après la peste, le roi Henri VIII fit ouvrir des maisons closes, pour repeupler l'Angleterre. N'importe qui pouvait y aller, homme comme femme, même marié. Cette débauche était autorisée par le mot "Fuck" gravé sur les frontons de ces boîtes à partouze. Fornication Under the Consentment of the King... C'est de là que vient le mot fuck.
Chère Sandrine, Jouer avec toi au ping-pong ne me suffit plus. Je suis amoureux de toi, veux-tu sortir avec moi ? A bientôt ! Thomas
Riad Sattouf : "Malgré mon ego surdimensionné, jamais je n’aurais pensé être Grand Prix d’Angoulême"