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EAN : 9782290137215
96 pages
J'ai lu (13/09/2017)
5/5   9 notes
Résumé :
La maladie d'Alzheimer est complexe, déroutante, imprévisible, et on ne sait pas la guérir : elle fait peur à tout le monde. Pourtant, la première chose dont le malade a besoin (son entourage aussi) c'est d'être rassuré. Là-dessus, tout le monde est d'accord. Comment y arriver? C'est toute la question.
Colette Roumanoff est devenue experte dans l'art de dédramatiser la maladie d'Alzheimer. Avec des exemples nombreux, précis et très concrets, elle explique com... >Voir plus
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Critiques, Analyses et Avis (2) Ajouter une critique
Petit guide très intéressant et concret qui donne des pistes aux aidants, chaque cas étant unique, pour essayer de s'adapter aux comportements des malades et de répondre à leurs besoins.
Il permet d'appréhender un peu mieux les problèmes des malades, la perception évolutive de leur environnement et leur ressenti pour ne pas franchir la ligne jaune par des réactions, attitudes ou réponses inadaptées.
A lire pour mieux vivre les nouvelles relations à établir.
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Je ne m'étendrai pas sur les raisons qui m'ont conduite à me procurer ce livre mais je ne peux que le recommander à toutes les personnes qui sont confrontées à cette horrible maladie dans leur entourage.

En quelques pages l'auteure nous offre ses conseils, sa vision de la maladie, nous fait partager ses propres doutes et la façon dont elle a tout essayé pour comprendre les nouvelles attitudes de son mari.

C'est instructif, plein d'espoir et la lecture nous fait relativiser l'horreur et parvient à nous donner la sensation que le pire n'est pas encore arrivé ou à venir mais surtout qu'il y a encore de très bons moments à passer ensemble.

Lien : http://delcyfaro.blogspot.fr..
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Citations et extraits (10) Voir plus Ajouter une citation
C’est un polytechnicien qui prend une puce. Il lui dit « Saute ! » Elle saute. Il lui coupe les pattes. Il lui dit « Saute ! » Elle ne saute pas. Il note sur son carnet : « Quand on coupe les pattes à une puce, elle devient sourde. »
C’est ainsi que l’intelligence, quand elle ignore le ressenti, peut arriver à affirmer et à prouver à peu près n’importe quoi.
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Si on a opéré la conversion du temps et pris l’habitude de vivre au jour le jour, si on sent que le temps est compté, il devient précieux et on ne peut plus faire n’importe quoi de ses journées. Alors il y a des chances pour que l’on se regarde soi-même avec bienveillance et qu’on aménage sa vie à son goût.
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La grande plaie de la vieillesse comme de la maladie d’Alzheimer est la passivité obligatoire et forcée infligée à nos aînés. C’est une double peine, car les capacités diminuent d’autant plus vite que l’on ne s’en sert pas.
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Ce sont les personnes qui ont le plus de déficiences cognitives qui portent le plus d'attention aux personnes qui les approchent. Cela peut paraitre étrange, mais on le comprend assez bien : ils ne peuvent pas juger une personne sur son apparence, car les critères sociaux que les personnes dites "normales" appliquent automatiquement leur manquent, tout simplement. Ils vont donc se référer à l'état intérieur de la personne et sauront évaluer son degré de bienveillance et son degré de sincérité.
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La bienveillance est un parfum qui se perçoit de loin.
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Videos de Colette Roumanoff (2) Voir plusAjouter une vidéo
Vidéo de Colette Roumanoff
Dans le cadre de la programmation spéciale consacrée à la maladie d'Halzheimer ce mercredi 21 septembre sur France 2, Colette Roumanoff et son entourage expliquent à Frédéric Lopez leur combat pour apporter un autre regard sur la maladie.
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