Encore un très bon épisode de cette excellente série, sur les traces de Valérian et Laureline, mais ici, le couple d'agent, seul un est humain. Voilà donc la confédération menacée par les nevronomes, et la tête de nos héros mis à prix. le graphisme est toujours minutieux, fouillis, les décors font dans le monumental, le rythme de l'histoire est enlevé, épique et mouvementé, l'histoire en soi se conclut sur une chute mais amène une suite qui se fait malheureusement un peu trop attendre (prévue en 2018 !).
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Nouveau diptyque et nouvelle histoire.
Le couple de personnage principaux sont passés dans la clandestinité et ce n'est pas simple de s'y faire une place.
Les humains crétins sont sortis du scénario.
La menace est nouvelle et pas des moindre.
Et c'est le prétexte à l'union de rivaux.
Un tome bien rempli.
et un décor à couper le souffle
Vite la suite
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Le scénario de Sylvain Runberg ne nous lâche plus jusqu'à la dernière page. L'intrigue est vraiment passionnante, le suspense est à son comble.
Lire la critique sur le site : Sceneario
On tient là l'un des meilleurs albums d'une série de SF globalement remarquable. Que demander de plus ?
Lire la critique sur le site : Auracan
Complots, trahisons et menaces galactiques sont au menu de ce tome explosif.
Lire la critique sur le site : Bedeo
Remarquable touche à tout, le scénariste Sylvain Runberg parvient à donner un ton nouveau à son récit, non dénué d’humour. Premier épisode de leur quatrième mission, ce nouveau diptyque est un véritable feu d’artifice où, mêlant feutre, gouache, crayon, encres et palette graphique, les couleurs explosent.
Lire la critique sur le site : BDZoom
Orbital sort habilement des canons technologiques de la science-fiction pour emprunter des chemins plus introspectifs et donner ainsi plus d’épaisseur à ses personnages et donc à leur histoire.
Lire la critique sur le site : BDGest
Quand ces vaisseaux vivants ont commencé leurs attaques suicides, ils augmentaient volontairement la température de leur propre corps. Ils libéraient ensuite toutes leurs nanoparticules. Celles ci formaient une sorte de première vague de destruction. Une déflagration qui anéantissait tout ce qui se trouvait dans un rayon de plusieurs kilomètres. Une véritable arme de destruction massive.