AccueilMes livresAjouter des livres
Découvrir
LivresAuteursLecteursCritiquesCitationsListesQuizGroupesQuestionsPrix BabelioRencontresLe Carnet
EAN : 9782501170109
224 pages
Marabout (08/02/2023)
4.31/5   21 notes
Résumé :
Ce livre s'adresse aux femmes qui ont envie de changer concrètement leur quotidien, mais aussi aux hommes qui ne savent pas forcément, en 2023, comment s'y prendre pour jouer le jeu de l'égalité ou comment se comporter au travail, à la maison, en soirée, dans la rue. Car même si une majorité d'entre eux souhaite les mêmes droits pour leur fille, leur femme, leur mère, leur soeur, leur amie, les bonnes intentions sont trop vite balayées par la routine, les stéréotype... >Voir plus
Que lire après Petit manuel du féminisme au quotidienVoir plus
Critiques, Analyses et Avis (24) Voir plus Ajouter une critique
4,31

sur 21 notes
5
11 avis
4
2 avis
3
3 avis
2
1 avis
1
0 avis
Maxime Ruszniewski s'est rapproché de la cause féministe étant lui-même, en tant qu'homosexuel, victime de discrimination (il fait en effet un parallèle entre les deux). Il a embrassé cette cause et se mobilise pour elle, prouvant que le féminisme est l'affaire de tous, hommes comme femmes.

Et c'est plus précisément du côté des hommes que ce manuel se place, une manière de leur ouvrir les yeux sur des choses dont les femmes sont conscientes très tôt, telles que l'objectivation de leur corps, la charge mentale accrue, le plafond de verre, les inégalités salariales, etc.

Je dirais qu'étant familière des essais sur le féminisme, je n'y ai rien appris d'inédit, mais peut être que cela permettra d'éclairer les hommes de bonne foi qui se pensent pour l'égalité hommes-femmes, mais qui ont intégré malgré eux pas mal de stéréotypes et de réflexes dictés par le patriarcat. Mais cela concerne aussi les femmes qui elles-mêmes n'ont pas conscience d'avoir trop bien intégré ces diktats.

Le féminisme ce n'est pas de l'hystérie, ce n'est pas détester les hommes ou agir contre eux. C'est simplement vouloir l'égalité, sans se contenter des avancées durement gagnées (mais jamais acquises !) comme le souligne l'auteur. En cela, tout le monde devrait se dire féministe.

Le propos de cet avocat de formation, journaliste puis conseiller au ministère des Droits des femmes, est étayé de pas mal de statistiques, de rappels à la loi, mais aussi à la politique française. de mon point de vue, cela m'a rendu la lecture scolaire, désincarnée, et en tant que Belge, les spécificités françaises m'ont forcément moins parlé...
Néanmoins, il a raison, me semble-t-il, de dénoncer le manque de moyens mis en oeuvre et le manque de budget consacré à la lutte pour le droit des femmes. Il y a beaucoup à faire, que cela passe par l'éducation, les dispositifs légaux pour mettre fin aux violences envers les femmes, etc. Mais, à force, on a l'impression de lire un programme politique...

Sur le fond, c'est donc un ouvrage intéressant qui a toute sa raison d'être. D'un point de vue plus subjectif et personnel, je ne sais si c'est de par son prisme professionnel, si c'est le fait qu'un tel sujet soit abordé par un homme (ce qui ne lui confère pas moins de légitimité),... toujours est-il que cette lecture m'a paru trop distanciée, théorique, et au final peu passionnante.

Je ne peux toutefois qu'encourager ce type d'ouvrages et je souhaite qu'il rencontre son lectorat.

Un très chaleureux merci à Babelio et aux éditions Marabout pour l'envoi de ce livre dans le cadre de l'opération masse critique non fiction.

Commenter  J’apprécie          191
Je ne sais pas si tu le sais, ami-lecteur, mais, depuis septembre 2022, je me suis lancée comme « challenge » de lire régulièrement des ouvrages en lien avec le féminisme et/ou les questions de genre. Au départ, lancée pour quelques mois, ma démarche est finalement devenue tout autre… Sans limite de temps, je continue à lire autour de cette thématique pour nourrir ma réflexion et aussi m'armer intellectuellement pour mieux militer. du coup, lorsqu'à l'occasion d'un masse critique je suis tombée sur le Petit manuel du féminisme au quotidien, j'ai glapi de joie. Ouais, rien que ça.

Je me suis donc plongée au plus vite dans les presque 200 pages de l'essai de monsieur Ruszniewski. Toutefois, est-ce que je glapissais toujours de joie au terme de ma lecture ?

Clairement pas. Déçue ? Complètement. Agacée ? Quelque peu. Mais pourquoi donc ce Petit Manuel du Féminisme au quotidien a été une telle déconvenue ?

Déjà l'auteur est un indécrottable optimiste. Pour lui, beaucoup d'hommes sont féministes sans le savoir. Pourquoi ? Parce que la plupart des mecs – et femmes – déclarent être pour l'égalité. le « Je suis pour l'égalité » est au féminisme ce que le « Je ne suis pas raciste » est à la lutte contre le racisme. « Je suis pour l'égalité mais… ça va trop loin / les féministes d'aujourd'hui exagèrent / les hommes et les femmes sont différents / les féminazies veulent le matriarcat,... ». Surtout, les bonnes intentions n'ont jamais rien changé. Et avoir l'impression que beaucoup d'hommes sont féministes sans le savoir, c'est juste une impression. Démentie par les chiffres. Par exemple, en ce qui concerne le viol, l'enquête IPSOS pour mémoire traumatique, faite en décembre 2015, rapporte que 20 % des Français pensent que les femmes peuvent prendre du plaisir à être forcées et qu'il n'y a pas de viol si la victime cède lorsqu'on la force. Ou encore que 40 % atténuent la responsabilité du violeur lorsque la victime a accepté d'aller seule chez un inconnu. Et aussi que 17% des Français interrogés pensent que forcer sa conjointe à avoir un rapport sexuel alors qu'elle le refuse et ne se laisse pas faire n'est pas un viol. Beaucoup d'hommes féministes sans le savoir ? Vraiment ? En tout cas pour l'auteur, oui. Et comment justifie-t-il cette supposition ? Comme quoi la plupart des hommes ont des enfants, dont une fille. Euh… Ben nan. Après tout, les hommes ont forcément eu une mère, même Andrew Tate. Bref, à croire que son « féministe sans le savoir » est une version aseptisée du not all men si saoulant.

Tout au long, l'auteur va nous présenter un féminisme bien propret, bien bisounours, peut-être dans l'espoir de faire adhérer le plus grand nombre. Finalement, et sans doute pour cette même raison, il occulte tout ce qui pourrait perturber quiconque. Hélas, il va même plus loin en disant, à mon sens, des bêtises. Ainsi quand il aborde la supposée « guerre des sexes », une des réserves de ceux qui se méfient du féminisme, voici ce qu'il soutient, page 29 :

"L'idée d'une « guerre » est d'autant plus injustifiée que la cause féministe est précisément l'une des plus pacifistes qui soient. de la conquête du droit de vote au MLF, jusqu'aux récentes manifestations contre les violences sexistes et sexuelles – qui ont rassemblé des dizaine de milliers de personnes, on ne recense pas un acte violent dans les cortège, pas un seul."

Euh… Ben, c'est des conneries. Un exemple récent ? Les manifestations du 12 et 19 août 2019, à Mexico, pendant lesquelles des vitres ont été brisées et un commissariat incendié. Un exemple historique ? Au début du XXe siècle, les suffragettes attaquaient à coups de pierres les fenêtres des propriétés de membres du Parlement, en Grande-Bretagne. Soutenir que la lutte féministe est et a toujours été pacifique, c'est non seulement refaire l'histoire mais aussi minimiser la colère des femmes. Une colère légitime.

Plus loin, il dit que le terme féministe n'est pas une obligation, il déclare « appelez-vous comme vous voulez. » Pardon ? Ouais sauf que j'entends trop souvent certaines personnes me dire « je suis humaniste moi » – sans connaître ce qu'est réellement l'humanisme – avant que ces personnes soit-disant humanistes ne tiennent des propos carrément sexistes. Genre que les hommes et les femmes ne sont pas égaux mais complémentaires. Complémentaires ? J'suis pas un jeu de construction, Jean-Mascu, et je n'ai pas été crée pour compléter qui que ce soit. Par contre, mon mari est un partenaire, on forme une équipe, et ça n'a rien à voir avec notre genre.

Je ne nie pas que monsieur Ruszniewski écrit aussi des trucs importants, sur le congé paternité par exemple. Il évoque aussi quelques chiffres et cite même Olivia Gazalé. Sauf qu'il caricature et n'offre presque aucune nuance dans ses propos. Par exemple, il dit que l'idéal masculin efface toute idée d'extérioriser ses sentiments. Euh ben nan. Pour voir l'expression masculine de la colère, de la joie ou de la tristesse, il suffit de passer quelques soirées dans les stades.

Tu me diras, c'est bien de simplifier pour ceux qui sont encore peu sensibiliser. Mais un homme peu sensibilisé à la question féministe n'est pas un idiot, pourquoi le traiter comme tel ?

Si encore il offrait des solutions créatives et pragmatiques aux problèmes qu'il soulève. Sauf que nan. Même sur la répartition des tâches domestiques, c'est genre « faut communiquer » puis « faites un planning ». Euh, si c'était si simple, il n'y aurait pas un tel déséquilibre…

Malgré tous les reproches que je viens de faire, la pire partie de ce bouquin, pour moi, reste celle sur les violences faites aux femmes. Une partie plus vide que ça, ce serait des pages blanches. Soit, il évoque la notion de consentement. C'est la base… Puis il rappelle la loi. En fait il le fait tout du long. Dans la section à destination des éventuelles victimes, il y a tout un paragraphe sur le fait de porter plainte. C'est tout. Il n'évoque pas vraiment le viol, violence pourtant fréquente, et ne parle pas du tout de la culture du viol. Quant aux violences conjugales ? Il se contente encore d'insister sur le dépôt de plainte. Oui, c'est bien. Vraiment bien… Sauf que, rappelons-le, selon le ministère de l'Intérieur, en 2020, 35 % des victimes de féminicide conjugal avaient subi des violences antérieures. Et une sur cinq, 18 %, avait porté plainte.

Pour conclure, ce Petit Manuel du Féminisme au quotidien serait parfait dans un monde où les nuances n'existeraient pas, un monde où la loi permettrait une égalité de fait entre les femmes et les hommes, un monde où justice et forces de l'ordre auraient les moyens, les ressources et la formation pour prendre en charge les victimes de violences sexistes. Oui, il serait très bien dans ce monde-là, où le patriarcat ne serait pas aussi présent et puissant. Bref, ce serait un livre indispensable si on vivait en théorie. Dans le vrai monde, j'aurais mieux fait de passer mon chemin.
Lien : http://altervorace.canalblog..
Commenter  J’apprécie          710
La couverture serait un peu austère, s'il n'y avait pas le bandeau, mais le titre alléchant : "petit manuel" et "au quotidien", c'est un peu ce qui me manquait, après tant de lectures et d'écoutes de podcasts sur la question féministe et la réaction masculiniste ; des solutions, des pistes pratiques.

Or le sous-titre est justement : 30 pistes d'action pour celles et ceux qui ne savent pas (toujours) comment s'y prendre.

L'auteur se présente tout d'abord, avocat, journaliste, conseiller au Ministère des Droits des femmes de 2012 à 2014, il a travaillé avec Najet Valleau-Belkacem. La quatrième de couverture précisait également qu'il avait reçu le "Prix de l'homme féministe de l'année" en 2019.

Nous sommes ensuite invités à examiner les objections les plus courantes (moments assez irritants et utiles, tant nous sommes attaqués, de manière de plus en plus stupides, sur les réseaux sociaux mais même "dans la vie", dès qu'il est question de féminisme) : "On parle trop d'égalité...", "Les féministes veulent-elles la guerre des sexes ?", "Je suis pour l'égalité mais je ne suis pas féministe !"...

L'auteur s'adresse beaucoup aux hommes et dans la proposition d'une meilleure répartition des tâches et de la charge mentale, il n'hésite pas à évoquer de manière concrète ce que, par légèreté, paresse, conformisme, on peut imposer d'humiliant, fatiguant, chronophage à sa partenaire. La question du travail est importante et je ne saurais trop remercier Maxime Ruszniewki d'expliquer de manière concrète ce que recouvrent des mots que personne ne peut ou ne veut comprendre : agression sexiste, harcèlement sexuel... Cette section éclairera également celleux (première fois que j'emploie ce mot !) qui en sont victimes et les aidera à passer à la deuxième phase : qu'est-ce que je fais de la découverte que je suis victime de cela ?

La question de l'éducation s'adresse plus aux deux parents et aux enseignants de primaire. Des propositions concrètes de jeux sont faites, c'est vraiment intéressant.

Cf. suite de cette longue note de lecture sur mon blog :
Lien : http://aufildesimages.canalb..
Commenter  J’apprécie          60
Le mouvement #MeToo a permis de mettre en lumière les inégalités entre les hommes et les femmes, allant de la charge mentale (surcroît de travail des femmes dans la sphère domestique) aux situations de harcèlement et aux féminicides. L'auteur observe toutefois que la réalité tarde à évoluer.
Dans cet ouvrage, il passe en revue les stéréotypes ainsi que les interrogations qui concernent le foyer l'éducation et le travail.
Ce livre est ainsi découpé en 6 parties :
- Balayons les idées reçues : la caricature de la féminisme, les inégalités dans le domaine politique, culturel, sportif et économique.
- Assumons notre part de fém..inisme : les injonctions données aux hommes, la place que les hommes doivent oser prendre.
- Changeons les habitudes à la maison : la répartition des tâches domestiques, le rééquilibrage su rôle des hommes et des femmes dans la famille.
- Eduquons nos enfants à l'égalité : la cours de récréation, la scolarité mais aussi l'éducation culturelle/
- Soyons exemplaires au travail : les métiers "genrés", les inégalités salariale, le sexisme au travail.
- Luttons contre les violences faites aux femmes : les violences sexistes et sexuelles.
L'ambition de l'auteur est de donner quelques clés pour faire bouger les lignes au quotidien.Cet ouvrage accessible fait le tour de la question avec des éléments factuels, des mises en perspectives à travers des encarts apportant des précisions d'ordre historique et culturel, des conseils et les principaux points à retenir. Il vise tout d'abord une prise de conscience plus large de la condition des femmes et de l'importance d'être féministe. Il donne également les moyens de mettre en pratique des actions concrètes pour améliorer la situation de tous, des hommes comme des femmes.

Lien : https://www.carnetsdeweekend..
Commenter  J’apprécie          30
Enfin un livre qui fera bouger les lignes…! A lire absolument et à partager!
Finalement, le livre sur les inégalités dans tous les domaines du quotidien entre les hommes et les femmes du 21ème siècle et qui pourra faire changer les mentalités est arrivé!
Un incontournable qui pourra transformer la société et la Vie de nombreuses femmes, à mettre entre toutes les mains depuis les adolescent(e)s à tou(te)s les adultes de tous genres.
A la fois touchant et drôle mais surtout pratique et facile à lire; pas trop technique, une mine d'informations essentielles et de bons conseils jamais moralisateurs.
Il y aura un Avant et un Après la lecture de ce guide très pratique…C'est sûr!
Commenter  J’apprécie          30

Citations et extraits (7) Voir plus Ajouter une citation
En Norvège, il va faire la connaissance de ces pères qui mettent leur carrière sur pause au moins trois mois à la naissance de leur enfant (70% d'entre eux !). Je les ai filmés dans le cadre d'un documentaire pour la télévision. Le contraste avec notre pays est saisissant : à la sortie des classes, on assiste à un bal de poussettes mené par de grands Vikings barbus, qui échangent les nouveaux horaires du "baby yoga" et qui se partagent des conseils pour jongler entre le tunnel goûteur/bain/devoirs et la préparation du repas du soir. (...) Tristan a appréhendé l'annonce d'un arrêt de trois mois à sa cheffe de bureau. Il a ressenti cette boule au ventre que connaissent les millions de femmes chaque année. Mais surpris par la bienveillance de sa hiérarchie (...) le Parisien pure souche plonge dans le grand bain de l'égalité à la norvégienne.
Avant d'en faire un engagement militant, Tristan a d'abord réalisé les bienfaits de ce congé... pour lui-même. Cette expérience lui a permis de mener pour la première fois une réflexion personnelle sur son équilibre vie privée/vie professionnelle, lui qui jusqu'à présent courait après le temps pour gravir les échelons. Au cours de ces mois, Tristan a construit une relation privilégiée avec sa fille Nora, dont il constate encore cinq ans après les bienfaits.
Commenter  J’apprécie          00
Une invitation à faire plus ample connaissance, si elle est unique et sobre dans sa formulation, ne constitue pas en soi un acte illégal. (...)
En revanche, si vous recevez plusieurs invitations de ce type en ayant manifesté votre refus, ou même en n'ayant pas répondu, la situation n'est plus du tout le même. Selon le contenu des messages, ces comportements pourraient être assimilés à un agissement sexiste ou à du harcèlement.
Commenter  J’apprécie          10
Cette mauvaise foi peut prendre ainsi la forme d'une consolation voire d'une revanche : le maintien des femmes à des postes subalternes, mal payés, conforte beaucoup d'hommes dans une position de dominant, car ils sont eux-mêmes dominés depuis toujours par d'autres hommes qui s'emparent de la plus grosse part du gâteau.
Commenter  J’apprécie          10
Vous affranchir en tout ou partie de cette contrainte [du ménage] en arguant votre incapacité à le faire, c'est soit penser qu'une femme est plus apte à le faire par essence (nous savons que c'est faux), soit déplacer votre flemme ou votre renoncement sur votre moitié. Les machines ne nous ont pas encore totalement remplacés en matière de ménage. Tant qu'un robot ne récurera pas pour vous les toilettes en courbant son ossature en acier, c'est le dos de votre femme qui se pliera en deux. Pensez-y la prochaine fois et faites confiance à l'homme d'intérieur qui sommeille en vous !
Commenter  J’apprécie          00
Je me suis retrouvé de nombreuses fois à des dîners où une copine féministe tenait de "raisonner" son amie devant son conjoint : "Mais tu réalises que tu gères tout à la maison ? qu'il ne s'occupe pas des enfants ?" Jamais je n'ai entendu en retour : "Tu as totalement raison ; merci de m'avoir ouverte les yeux ; comment ai-je pu être si naïve pendant toutes ces années ! " En procédant ainsi, c'est plutôt l'inverse qui se produit : la personne visée (...) rejette l'interpellation en bloc et se referme comme un huître.
Commenter  J’apprécie          00

Video de Maxime Ruszniewski (1) Voir plusAjouter une vidéo
Vidéo de Maxime Ruszniewski
Comment être un homme féministe aujourd’hui ? | Maxime Ruszniewski | TEDxPanthéonSorbonne 13 déc. 2021 #metoo Nul besoin d’être membre d’une association ou de battre le pavé dans les manifestations féministes pour apporter sa pierre à l’égalité réelle entre les femmes et les hommes ! La vague #metoo a été un accélérateur mais beaucoup reste à faire pour faire évoluer les mentalités, interroger des stéréotypes bien ancrés, et changer nos comportements. En s’adressant à chacun.e, et particulièrement aux hommes, Maxime nous donne quelques clefs pour passer rapidement du discours… aux ACTES !
+ Lire la suite
autres livres classés : developpement personnelVoir plus
Les plus populaires : Non-fiction Voir plus

Lecteurs (47) Voir plus



Quiz Voir plus

Ecrivain et malade

Marcel Proust écrivit les derniers volumes de La Recherche dans une chambre obscurcie, tapissée de liège, au milieu des fumigations. Il souffrait

d'agoraphobie
de calculs dans le cosinus
d'asthme
de rhumatismes

10 questions
283 lecteurs ont répondu
Thèmes : maladie , écriture , santéCréer un quiz sur ce livre

{* *}