Pas du tout transportée par ce livre.
Même pas admirative de ces hommes qui risquent leur vie pour voler
de nuit.
L'écriture ne m'a pas décollé les émotions non plus mais là, je pense que c'est à cause de la mauvaise opinion que j'ai eu des personnages, des idées.
Finalement la part belle, en termes de quantité, revient à Rivière, le chef.
« Aimez ceux que vous commandez. Mais sans le leur dire. »
« le règlement, pensait Rivière, est semblable aux rites d'une religion qui semblent absurdes mais façonnent les hommes. »
Il pense aussi qu'il est bon de faire des exemples, même en étant injuste, pour la bonne marche d'une équipe.
Je crois que je ne peux pas comprendre ce qu'il y a de beau dans ce personnage, qui en plus vole la vedette à Fabien, le courageux pilote qui affronte la tempête et dont le périple ne sera qu'évoqué.
Atterrée de déception.
Une autre fois peut-être…
Quand tu penses que de nos jours, en un clic tu communiques !
Drôle de chanson qui me laisse la même impression de dissonance que le livre et qui se prête bien là à mon gimmick :
« […]
Vol de nuit via-Paris,
Envol.
Vol de nuit, sur ciel gris,
Je vole.
Vol de nuit
Du bout du monde
Au monde.
Tu vois, je pense à toi.
Drôle de voix,
Drôle de présence
A mes côtés,
Drôle de regard,
Drôle de charme,
Drôle de sourire
A demi,
Drôle d'émoi,
Drôle de mouvance,
Vertige.
[…] »
Extrait de « Vol de nuit », Barbara :
https://www.youtube.com/watch?v=EO_5Scrbl5Q