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EAN : 9782203215764
176 pages
Casterman (26/01/2022)
4.31/5   434 notes
Résumé :
Dans Le Poids des héros, David Sala retrace sa trajectoire personnelle très tôt marquée par les figures tutélaires, mais non moins écrasantes, de ses grands-pères, héros de guerre et de la résistance.
En convoquant son point de vue de petit garçon, il nous plonge dans une majestueuse et foisonnante exploration de l'enfance et de l'adolescence. Le recours à l'imaginaire permet d'approcher les zones d'ombre et les failles à bonne distance, tout en recomposant ... >Voir plus
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Critiques, Analyses et Avis (69) Voir plus Ajouter une critique
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Le Poids des héros est une merveilleuse BD qui nous raconte davantage qu'une histoire. Son auteur, David Sala, nous invite par les mots et le dessin à nous plonger avec nostalgie dans le souvenir d'un récit autobiographique, qui a illuminé sa famille.
Antonio Soto de Torrado était son grand-père maternel, né à Oliva de la Frontera, au sud de l'Espagne. Il a survécu à la guerre d'Espagne, il a survécu au camp de concentration de Mauthausen.
Mais bientôt il va mourir et en mourant il va accomplir l'objectif qu'il s'était assigné : ne pas mourir avant Franco.
Son autre grand-père, Josep Soca, était espagnol aussi et tout comme le grand-père maternel il fut un héros de la guerre et de la résistance.
C'est six mois après l'annonce du décès du « Caudillo », qu'Antonio Soto s'éteint paisiblement dans son sommeil.
Nous sommes dans les années soixante-dix et l'auteur se souvient de ces années-là, les années de son enfance, où, petit garçon, il allait grandir avec le poids presque écrasant de ses deux figures familiales, qui échapperont de peu à la barbarie et à la mort, fuiront vers la France, connaîtront le déracinement, mais aussi l'amour et la transmission de leurs engagements politiques.
Ce sont ces années-là qui sont peintes et dépeintes dans cette formidable bande dessinée, une période qui représente pour l'auteur des jours heureux mais aussi une prise de conscience qui sera sans doute déterminante dans sa trajectoire personnelle.
David Sala convoque ses souvenirs d'enfance pour retrouver les figures tutélaires de ses grands-pères, c'est peut-être aussi une manière pour lui de se libérer du poids parfois oppressant qu'ils ont marqué dans la destinée familiale.
Alors nous voici plongés avec jubilation dans le décor kitsch des années soixante-dix, les tables d'école avec l'encrier de porcelaine, la Citroën ami 8, la même que celle que possédait mon père, les pantalons pattes d'éph et aussi ce pull-over jacquard que porte ce petit garçon sur la couverture, je suis sûr que j'en ai porté un aussi, un comme celui-là à son âge...
Mais ce décor est aussi fait de l'imaginaire de l'auteur, un déferlement de couleurs psychédéliques, de vagues et de fleurs, de paysages oniriques, alternant avec le récit, comme pour mieux cacher l'émotion, comme pour mieux faire passer des messages intimes et touchants avec pudeur.
Certaines pages sont d'une beauté à couper le souffle, ce sont pour certaines de vraies peintures, tantôt enchanteresses, tantôt agressives, toujours lumineuses et poétiques.
Mais quels sont ces messages ? Quel est le propos du texte au-delà du récit familial ? Quel est son sens ? Voici un livre dédié à la mémoire, à l'identité, au déracinement et à la transmission. David Sala rend hommage à ses grands-parents, de vrais héros au sens noble et historique du terme, mais il se déleste aussi du poids que de ces deux hommes, qui a pesé sur l'héritage familial. Car il n'est pas simple de faire son chemin plus tard, de creuser son sillon, lorsqu'on est un petit-fils de héros, comment avancer dans sa vie ordinaire avec ce poids sur les épaules ? Comment donner du sens à une vie « ordinaire » ?
David Sala est un passeur à sa manière. Quand je referme ce magnifique livre, séduit par le talent de cet auteur, je me dis qu'il a réussi avec brio sa mission et que sa vie est loin d'être ordinaire.
Et comment ne pas apprécier la citation si inspirante de l'écrivain Romain Gary, choisie comme épigraphe par l'auteur : « Lorsque vous écrivez un livre sur l'horreur de la guerre, vous ne dénoncez pas l'horreur, vous vous en débarrassez. » ?
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Ancien coiffeur engagé volontaire dans la cavalerie de l'armée républicaine afin de combattre les forces du Général Franco, Antonio Soto de Torrado est dénoncé par son oncle, bras droit de Franco. Prévenu par sa tante, condamné à mort, il n'a d'autre choix que de fuir son pays et quitter sa famille, avant le lever du jour. Arrivé en France, il est incorporé dans la 15è compagnie des travailleurs espagnols volontaires. Il participera à la campagne de France, puis se fera prisonnier par les Allemands avant d'être déporté au camp de concentration de Mauthausen, dont il sortira vivant en mai 1945... Aujourd'hui, sur son lit d'hôpital, il reçoit la visite de sa fille et de son petit-fils, David. Si son état de santé est préoccupant selon son médecin, pour lui, il est hors de question de mourir avant Franco. Il décèdera paisiblement pendant son sommeil... 6 mois après la mort du Général... Tout gamin à l'époque, David se souvient encore de ce grand-père maternel, dont le portrait, d'une infinie tristesse, ornera pendant longtemps un mur de la maison familiale.

C'est son histoire mais aussi celle de son grand-père paternel, espagnol résistant dans le maquis, que David Sala nous raconte avec forces et émotions au coeur de cet album. Une histoire familiale touchante qui trouve ses racines dans l'Espagne de Franco, que ses deux grands-pères ont combattu ou fui. Une histoire, évidemment, lourde à porter, inscrite elle-même dans L Histoire. Mais aussi un devoir de mémoire que l'auteur a dépeint, d'abord avec son regard d'enfant, lui qui a eu la chance de côtoyer ses grands-parents et écouter un pan de leur passé, puis avec son regard d'adulte, saisissant alors l'importance, la portée de ce passé, ô combien tragique et éprouvant. Une portée aussi bien historique, personnelle que familiale. Aussi, David Sala questionne-t-il sur le poids des héros, que furent ses deux aïeux. Un héritage tout aussi important que précieux. Ce récit, sensible, intime, est servi par un graphisme détonant. Les planches sont tantôt très colorées, fleuries, pleines de vie, tantôt beaucoup plus sombres, parfois violentes.
Un album profond et salutaire, pour tout simplement, ne pas oublier...
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C'est un livre qui pèse son poids, avec sa grande couverture épaisse, son beau papier glacé et ses 176 pages gorgées de souvenirs. Nous voilà au coeur des années 1970 – tapisseries et fauteuils fleuris, gilets jacquard, bande-son entonnée par tonton Georges. le quotidien du petit David est fait de bonbecs, de virées à vélo et de comics. Mais dans son esprit pulse aussi une mémoire incongrue dans cet univers enfantin – celle des actes héroïques de ses aïeux, victimes du franquisme et de la barbarie nazie.

Ouvrir cet album procure un vrai choc esthétique. Chaque case est un vrai tableau, on pense tour à tour à Van Gogh, Matisse, Klimt ou Chagal. le trait et les couleurs sont très expressifs. S'y déploient non pas les faits d'armes des grands-parents, mille fois racontés à David, mais plutôt les représentations qui s'en impriment dans son imaginaire. Les scènes de bravoure sont flamboyantes, auréolées de teintes bleutées et d'étoiles. Les épreuves traumatisantes voient des tonalités obscures ou criardes faire intrusion dans la palette colorée de l'enfance du narrateur. Cet univers oppressant surgit à chaque fois que l'histoire familiale est convoquée. Cette mémoire est lourde à porter pour un si petit garçon. Ainsi se posera fatalement la question le jour où il aura à son tour des enfants : comment les protéger dans un monde qui dysfonctionne ? Comment transmettre cette mémoire sans les accabler ?

Si nos lignées n'ont pas toutes éprouvé aussi douloureusement les horreurs du XXe siècle, ces questions nous concernent tous. Pour notre part, nous n'avons aucun tabou et nous répondons à toutes les questions des moussaillons mais nous rangeons nos livres sur la deuxième guerre mondiale hors de portée pour leur donner le temps de grandir avant de découvrir le pire.

En allemand, il y a un verbe, « sich etwas von der Seele schreiben » qui signifie écrire quelque chose pour en soulager son âme. J'espère vivement que l'écriture de cet album à couper le souffle aura un peu soulagé l'auteur du poids de ses héros. En tout cas, il sera parvenu à montrer de manière incroyablement puissante les répercussions que peuvent avoir des histoires et des images terribles sur de jeunes enfants tout en relevant magistralement la mission de transmettre dont il se sent investi depuis si longtemps.
Lien : http://ileauxtresors.blog/20..
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L'aspect autobiographique s'affirme d'emblée. Ce roman graphique, dédié aux grands-pères de David Sala, raconte une partie de l'histoire de ces deux républicains espagnols et témoigne à la première personne du Poids des héros sur la vie de l'artiste. Son grand-père maternel, Antonio Soto de Torrado, a fui l'Espagne de Franco et rejoint clandestinement la France. Après un passage au camp d'Argelès-sur-Mer, il est incorporé puis il combat à Dunkerque. Fait prisonnier, il sera déporté à Mauthausen dont il sortira vivant. Vieillissant, très malade, il se refuse à mourir avant Franco ! Si le parcours du grand-père paternel, Josep Sala, ressemble à celui de Antonio, il ne subira pourtant pas le même sort, car il réussit à rejoindre le maquis. David raconte ses grands-parents, ses parents, son enfance, l'école, les copains, un terrible fait divers, l'adolescence, l'école de dessin, ses débuts de Bédéiste, le passage à l'âge adulte, et toujours reviennent les souvenirs des deux grands-pères, le grand-père maternel occupant la plus grande place…
***
Les décors et les éléments réalistes des années 70 (les papiers peints, la blouse de la grand-mère !) alternent avec des paysages issus de l'imaginaire de David enfant, par exemple quand il se représente la fuite de Antonio volant à cheval au-dessus des Pyrénées. Même si l'enfance est souvent représentée comme un magnifique jardin empli de fleurs de toutes le couleurs et de toutes les tailles, à tout âge, le poids des générations passées et la force des souvenirs suscitent parfois chez David questions, reconnaissance et rancune, révolte et colère. Des aplats de rouge servent d'arrière-plans aux images où règne la violence. Plus David avance en âge, plus les couleurs respectent le réel et deviennent plus sombres, sauf quand on replonge dans l'imaginaire de l'enfant. le Poids des héros m'a semblé rempli de clins d'oeil à des mouvements picturaux et à de nombreux peintres : Van Gogh (les deux cases de la page 6, entre autres), Chagall (le cheval volant et les paysages de nuit en général), Magritte avec la colombe qu'on retrouve plusieurs fois, Schiele et Munch pour les représentations des camps, Klimt (la petite fée) et beaucoup d'autres qu'il serait fastidieux de tous énumérer, sans compter ceux que je n'ai pas reconnus… David Sala s'appliquera, comme l'avaient fait ses propres parents, à transmettre le passé, aussi douloureux et dramatique soit-il, à sa propre fille, une transmission habilement réifiée par le tableau, lui aussi rescapé. Je voudrais signaler les pages 156-157 qui m'ont bouleversée par leur force de suggestion pour exprimer le deuil, l'absence, le vide et le désarroi. À peu de détails près, la table de travail représentée sur la dernière double-page aurait pu être la mienne à la même époque… Un magnifique album qui touche à l'essentiel !
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J'avais déjà apprécié les dessins de ce scénariste dans le joueur d'échecs. le regard est tout de suite attiré par un festival de couleurs où les planches n'ont aucun vide. Ce roman graphique est une merveille ! Un homme reçoit sur son lit d'hôpital sa fille et son petit-fils et il n'est pas question qu'il meurt avant Franco !
David Sala rend hommage à ses grands-pères résistants espagnols ainsi qu'aux autres membres de sa famille. C'est avec pleins d'émotions, qu'avec ses yeux d'enfant, il nous fait revivre, à nous aussi, une certaine époque comme ces papiers peints ornés de gros motifs. Dessins et couleurs nous en mettent plein la vue. Prodigieux, talentueux, sublime, puissant, etc. etc.
Détaillez la dernière double page. Que de nostalgie !
Beaucoup de prix Goncourt sont adaptés en B.D. alors quand le roman graphique pourra-t-il concourir aussi ? Ce poids des héros l'aurait plus que mérité.
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critiques presse (8)
BDGest
02 mai 2022
Rarement, bande dessinée et peinture se sont si subtilement confondues et de même si David Sala a encore beaucoup de choses à raconter, à dessiner ou à peindre, Le poids des héros marquera probablement, l'homme comme l'artiste, ne serait-ce que par la forme d’aboutissement qui en émane.
Lire la critique sur le site : BDGest
BoDoi
17 mars 2022
« Il paraît que les gènes ont une mémoire », se souvient David Sala dans ses déambulations au parc de la Tête d’or. Lui a hérité d’une colère induite par la violence de ce qu’ont vécu ses grands-parents. En leur dédiant cet album qui lui sert d’exutoire, David Sala se déleste d’un poids. En témoigne la citation de l’écrivain Romain Gary choisie comme épigraphe : « Lorsque vous écrivez un livre sur l’horreur de la guerre, vous ne dénoncez pas l’horreur, vous vous en débarrassez. »
Lire la critique sur le site : BoDoi
SudOuestPresse
01 mars 2022
La nouvelle BD de David Sala est une splendeur ! Malgré la transmission du passé qui pèse sur les épaules du jeune David, l’illustrateur a peint des planches lumineuses et poétiques. Toutes ses influences picturales y sont déclinées. Bref : grand coup de cœur !
Lire la critique sur le site : SudOuestPresse
LaLibreBelgique
16 février 2022
David Sala nous livre un ouvrage très personnel, d’une sensibilité exceptionnelle.
Lire la critique sur le site : LaLibreBelgique
FocusLeVif
16 février 2022
Le Français David Sala passe à l'autofiction pour raconter autant l'héroïsme de ses grands-parents que son propre cheminement. Un récit profond, plastique et saisissant sur la transmission, entre poids et grandeur.
Lire la critique sur le site : FocusLeVif
LeFigaro
31 janvier 2022
L’auteur convoque ses souvenirs et retrace à hauteur d’enfant près de quarante ans de vie familiale, dans ses propres yeux puis dans ceux de sa fille. Le résultat est d’une rare puissance évocatrice.
Lire la critique sur le site : LeFigaro
Telerama
24 janvier 2022
En 1941, son grand-père antifranquiste, émigré en France, a été déporté au camp de concentration de Mauthausen, en Autriche. De ce héros, mort quand il était enfant, David Sala a entendu sa mère arpenter, cultiver et défendre la mémoire. […] Il en tire aujourd’hui un album intime et touchant, au dessin et aux couleurs somptueux.
Lire la critique sur le site : Telerama
LigneClaire
19 janvier 2022
ALBUMS

DÉDICACES / INTERVIEWS

FESTIVALS / EXPOSITIONS
La vie et ses joies, ses drames, une paire de lunettes pour voir la TV en relief, un Walkman, l’horreur d’un meurtre, les commémorations, la survie dans le camp, David Sala aura aussi son autre grand-père en référence, espagnol, républicain que Vichy veut livrer aux nazis, qui comprend et rejoint la Résistance. Leur importance mémorielle est énorme. C’est aussi David l’auteur en devenir, le portrait qui va le guider et enfin cet album révélateur d’un passé lourd à porter mais incontournable, une histoire à transmettre. Un grand moment en tout point.
Lire la critique sur le site : LigneClaire
Citations et extraits (19) Voir plus Ajouter une citation
Quand ils sont venus chercher les communistes, je n'ai rien dit , je n'étais pas communiste. Quand ils sont venus chercher les syndicalistes, je n'ai rien dit ; je n'étais pas syndicaliste. Quand ils sont venus chercher les juifs, je n'ai rien dit ; je n'étais pas juif. Quand ils sont venus chercher les catholiques, je n'ai rien dit ; je n'étais pas catholique. Puis ils sont venus me chercher, et il ne restait plus personne pour protester.
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- Celui qui obéit sacrifie son intelligence et finit par perdre l’essence même de ce qu’il est. C’est pour ça que je dis que l’anarchie est le moyen de rendre au peuple son intelligence !Mais... les nantis, les grands patrons, les hommes politiques, la classe dominante, quel intérêt auraient-ils d’écouter ceux qui veulent changer le monde ? Mais aucun ! Ils savent pertinemment que ce serait leur chute !
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Je n'avais pas connu la peur, le froid, la faim, l'humiliation, l'exil, la torture. Personne ne m'avait craché dessus parce que j'étais espagnol. Personne ne m'avait mis de corde autour du cou. Je ne connaissais pas l'odeur de la mort, ni celle des corps empilés et des fours crématoires.
Pourtant je ressentais ces blessures comme si c'étaient les miennes.
Ces images me revenaient comme des flashs et me donnaient la nausée, l'envie de hurler;
(p. 125)
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J'ai été récupéré par un autre groupe de résistants et soigné dans la ferme de la famille Gourinal.
C'est là que les maquisards venaient se reposer, se nourrir, leurs vêtements y étaient lavés, ravaudés, leurs armes cachées.
Antoine Gourinal, le père, récupérait la nuit le matériel qui était parachuté par les anglais.
C'est sa fille qui m'a soigné, Denise, ta grand-mère !
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- Terrible !
- Quelle histoire ! C’est presque… Enfin, c’est incroyable !
-Lui, ne parlait pas de tout ça, tu sais, fallait toujours tu vois… insister pour qu’il…
- Son histoire, il faut la transmettre ! Pour les générations futures d’après, connaître tout ça, c’est essentiel, pour que toute cette horreur ne se produise plus.
- C’est notre responsabilité, en parler à nos enfants… Pour qu’eux aussi puissent… Hein les enfants ? Ça sera à vous l’histoire de votre grand-père…
(p. 58)
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Vidéo de David Sala
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Le Poids des héros de David Sala aux éditions Casterman https://www.lagriffenoire.com/le-poids-des-heros.html
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RIP T5 - Fanette - Mal dans la peau des autres Julien Monier aux éditions Petit à Petit https://www.lagriffenoire.com/rip-t5-fanette-mal-dans-la-peau-des-autres.html
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