Les étincelles

Cela fait trois ans que son père est mort dans un accident de voiture en Colombie où, selon les apparences, il rejoignait une maîtresse, lorsque Phoenix découvre qu'il se sentait menacé : scientifique convaincu de la dangerosité sanitaire des pesticides produits par une puissante multinationale, il n'aurait pas été le premier lanceur d'alerte à se voir imposer le silence…


Je pensais me plonger dans un thriller économique et écologique. Je me suis retrouvée dans un roman feel good, dont le sujet à la mode et le suspense relatif ne manqueront sans doute pas de séduire les adeptes du genre. Malheureusement pour moi, preuve est faite une fois de plus que je n'en fais pas partie : l'intrigue improbable et superficielle, la romance niaise à l'eau de rose, les personnages caricaturaux et sans épaisseur, le tout conjugué à un style désespérément plat, ont eu raison de mon intérêt pour le sujet traité et m'ont reléguée dans un ennui teinté d'étonnement quant à la si grande diversité des goûts littéraires ! (1/5)

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On va dire qu'il s'agit d'un mauvais timing. Je sors de la lecture d'un chef-d'oeuvre. Puis j'enchaîne, confiante, avec ce livre, coup de coeur de ma libraire, et très bien noté par les « babeliotes ».
Ma déception est accrue par la différence de qualité entre ces deux lectures.
Rien ne m'a plu dans ce roman : le sujet aurait pu faire un très bon thriller (le combat d'une jeune fille pour dénoncer un scandale phytosanitaire, dont la firme a probablement assassiné son père), mais l'intrigue est traitée de façon ultra superficielle. Les descriptions sont niaises, les situations et les personnages sont superficiels et caricaturaux, la romance à l'eau de rose trop parfaite, les dialogues insipides. Tout se passe trop bien, sans accroc. Il n'y a pas de tension. Quel ennui…C'est parfait pour être adapté en film américain grand public, facile, avec deux beaux jeunes acteurs.
C'est un véritable pétard mouillé, qui n'a rien embrasé chez moi.
J'aurais peut-être pu le trouver sympathique si je l'avais lu à un autre moment, mais là vraiment ce n'est pas possible.

Très intriguée par la 4e de couverture, je me lance avec plaisir dans la lecture de cet auteur dont je lis le 3e roman. Que de déception ! Au bout de 20 pages, le récit me semblait déjà vu et revu, sans doute inspiré de fait divers tel que l'affaire du glyphosate. Bilan déjà mitigé par le roman précédent, cette fois on ne m'y reprendra pas ...

Ce livre est le premier de Julien Sandrel que je lis. Après l'engouement autour de son roman « La chambre des merveilles », j'avais hâte de découvrir cet auteur pour pouvoir enfin me faire ma propre opinion.

Malheureusement, je n'ai pas retrouvé dans son livre « Les étincelles » le plaisir auquel je m'attendais. Malgré une intrigue relativement bien écrite, j'ai trouvé le tout un tantinet naïf et sur-dramatisé. Les personnages principaux sont intéressants mais le côté « blessure personnelle » presque trop souligné, qui peut être résolue à travers une enquête à impact d'ampleur mondiale, m'a rappelé les romans de Guillaume Musso. On barbote entre un thriller et une romance clichée, qui m'ont laissée de marbre. Les rebondissements grotesques de l'histoire m'ont crispée tout au long de la lecture.
En somme, je qualifierais ce livre de roman facile à lire, mais sans vraie profondeur, si ce n'est l'aspect écologique évoqué dans l'intrigue. Il plaira sûrement à beaucoup mais n'est pas vraiment à mon goût.

J'ai tout de même l'intention de lire « La chambre des merveilles », qui saura peut-être me faire changer d'avis sur la qualité d'écriture de l'auteur.

Dès les premières lignes j'ai senti que je n'accrocherai pas avec cet auteur. L'écriture est plate et d'un ennui total. L'intrigue est déjà vue et on devine la suite du roman dès le début. J'ai eu le sentiment de lire un mauvais livre pour ados alors non merci ! Pas eu le courage d'aller au bout alors que tant d'autres livres m'attendent !

Quel ennui ! le fond, la forme, le style....l'histoire n'est pas crédible, rien ne tient debout, larmoyant, prévisible.... les personnages sont niais, aucune personnalité.....bref.....