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EAN : 9782021400984
192 pages
Seuil Cadre noir (11/10/2018)
3.8/5   260 notes
Résumé :
Dino Scala, habitué au faste de la vie luxembourgeoise, se voit obligé de séjourner aux Naïades, un camping perché sur les hauteurs de La Ciotat. Là, au royaume des tentes Quechua, il fait la connaissance de son voisin de bungalow, qui semble aussi perdu que lui : un écrivain célèbre, goncourisé même. Charles Desservy est venu ici se reconnecter à la vraie substance de la vie : les gens normaux.

Et, dans ce dernier cercle de l’enfer – un camping bondé... >Voir plus
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Critiques, Analyses et Avis (68) Voir plus Ajouter une critique
3,8

sur 260 notes
Cet auteur est complètement frappa dingue. Mais j'adore ce style d'humour sans concession. Il se moque, il pique mais tout le monde en prend pour son grade.
Son humour est a plusieurs niveau, parfois un peu gras ou alors très subtil c'est selon.
Mais une chose est sûre c'est qu'on est obligé de reconnaître certaines situations de notre vie qui sont au final très drôle.
J'ai passé la quasi totalité de mes vacances avec mes parents en camping.. et c'est tout a fait ça. Parfois l'auteur se sert de clichés mais qui ils sont bien réels et franchement ça me fait marrer

J'aime bien ces auteurs qui osent.. frapper sur tous. Sans politiquement correct ( ça ça me fait kiffer .. parce franchement si il y a bien un truc qui me gonfle profondément c'est l'hypocrisie et le politiquement correct en ce moment).

Bon après on est dans un polar , les férus, pur et dur du polar ne s'y retrouveront pas parce que franchement ce n'est pas crédible du tout... Mais c'est ce qui rend les choses cocasses.. et malgré tout l'intrigue est prenante.
Je crois que c'est là où réside tout le talent de l'auteur.

Et puis j'adore ces auteurs couillus, qui osent et ici je crois que j'ai trouvé une espèce en voie de disparition.
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Deuxième rencontre avec Jacky Schwartzmann après "Kasso" et plaisir renouvelé !
J'apprécie le regard de l'auteur sur le monde et les gens, son humour et sa lucidité mais aussi sa "philosophie".
Le rythme est parfait avec une entame rapide et cohérente, on est très vite "dans le bain", et l'on retrouve là encore un personnage au statut plutôt original avec Dino.
Un scénario vraiment prenant et cohérent, l'histoire débute au Luxembourg où vit Dino dans l'insouciance et le luxe et se poursuit dans un camping de la Ciotat où Dino va faire la connaissance de Charles Desservy, un écrivain célèbre venu chercher l'inspiration au contact des gens normaux.
Un camping pas si tranquille qu'il n'y paraît si l'on considère le nombre de décès suspects qui se produisent à un rythme assez régulier...
L'auteur semble se faire une spécialité de l'analyse sociétale et son regard sur le fossé qui sépare les nantis des pauvres est acéré et réjouissant, j'ai pris beaucoup de plaisir à écouter Dino parler ou penser tout au long de ce roman que je qualifierais de décalé et déjanté.
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Je vous l'avais bien dit , aucune amélioration du temps , grisaille et pluie , nouvelle dépression en vue , dans le ciel et surtout pour le " bonhomme "...Il faut agir et vite , hors d'un bon moment de détente, point de salut .....Vite , la PAL , c'est pas la peine d'avoir trois mètres de haut de bouquins à lire si pas un ne peut me faire rire , rien qu'un peu , sourire même , ça irait , ce serait bien réconfortant après mes dernières lectures qui m'ont " mis la tête dans le seau " ....
Quelques minutes et une " chute non contrôlée " de livres plus tard , il me semble l'avoir trouvé, mon sauveur . Oui , Jacky Schwartzmann , j'ai déjà lu "Mauvais coûts "et , franchement , j'avais bien aimé. Si " pension complète "est de la même veine , me voici à coup sûr sur le chemin d'une renaissance que je n'espérais plus ...
Allez , on y va .L'action se passe au Luxembourg . Dino , un petit lascard de la banlieue lyonnaise y a , un jour , rencontré Lucienne et il vit avec elle depuis plus de vingt ans .Bon , franchement , c'est pas trop original comme début....Ah , élément que j'allais oublier ...La Lucienne , elle a 70 ans et le Dino , 40 . Oui , et alors ? L'amour , c'est quand même pas forcé de rassembler que des gens du même âge , non ? Et puis , si c'était le contraire , on trouverait ça normal , alors ...Oui , et puis , en France , on a l'esprit ouvert , en même temps (!) ....Certes , certes , mais le Dino , il n'a pas un rond alors que la Lucienne , du pognon , elle en a à ne pas savoir quoi en faire, pas d'enfants , juste sa vieille mère de 100 ans .... Et comme ça , c'est plus clair ? Gigolo ? Moi , j'dis ça , j'dis rien....
Après une bévue, Dino est prié d'aller se mettre un moment " au vert " à Saint Trop , sur un yacht à la Lucienne , bien sûr ...En route , sa Mercedes ( enfin celle de Lucienne ), fait rarissime , tombe en panne et le voilà contraint de passer quelques jours au camping " les Naiades " de la Ciotat . Ce camping , comment dire , c'est un mélange du "Camping Paradis " et du " Camping des flots bleus " . Le premier pour ses animatrices de charme , le second pour Patrick ....euh , non , Charles . Bien entendu , la rencontre va avoir lieu entre " Charles et Dino " mais vous connaissez déjà , bien sûr. " Charles et Dino " c'est quand même pas si vieux...Charles , écrivain , ancien prix Goncourt en mal d'inspiration ....Entre les deux , osmose parfaite et dans le même temps , la mort rôde....Après , faut lire ...
Franchement , les puristes du polar vont sans doute tiquer un peu car , pour du pas conventionnel , c'est le top du top . L'auteur possède un talent fou pour nous faire rire devant un cadavre lacéré à coups de couteau en céramique , par exemple , ou à l'évocation d'une anglaise "passant devant nous , un rouleau de papier - toilettes à la main et repassant quelques minutes après avec la marque de la lunette des toilettes imprimée sur les cuisses..( juste une info , l'anglaise , on la retrouvera encore aux toilettes un peu plus tard... Gastro ? Non , assassinat ) .Alors , autant vous le dire tout de suite , l'intrigue policière n'est pas , mais pas du tout crédible et pourtant , je vous l'assure , on tourne les pages de ce roman avec un intérêt qui ne perd jamais en intensité . Si cet auteur à un caractère proche de ce qu'il écrit , nul doute qu'il doit être invité à nombre de réunions réclamant un bout en train , même pour des obsèques , mais je ne vous en dis pas plus ...Y'a des morts , donc , si y'a des morts ( et pas qu'un ) y'a...y'a ....ben oui , y'a des enterrements!.
L'humour n'est jamais lourd, jamais discourtois , jamais grossier , non , toujours bien maîtrisé, souvent très fin et , au - delà, il y a encore bien mieux , la description fine et pleine d'esprit d'une société gangrenée par le fric , avec les riches , les pauvres , s'épiant les uns les autres , les uns depuis le pont du yacht , les autres depuis le quai du port , et puis , dans un camping , on en rencontre des gens , il s'en passe des choses.
Très honnêtement, j'ai dévoré ce roman qui a bien illuminé cette nouvelle journée de grisaille , j'ai passé un très savoureux moment de détente, sans ennui , surpris d'arriver déjà à la dernière page . Certes ma vie n'en sera pas changée , ma journée , si .L'humour, on le sait , c'est très difficile à rendre dans des écrits . Jacky Schwartzmann a une nouvelle fois montré qu'il avait ce talent .
En son temps , j'ai adoré San Antonio .En tout il faut raison garder mais j'ai retrouvé quelques petites ressemblances .Mais ça , hein , ce n'est que mon modeste avis.
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« Un peu avant minuit, Charles en était aux expressions françaises empruntées à la langue arabe, signe évident du mélange de nos cultures respectives. Toubib. Bled. Baraka. Macache. Zob. Devenu pointilleux sur les termes et la prononciation, il a demandé:
-Mais, dites-moi, M, je n'ai jamais su. Lorsque l'on rote en fin de repas, on doit dire hamdoulah ou hamdoulilah?
-On doit dire « pardon », en fait."

Quand on ouvre un roman de Jacky Schwartzmann, on sait qu'on va se marrer, et assister au festival de la vanne. Avec lui tout le monde en prend pour son grade, les gros cons de riches, comme les abrutis de smicards. (A propos de Saint-Tropez) « Nous y avions séjourné de nombreuses fois, Lucienne et moi, et à chaque fois la même scène m'avait sidéré: les milliardaires dans leurs yachts qui regardent sur le quai les pauvres les regarder. Scène surréaliste d'une armée de bermudas qui a sacrifié une journée de plage pour venir admirer quelques nantis. »
C'est vachard et drôle. On se demande si Jacky qui plonge toujours ses personnages dans un milieu qui n'est pas le leur, ne serait pas un peu schizo.
Dans Pension complète, il s'en donne encore une fois à coeur joie en exilant Dino Scala, un gigolo de la banlieue lyonnaise compagnon depuis vingt ans de Lucienne, une richissime Luxembourgeoise septuagénaire, dans un camping près de la Ciotat. Les vacances forcées de Dino vont prendre une tournure inattendue via une rencontre avec un écrivain parisien très en vogue venu chercher l'inspiration dans la « vraie vie » des touristes prolétaires. le choc des cultures va virer à la farce sanglante. Pension complète c'est Harry. Un ami qui vous veut du bien qui s'invite dans un épisode de Camping Paradis sur TF1. Ce qui est agréable avec Schwartzmann c'est qu'il se fout de tout, ne respecte rien ni personne, et semble avoir banni le politiquement correct de son dictionnaire. du coup, on se marre du début à la fin. Allez, une dernière pour la route:
« Il y aura bien une tronche de cake pour nous expliquer pourquoi les types font telle ou telle chose, un type qui saurait tout aussi bien nous expliquer les différentes stratégies des équipes si nous étions devant le Tour de France. Cela n'a pas manqué. Il y avait un Parisien, dans le tas, qui savait déjà tout. C'est lui qui menait l'enquête off, planté devant la meute des OPJ amateurs. Envoyé spécial de Bungalow-TV. Il décrivait les actions menées par les pro, là, juste devant nous, sans oublier de nous offrir ses théories, ravalant rapidement le conditionnel pour nous servir de l'affirmatif, du cent pour cent, bref: du CNews. »
Merci qui? Merci Jacky!
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Dino Scala est aux yeux du peuple du Grand-Duché un vulgaire gigolo. En couple avec Lucienne, 32 ans de plus au compteur, multimilliardaire (même si, au moment de leur rencontre, Dino n'en savait rien), il ne fait rien dans la vie, peut-être à part dépenser son argent et supporter Macha, sa belle-mère, qui, évidemment, a toujours vu d'un très mauvais oeil cette relation. Or, depuis que Macha a fait un AVC, il la supporte encore moins, dans la mesure où c'est encore possible. Au Come Prima où il a ses petites habitudes, après une soirée et une nuit un peu trop arrosées, il tombe nez à nez avec cet emmerdeur de Drumond, le responsable de l'agence BGL dans laquelle Lucienne possède plusieurs comptes. Lorsque celui-ci s'adresse à lui en l'appelant "madame Courtois", son sang ne fait qu'un tour et cet emmerdeur de Drumond se retrouve à terre, le nez en sang, des douleurs dans le ventre et la mâchoire et une Rolex en moins. Pour tenter d'effacer cette fâcheuse ardoise, d'un commun accord avec la police, Lucienne lui propose d'aller prendre un peu le soleil. Pourquoi pas le yacht à Saint-Tropez ? Dépité mais pas résigné, Dino prend donc la direction du Sud. Sauf qu'en cours de route, sa voiture tombe en panne. le temps que le garagiste la répare, il est obligé de louer un bungalow au camping des Naïades, sur les hauteurs de la Ciotat. C'est là qu'il fait la connaissance de Charles Desservy, un romancier goncourisé, en pleine immersion chez les gens normaux...

Ne vous risquez pas à balancer à Dino Scala, qui a quitté la banlieue lyonnaise pour s'installer au Luxembourg et qui partage depuis 20 ans la vie de Lucienne, septuagénaire pleine aux as, qu'il est un gigolo ! (même si en apparence, ça y ressemble drôlement). Car Dino aime sa Lucienne, un peu moins la marâtre coincée dans son fauteuil roulant qui bave sans cesse. Un coup de chaud et le voilà exilé dans un camping où, juste au moment où il se pointe, un gamin vient d'être retrouvé noyé dans la piscine. Bonjour l'accueil ! Heureusement que son voisin de bungalow, Charles Desservy, va pimenter son séjour... même s'il ne s'attendait pas à ce que ce soit aussi relevé ! Jacky Schwartzmann, affectueusement surnommé Kyky ici-même, mélange pour notre plus grand plaisir les genres : peinture sociale, roman noir, enquête policière et humour (bien corsé parfois). Porté par des dialogues savoureux, des situations rocambolesques et improbables, des personnages haut perchés et hauts en couleurs, ce roman, un brin moqueur, désabusé et politiquement incorrect, est, tout simplement, un petit régal de lecture...
Jouissif !
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critiques presse (1)
Liberation
02 novembre 2018
C’est là la grande qualité de Schwartzmann, il n’est pas du tout politiquement correct, il se moque des riches comme des pauvres, des débiles comme des finauds, des étrangers comme des franchouillards et, de temps en temps, ça fait du bien.
Lire la critique sur le site : Liberation
Citations et extraits (101) Voir plus Ajouter une citation
Etant donné qu'il n'y a pas neuf humains sur dix de bienveillants, on peut en déduire que nos chers ainés s'assagissent avec l'âge. D'une certaine façon ce sont des faussaires, des fourbes, à l'image de tous ces dignitaires qui ont terminé leur vie en Argentine et qui s'appelaient Mùller. Après avoir bien pourri leur monde, ils se détendent. La raison en est très simple: ils sont en position de faiblesse. Fini l'autorité, fini les décisions et fini le permis de conduire, plus rien, tu demandes à ta fille pour aller pisser et t'es bien content qu'on te sorte à Noël. La peau comme du carton mouillé, le ventre gonflé, les pommettes tout en bas, les cheveux violets des femmes et le pue de la bouche des hommes. Un naufrage.
La seule arme qui leur reste pour se défendre, c'est la gentillesse. Ils deviennent adorables pour qu'on les préserve et pour qu'on ne les pique pas. Et des billets de cinq pour les petits enfants, qui sont aussi des tricheurs, à leur façon. Je te fais la bise, tu me baves sur le sweat, tu me parles de la vie il y a soixante ans, je m'en contrefous, je souris bêtement et tu me files mes thunes. Tu me paies pour qu'on joue une relation devant le public béat de mes parents, qui sont en train de nous perdre tous les deux, toi parce que tu vas bientôt mourir, moi parce que je vais bientôt vivre.
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Moi, quand je cours, je suis un taiseux. Je suis concentré sur mon corps, ce qui s'y passe, ma respiration, les éventuels points de côté ou les douleurs dans les muscles, signes de déshydratation. Tout ça quoi, le quotidien du joggeur solitaire, voire soliste. Et puis c'est un sport de cérébral, la course. Je crois que je ne réfléchis jamais autant que lorsque je cours. Je n'irais pas jusqu'à parler d'un état second : disons un état un et demi. Le cerveau est juste assez décalé, juste assez à contretemps pour s'aventurer dans des zones peu habituelles. Et je te refais l'histoire du monde, du big bang au big data en passant par tout ce que tu veux, n'importe quoi, les volcans, la formidable réussite d'Ikea, la durée de vie d' un ficus, vaccin contre la grippe ou pas, David Bowie ou lggy Pop, quand on repasse une chemise il faut toujours commencer par les manches, la chasse à courre c'est mal, comment les gens vivaient avant les brumisateurs...
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Un opéra... Ce n'était évidemment pas la première fois qu'elle m'imposait cette épreuve en vingt ans. L'opéra, cette anomalie, ce fossile, ce dinosaure miraculé de la culture. Seule l'élite s'intéresse à ce spectacle qui n'a plus lieu d'être. Pourquoi pas apprendre le grec ou le latin, tiens, pendant qu'on y est ? Bon, entre nous, le vrai problème de l'opéra, ce n'est pas l'opéra en lui-même : c'est quand on me l'impose. Je ne me souviens pas qui a dit ça : l'opéra, c'est ce truc qui dure depuis deux heures et , quand tu regardes ta montre, vingt minutes ont passé.
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À la poissonnerie, nous avons pris deux bourriches d'huîtres, du saumon fumé et des noix de Saint-Jacques, que Charles se proposait de nous faire à la poêle. Je ne doutais pas une seule seconde de ses compétences en cuisine. Souvent, les hommes riches et distingués aiment s'acoquiner aux fourneaux. C'est très français. Dans leur esprit raffiné et perché, ils considèrent d'ailleurs que si les femmes savent faire à manger, les hommes, eux, savent cuisiner. C'est la même nuance qu'il y a entre conduire et piloter une voiture, le mode dégradé, usité pour les femmes, et l'excellence, réservé à la caste supérieure.
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- J'ai même rencontré deux étudiantes, des filles en droit, qui sont parties là-bas [Népal]. Elles m'ont avoué qu'au départ, elles ont hésité entre aider les enfants au Népal ou sauver des animaux.
- Nan ?
- Je vous assure.
J'imaginais très bien quel genre de filles cela pouvait être. De bonnes intentions et de l'altruisme. Elles trouvent que l'Inde est un pays extra et le Pérou l'avenir de l'humanité. Plus tard, elles rouleront dans une voiture hybride à quarante mille euros et elles dormiront dans des draps de chanvre. Elles mangent des graines et boivent du jus de pomme artisanal diarrhéique, font des Nouvel-An tofu-tisane et partent à l'autre bout du monde enseigner l'anglais à animaux malades.
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Vidéo de Jacky Schwartzmann
En plein coeur du Haut-Jura, un tueur à gage prend la soutane comme couverture. Les locaux n'ont qu'à bien se tenir... Un pur polar dans les codes du genre, entre la série Fargo des frères Coen et les romans de Donald Westlake, mais à la sauce française avec Jacky Schwartzmann au scénario et Sylvain Vallée au dessin ! En librairie : https://www.dargaud.com/bd/habemus-bastard/habemus-bastard-letre-necessaire-bda5407350
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