Love story

Mon avis :

Livre que j'ai récupéré lors d'un vide-grenier parce que cette histoire a beaucoup fait parler d'elle et a rencontré beaucoup de succès, le film adapté également. Je voulais donc me rendre compte par moi-même qu'elle était la raison de tant d'enthousiasme. de plus je pouvais ainsi cocher la catégorie "un livre classique très connu mais que l'on a pas encore lu" du défi lecture 2016.

La lecture est fluide et très rapide, 187 pages lues d'une traite. On se dit avant de commencer cela va être intense... je dois dire que je suis vraiment déçue, j'en espérais davantage. Une belle histoire d'amour tragique ça me plaît normalement, je rappelle que je suis fan de Shakespeare. Mais ici que nenni, nous assistons à un récit un peu monotone, sans saveur, sans réelle émotion.

Oliver est riche, joueur de hockey réputé, "fils de" et qui le vit mal ; Jenny est à l'opposé, de condition modeste, proche de son père et joue du piano. Entre eux c'est la friction, les insultes pleuvent initialement et même après, l'amour naît rapidement, le mariage suit peu de temps après.

Mais la vie a décidé que le bonheur avait un prix et bien que leur histoire d'amour fut légèrement compliquée de part leurs différences celui ci n'était pas encore trop élevé.

De quoi donner envie de pleurer dans les chaumières... mais non ça ne fonctionne pas pour moi, tout est trop survolé, l'histoire aurait mérité plus de détails. Ici j'ai l'impression que tout va trop vite et je n'ai pas eu le temps de m'attacher ou même d'y croire.

Le genre émergeant beaucoup depuis peu (Nos étoiles contraires par exemple) ne doit certainement pas aider à y trouver de l'originalité. Il est possible que la traduction joue en la défaveur du livre, peut-être que les émotions passaient plus dans la version originale... le film est-il plus réussi ?

Pour conclure il m'arrive souvent de ne pas aimer les livres que tout le monde encense (Harry Quebert par exemple) quand ils ne sont pas dans mes genres de prédilection, je ne suis donc pas bon juge dans cette affaire là.
Lien : http://the-love-book.eklablo..

Je n'ai pas aimé.

Moi, le romantique, l'adorateur d'histoire d'amour, qui reste fleur bleu et fond à chaque histoire où l'amour apparait, je n'ai pas aimé ce récit pourtant estampillé amour jusque dans le titre.
La raison est assez simple en fait, et résume bien ce que je pense du livre : je n'ai pas cru dans cette histoire d'amour. Pas un instant, pas un moment je n'ai ressenti quoi que ce soit pour les personnages. Ni compassion, ni intérêt, ni même agacement. Elle est plate et insignifiante, sans aspérités, sans caractère. Il est amoureux comme j'aime les petits pois, sans passion, sans âme,; sans corps. C'est vide, et leur déroulé semble être un classique de romantisme auquel toute saveur à été enlevé.

Je suis dur avec ce livre ? Certes, car je donne mon ressenti. Je n'ai rien retenu de leur histoire d'amour, aucun moment qui m'a fait sentir l'amour qu'ils se portent, la complicité qu'ils établissent, les liens qu'ils créent. le modèle de leur couple est basique et sans surprises, les deux protagonistes font leur vie sans véritable ombre au tableau (si ce n'est les disputes avec leurs parents). Je me suis retrouvé devant un plat aux ingrédients alléchants mais sans les saveurs et les épices qui le relèvent.

Je suis assez surpris de l'aura dont bénéficie ce livre. Je n'ai pas trouvé là d'histoire d'amour extraordinaire, et le tragique final ne compense pas la platitude de ma lecture qui l'a précédé. J'ai lu tant d'histoires qui m'ont fait frémir de bonheur à l'exposition de sentiments amoureux que je ne peux accepter une telle simplicité.
Un rejet pur et simple de ma part !

le mélo absolu, à lire avec un gros paquet de kleenex à côté de soi. Tous les ingrédients sont réunis, des jeunes gens beaux, intelligents, sympathiques, cultivés, sensibles etc, etc... s'aiment. Tout pourrait finir par "ils se marièrent, vécurent heureux et eurent beaucoup d'enfants". Ils se marient certes mais avec l'opposition du père du jeune homme issu d'un milieu aisé qui coupe les vivres à son fils car la jeune fille est pauvre et d'origine italienne. Les jeunes gens ont beaucoup de qualités morales, ils travaillent dur et s'en sortent mais la maladie va emporter Jenny. La première phrase du livre : "Que dire d'une fille de vingt-cinq ans quand elle est morte?
Qu'elle était belle.Et terriblement intelligente.Qu'elle aimait Mozart et Bach et les Beattles". Enorme succès de la fin des années 1960.