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sur 202 notes
Ce roman narre la trajectoire de trois femmes :Tina la grand-mère, sa fille Catherine et Célia la jeune fille. Elles sont toutes les trois aux prises avec les préjugés des habitants d'un village de montagne parce qu'elles sont nées ailleurs.
Le texte met en jeu le poids des croyances collectives sur les destins individuels.
Construit sur l'entrelacement du présent et d'un récit qui ressemble à une confession à postériori, il créé une attente forte. Cependant, la troisième partie est alourdie par de nombreux rebondissements à la limite de l'esthétique des fictions audiovisuelles les plus triviales. Dommage.
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Ma lecture du Coeur des Louves fut assez particulière. J'ai d'abord été enchantée par la découverte de cette magnifique écriture. Je m'arrêtais presque à chaque page pour relire certaines phrases. Puis je me suis laissée emporter par cette histoire et surtout par l'envie de découvrir les secrets derrière chaque vie. Et je peux dire que j'ai vraiment apprécié ma lecture jusqu'à la moitié du livre, avant que les émotions de colère et de haine soient de plus en présentes (et pesantes pour moi). J'étais assez attachée aux personnages et j'avais envie de comprendre leur histoire, donc j'ai pu continuer un peu plus mais à deux cent pages de la fin, je me suis retrouvée complètement bloquée par ce qui se dégageait de cette histoire tellement dure et sombre. Je n'arrivais plus à suivre Célia et ce n'est que l'envie d'éclairer tous les mystères qui m'a poussé, plus d'un mois après l'avoir mis en pause, à le terminer.

Au fond, je ne regrette pas ma découverte car il y a vraiment une énergie unique et une beauté dans les mots de l'auteur qui m'ont beaucoup parlé, mais la colère est vraiment au coeur de ce récit et cela m'a sorti de ma lecture. Ça devenait trop pesant pour moi.
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Le coeur des louves

Ce roman est captivant.

J'avoue avoir eu du mal à rentrer dedans. Puis au fil des pages, au fur et à mesure que le fil du récit se déroulait mes idées étaient plus claires.
L'histoire se déroule dans un petit village où la vie et les secrets des autres sont un passe-temps pour les villageois.
Il est question ici de non-dits, de secrets bien gardés et c'est de ces secrets tout au fond des vallées isolées que naissent les légendes. de celles que l'on raconte aux enfants pour ne pas qu'ils s'éloignent trop sur les sentiers.
Il plane sur ces montagnes un vent de mystère et le chamanisme est touché du doigt.

Une belle découverte malgré un début de lecture difficile.
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Elle sentait la bestialité au fond d'elle, un besoin puissant de crier qui elle était à la face du monde. de faire se répercuter sur la montagne et dans le village un écho de ce qui avait été et qui se rejouait en elle.

Célia revient pour les vacances dans ce petit village du sud où vit sa grand-mère, Tina, dite aussi « la sorcière ».

Célia va connaître les secrets du village. Savoir comment les hommes et leur violence ont tordu le destin des femmes de sa famille. Comment elles ressentent dans leur coeur, dans leur chair, cette colère qui en découle, comme un poison qui court dans l'arbre et le transforme peu à peu.

Dans ce village il y a les légendes, qui revivent à travers les générations en même temps que les abominations se perpétuent. Les mêmes guerres, les mêmes haines, les mêmes tourments rejoués à l'infini par des êtres peuplés de tourments hérités.

Les abominations nourrissent ces légendes, qui ne disent pas que des mensonges. Elles reposent sur une part de vérité, servent à expliquer ce que l'on ne comprend pas. Par exemple les meurtres de fillettes autour du village, à l'époque où y vit Tina.

Mais cela ne peut qu'être l'oeuvre d'une bête sauvage, se disent-ils, aucun homme ne pourrait être aussi féroce et bestial...

Il y a la montagne, un plateau et le « lac noir », que parcourront Tina puis plus tard Célia. Des allés retours entre la vie non désirée, celle du village, empoisonnée de superstitions mais aussi de secrets, et puis la vie où l'accalmie, la protection semble possible, celle de la montagne.

Tina est considérée comme une sorcière, mais pourquoi ? Quel secret relie les gens du village ?

Il y a dans ce récit l'émancipation, l'amitié entre Célia et Alice, la découverte des secrets qui aident à grandir. Car rien n'est plus étouffant qu'un non dit.

C'est en revêtant la peau de la louve que Célia va s'exprimer à son tour. Elle va passer par cette animalité pour apprivoiser ce qui couve en elle. Si dans ce livre les hommes sont dépeint comme brutaux par essence, on n'autorise en revanche les femmes à s'exprimer que si elles ont des allures de folles et d'animal. Pour Célia, avoir une peau de louve sur soi c'est porter une bestialité revendiquée et une puissance, celle là même dont les hommes abusent. Mais c'est aussi un cri de colère. L'envie légitime de dire que l'on existe et que l'on ne veut pas subir.
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Le coeur des louves est selon moi loin d'être un roman de jeunesse. On est immergé dans une monde ambivalent. Les vies entremêlées des protagonistes fait émerger des situations étonnantes et aussi dures. J'ai mis un peu de temps pour arriver au bout de ce roman. C'est une lecture qui m'a toutefois marqué. Lors de la lecture je tanguais l'ambiance réaliste et le côté fantasque de ce roman qui est inclassable. Sommes toutes l'intrigue est au rendez-vous et le dénouement dans les 100 dernières pages aussi.
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Enfin parvenue au terme de ce livre après plus de 3 mois à essayer péniblement de l'avancer...

Je voulais lire "Sirius" du même auteur qui m'avait été conseillé mais comme il n'était pas disponible à la médiathèque, j'ai essayé "Le coeur des louves", intriguée par le résumé.

Le début du livre m'a bien avec l'arrivée de Clelia dans ce petit village mystérieux et la description des premiers personnages. J'ai également tout de suite apprécié le style d'écriture de l'auteur, bref l'aventure commençait bien !

Je ne sais pas quand j'ai commencé à m'engluer dans l'histoire et à décrocher peu à peu... Toujours est-il que j'ai fini par me perdre au milieu des personnages et de la narration à plusieurs voix et à ressentir des belles longueurs dans la narration. Heureusement sur la fin, le rythme de l'histoire c'est de nouveau accéléré et les zones d'ombres à s'éclaircir.

Bref, je suis passée a côté du livre et j'ai bien cru ne jamais parvenir à le finir. A voir si je trouve la motivation de lire "Sirius" une autre fois !
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Célia vient prendre possession de la maison de sa grand-mère, décédée depuis peu. Une aïeule à la lourde réputation dans le village : un peu sorcière, un peu louve, mais surtout réceptacle des secrets. En attendant l'arrivée de sa mère, une célèbre écrivaine, Célia va apprendre à vivre au rythme du village : la rudesse des hommes, du paysage, des conditions de vie, les femmes qui se taisent et baissent la tête, les ragots, les malédictions, la peur et la haine de l'Autre. Mais la famille de Célia est une dynastie de femmes fortes, de louves, qui ne veulent pas se laisser dompter par le passé, les sombres secrets des origines, par les hommes et leur faiblesse.

Un village reclus, enfermé dans son histoire, où tout le monde se connaît ou croit se connaître, où chacun vit dans le passé car l'avenir n'existe pas. Où les hommes dominent, en apparence, car ce sont les femmes qui possèdent la clé des mystères et des secrets. Les femmes, justement. Ce roman est une véritable déclaration d'amour et d'admiration à la Femme. La femme, que l'homme contraint et plie, mais qui jamais ne rompt. La femme, que tout le village maudit, mais qui en est la véritable colonne vertébrale. La femme, qui donne la vie, la garde malgré tout, mais la reprend aussi. La femme, maîtresse, gardienne, soutien, bouc-émissaire, mais surtout louve, qui hurle sa rage et son désir de liberté face à l'homme qui salit, qui tue, qui bat.

J'ai été véritablement bouleversée par le coeur des louves, par sa violence, sa force, tant dans le récit que dans l'écriture. Les personnages à visages multiples, la folie, la soif qui s'en dégagent, la beauté brutale de la Nature, les histoires de famille lourdes de secrets qui pourrissent le coeur et l'âme de ceux qui ignorent et de ceux qui savent.

Un roman classé dans une collection pour ados... Mais vu la puissance du sujet et la manière dont il est traité, je ne pense pas qu'il puisse s'adresser à des collégiens, ou alors à ceux qui pourraient avoir la maturité pour en comprendre la psychologie. Je conseillerais cette lecture à des jeunes à partir de 16/17 ans, voire à des adultes. Mais je la conseille fortement...
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Boom boom. Boom boom. En écho au rythme des chapitres consacrés à Célia devenue Louve, mon coeur était tendu lors de la lecture de ce roman assez marquant.
Si j'ai eu du mal à rentrer dans ce roman, me mélangeant parfois dans les personnages et les époques à son début, à partir du deuxième quart du livre il m'était vraiment difficile de le lâcher. L'écriture est maîtrisée. Il y a une très grande force qui se dégage des personnages, de leurs histoires atypiques et difficiles, de cette liberté revendiquée par les femmes de différentes âges qui se réclament du monde sauvage, de la force des louves… car c'est leur seule façon de pouvoir vivre leur liberté. Les hommes sont eux souvent violents, fragiles, lâches souvent et dépassés.
La noirceur de ce livre est vraiment marquante : violence, inceste, sexualité sans amour, chasse à l'homme, meurtres, xénophobie, tromperies… l'humanité y est dépeinte sans fard. C'est une histoire qui nous montre aussi l'importance de la sororité, de la transmission et du dialogue. Une claque en littérature jeunesse que je conseillerais néanmoins à partir d'un public lycéen et non collégien.
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J'ai essayé, vraiment, mais rien à faire.

Pourtant, le résumé était intrigant.

Beaucoup de mal avec l'écriture. C'est détaillé, beaucoup trop détaillé. Des détails à n'en plus finir, on ne va pas à l'essentiel. Et en plus de ça, la mise en page est étouffante, tout est en bloc, pas de paragraphes, ni d'aération. C'est vraiment compliqué à lire.

D'autant qu'au niveau de l'histoire en tant que telle, j'ai dû passer à côté de quelque chose. Je n'y ai rien trouvé d'extraordinaire. Je l'ai trouvée totalement dénuée d'intérêt. C'est long, beaucoup trop long, et tellement plat. C'est toujours pareil : des détails qui n'apportent rien, et qui font remplissage. Avec beaucoup de personnages, de retours en arrière, le récit est un peu décousu et semble aller dans tous les sens. Des secrets de famille qui ne sont finalement pas à la hauteur de ce qu'on nous promettait.

Et au bout d'un moment, je me demandais juste où l'auteur essayait de nous mener.

Moi nulle part, faut croire, vu que j'ai totalement décroché.
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Il n'y a rien de plus perturbant, quand vous écrivez, de vous retrouver face à un ouvrage qui ressemble à vos propres écrits. Au fur et à mesure que j'avançais dans le coeur des louves, mon trouble s'accentuait : le roman de Stéphane Servant résonnait fortement avec une nouvelle que j'ai écrit en 2012 et qui s'insérait dans un cycle que je n'ai jamais eu le courage de mener à bien, car je me rendais compte que cette histoire disait bien trop de choses sur moi, sur ce que je gardais bien enfoui au plus profond de mon être. Et voilà que je retrouvais des bribes de ce texte bien secret disséminées ci et là dans un roman, comme si Stéphane Servant et moi avions arpenté les mêmes chemins de l'imagination au moment où cette idée se promenait tranquillement. Alors bien sûr, nos deux histoires n'ont rien à voir l'une avec l'autre, mais il y a suffisamment d'éléments qui se rejoignent pour que je sois troublée. Mais cela ne m'a nullement empêché de savoir ce récit pour lui-même, et de l'aimer autant que j'ai aimé La langue des bêtes et Sirius !

Après des années d'errance, à voguer de maisons en appartements au gré des aventures et des ruptures de sa mère, écrivaine dépressive en panne d'écriture, Célia pose ses bagages dans la demeure de sa défunte grand-mère, cette maison qui l'accueillait chaque été durant son enfance. Mais les habitants de ce petit village perdu au coeur de la montagne sont loin de les accueillir avec le sourire : ici, on les hait autant qu'on les craint, on baisse la tête et on murmure sur leur passage. Seule Alice, son amie d'enfance, semble ravie de la revoir, et l'entraine nuit après nuit dans de folles cavalcades sauvages au coeur de la montagne, des peaux de louves comme seuls vêtements, des cris de louves comme seules paroles, des jeux de louves comme seule liberté. Sans le savoir, Célia marche sur les pas de Tina, sa grand-mère, cette femme que les villageois montraient du doigt mais chez qui ils venaient confier les maux des corps, des coeurs et des âmes. le retour de Célia et de Catherine ravive les mémoires et déterrent les vieilles histoires. Mais « dans les histoires, il y a toujours une part de vérité » … et c'est peut-être dans ces vérités cachées que se cache le secret qui pèse silencieusement sur leur existence.

Pour être parfaitement honnête, je ne sais pas où commencer pour vous parler de ce roman : chaque mot qui me vient à l'esprit me semble affreusement terne en comparaison avec ce que je viens de lire. Car la première chose que vous devez savoir, c'est que Stéphane Servant manie les mots comme personne. Il y insuffle une poésie qui n'appartient qu'à lui. Une poésie faite de phrases courtes mais percutantes, de phrases simples mais efficaces. Une poésie faite de jeux de rythmes et de sonorités, de mots qui coulent et de mots qui buttent. de mots qui sont à leur juste place. Sans fioriture. Juste là où ils doivent être. Je me suis régalée de chaque phrase, j'ai savouré chaque paragraphe, j'ai dévoré chaque chapitre avec l'avidité des fins de famine. Il y a une telle urgence dans ce livre ! Il y a ce passé qui court après le présent, qui le rattrape, avec tous ses secrets et ses dangers. Et le lecteur est prisonnier de ces mots, de ces phrases, de cette histoire aussi belle que cruelle. Il ne peut plus s'en défaire, car cette histoire n'est pas seulement celle de Célia, Catherine et Tina, elle est bien plus celle de toute femme, de toute homme, de tout enfant qui découvre avec fracas l'horreur de la vie. Célia, c'est toi, c'est moi, c'est nous.

Car dans cette histoire, humanité et bestialité s'entremêlent, sans que l'on ne soit plus capable de distinguer où termine l'une et où commence l'autre. Car parfois, les hommes sont plus bestiaux que les bêtes, et les bêtes plus humaines que les hommes. Car « les bêtes les plus terrifiantes ne viennent pas la nuit. Elles n'ont ni griffes ni crocs. Elles vont sur deux jambes et elles ont tout de l'apparence d'un homme. ». Et c'est ce qui se cache au coeur de cette histoire : la violence qui se tapie dans le coeur des hommes, ces hommes qui cachent par leur violence toute leur faiblesse. Car « tu seras un homme mon fils » : un homme, ça ne pleure pas, ça cogne ; un homme, ça ne se laisse pas marcher sur les pieds, ça frappe ; un homme, ça ne se laisse pas humilier, ça tue. de tous les romans de Stéphane Servant que j'ai lu jusqu'à présent, celui-ci est indiscutablement le plus dur, le plus douloureux, le plus sombre. Et cela d'autant plus qu'il ne dissimule rien, qu'il n'atténue rien : l'horreur est là, bien cachée au plus profond des demeures, derrière le visage de l'homme le plus respecté du village, derrière la porte de l'église elle-même. Il y a cette rudesse, cette brutalité, qui plane sur cette histoire …

Mais il y a aussi la lumière. Il y a cette force qui anime Célia et qui vient briser cette chaine de de souffrance. Car Célia refuse de se plier au silence ancestral, refuse de rentrer dans le moule que les hommes imposent aux femmes. Alors elle se fait louve, se fait prédatrice pour ne plus être proie, chasseuse pour ne plus être victime. Elle quitte le manteau de l'enfance, quitte cette cape de servitude effacée pour s'affirmer comme seul guide de son existence. Ce livre, c'est aussi une véritable ode à la liberté, cette liberté d'être pleinement celle qu'elle veut être et non pas celle qu'on veut qu'elle soit, non pas celle que fut sa mère et sa grand-mère avant elle. Elle a besoin de comprendre ce qui leur est arrivée pour comprendre d'où elle vient, mais elle refuse de se laisser enfermer par ce passé qui n'est pas totalement le sien. Il y a dans ce livre la métamorphose de l'adolescente pleine de regrets et de questions en jeune femme pleine de certitudes sur ce qu'elle veut devenir. Et il y a la beauté de la nature, cette nature qui devient ici un personnage à part entière, tantôt mère bienveillante, tantôt bête sauvage, cette nature qui se fait le reflet de l'humanité, dans sa cruauté mais aussi dans sa bonté. Il y a cette force, cette puissance, cette flamme qui brule en chacun de nous et qui se dévoile dans ce livre.

En bref, vous l'aurez bien compris, une fois encore, je suis sous le charme, sous le choc. C'est une lecture coup de poing, coup de foudre, coup de coeur. Car dans ce livre, il y a ce coeur qui bat, celui de la liberté, celui de la vie, coute que coute. Il y a le passé qui façonne, le présent qui doute et l'avenir qui rêve. Il y a la nature sauvage qui se fait refuge. Il y a nos peurs et nos doutes, nos espoirs également. Car ce livre, il ne parle pas uniquement de Célia, il parle de chacun d'entre nous, car il est tellement facile de s'identifier à elle, tellement évident de voir notre vie se glisser dans celle de Célia. Il y a de la douleur dans ce livre, de la peine à n'en plus finir, mais il y a aussi tellement d'espérance, tellement de joie qui ne demande qu'à se libérer du carcan de nos craintes. C'est un livre qui nous invite à vivre, pleinement, purement et simplement, sans se laisser enfermer par les jugements et les envies des autres. Certaines histoires ne sont pas faites pour être racontées, mais pour être vécues, et le coeur des louves en fait partie. Pour le savourer, pour l'apprécier, il faut se laisser aller, se laisser entrainer par cette histoire d'une grande beauté, d'une grande justesse et d'une grande délicatesse. Ce n'est peut-être pas le roman de Stéphane Servant le plus facile, mais c'est peut-être le plus puissant que j'ai lu de lui jusqu'à présent …
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