Cela faisait très longtemps que je n'avais pas lu de feel good, genre que j'apprécie tout particulièrement. C'est donc donc avec plaisir que j'ai commencé la lecture de ce petit livre (208 pages). Malheureusement je n'ai pas du tout apprécié cette lecture. Ce qui m'a déplu par dessus tout c'est le manque de ponctuation dans les dialogues. J'étais vite perdue à me demander qui parlait. le livre se lit vite mais l'écriture est à l'image du personnage principal Laura, c'est brouillon. le sujet était pourtant sympa mais très vite je me suis retrouvée fatiguée a essayer de comprendre qui parlait entre tous les protagonistes que Laura accepte d'héberger chez elle. J'étais fatiguée pour elle je voulais la retrouver elle sans tout ce joli monde. Seul petit point positif le personnage de Louise la fille de Laura. j'ai retrouvé les mêmes traits de caractères que chez ma grande et ça m'a tout de même fait sourire de temps à autre mais ce n'est malheureusement pas suffisant pour moi.
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Laura a pris une année sabbatique pour se consacrer à l'écriture de son roman. Mère célibataire, elle vit tranquillement, a divorcé, et vient de se réconcilier avec sa mère. Puis sa fille recueille son jeune prof de philo qui s'est disputé avec son ami, son frère se fait virer de chez lui par sa femme, et ce n'est que le début.
Le livre est présenté comme « Hilarant ! » (dixit la quatrième de couverture). Alors, j'en suis très loin vu que je n'ai même pas souri une fois. le style m'a tout de suite rebuté, les personnages ne m'ont pas accrochée et l'histoire semblait un peu cousue de fil blanc. On dirait du (mauvais) théâtre de boulevard mis en roman.
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Rue La Fayette, à Paris, au fond d'un jardin, s'élève un charmant hôtel particulier un peu décati que ses habitants nomment affectueusement la « Roulotte ». Annette Rahbani et son mari Maurice en sont les heureux propriétaires. Ils y accueillent quelques résidents farfelus : un retraité sans ressources, une actrice dont la carrière stagne, un jeune peintre amateur de poker, une Afghane sans papiers et un mystérieux Libanais qui paye sans rechigner un loyer conséquent. La dernière venue, une jeune Israélienne prénommée Talia, s'est installée là dans un but bien précis. Son arrivée va provoquer une cascade d'événements cocasses ou dramatiques. James, le chat de la maison, ne perd pas une miette de ces imbroglios qu'il raconte avec délectation.
Béatrice Shalit nous livre ici une comédie sentimentale pleine d'humanité avec des personnages tous plus attachants les uns que les autres.
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